Candide Un Monde Utopique

Candide, une oeuvre des Lumières Introduction Pour pouvoir prouver combien Candide est une oeuvre représentative du mouvement des Lumières, il est important de connaître les principes de ce dernier. Le siècle des Lumières correspond au XVIIIe siècle en Europe et a pris naissance en France. Sa philosophie désigne le mouvement intellectuel qui se fonde sur la "raison éclairée" de l'homme. Ses représentants formaient une élite intellectuelle qui s'attelait à faire vaincre la raison sur les

de son époque : il emprunte en partie sa forme aux récits de voyages de Vasco de Gama ou de Magellan (=explorateurs de grandes découvertes). La découverte du Nouveau monde en 1492 a mis les Européens en contact avec d'autres peuples, très différents, et permet à More d'imaginer une civilisation originale située aux confins du monde connu. De manière plus générale, son projet de société s'inscrit dans le courant philosophique de la Renaissance. Le premier livre de L'Utopie rapporte une conversation

Candide est un conte philosophique de Voltaire paru à Genève en janvier 1759 Cette œuvre, ironique dès les premières lignes. Dans Candide ou l'optimisme, il s'attaque ouvertement à l'optimisme leibnizien et fait de Pangloss un défenseur ridicule de cette philosophie. La critique de l'optimisme est le principal thème du conte: Chacune des aventures du héros tend à prouver que l'on a tort de croire que notre monde est le meilleur des mondes possibles. C'est ainsi que les épisodes s'achèvent souvent

Nous pouvons prendre comme exemple le conte philosophique de Voltaire, Candide, parue en 1759. Ce conte merveilleux de son vrai nom Candide ou l'Optimisme, se projette dans un ailleurs spatial et temporel. Il suscite le rêve tout en proposant une vision manichéenne entre le bien et le mal. Il y a aussi d’autre part les fables, qui font parties du genre de l’apologue. Celles-ci mettent souvent en scène des animaux symbolisant le monde des Hommes et des situations exemplaires. Nous pouvons parler ici bien

rédigea aux côtés de d’Alembert l'Encyclopédie dont le but était de faire la somme des connaissances disponibles en s'appuyant sur la raison, l'esprit d'examen. En 1771, Bougainville publie, un texte autobiographique (journal de bord), Voyage autour du monde où il raconte les péripéties du voyage, dresse des descriptions détaillées des populations et des paysages qu’il rencontre, comme à Tahiti. En 1772, Diderot écrit un conte philosophique, Supplément au voyage de Bougainville dans lequel il critique

argumentatif : un traité de sociologie politique de Montesquieu et un article du Chevalier de Jaucourt de l'Encyclopédie intitulé « Traite des nègres ». Le troisième texte est extrait d'un des contes philosophiques de Voltaire : il s'agit de la rencontre de Candide avec « le nègre de Surinam ». Ce texte appartient au genre de l'apologue puisqu'il s'agit d'un conte philosophique dont le lecteur peut tirer une leçon. Le quatrième texte est la scène première de L'île des esclaves de Marivaux. Cette scène appartient

G. Barthèlemy CPGE scientifiques Lycée Champollion année 2010-2011 LE MAL DANS CANDIDE (1759) Voltaire fait partie de ceux qui au XVIIIe procèdent à un réexamen de la question du mal et s’efforcent à la redéfinition d’un bien individuel et collectif. Candide joue dans cette affaire un rôle considérable, et il reflète le traumatisme qu’a été pour Voltaire et ses contemporains le tremblement de terre de Lisbonne en 1755. La tradition scolaire a mis l’accent sur cette question du mal, notamment

ans et pris le nom d'un personnage important : Ford. Le choix de cette époque est un hommage à Henri Ford, l'inventeur du fordisme, ( méthode industrielle basée sur une production en série) et à sa Ford T. Ce modèle est la base de cette société utopique, qui nous est décris avec une fabrication contrôlée et entièrement industrielle des naissances. Ford est divinisé et on accomplit non plus le signe de croix mais de T. La société nouvelle et idéale est une société dirigée par un président mondial

de la religion, c'est-à-dire du rapport ambigüe qu’a Dieu avec le mal. Les théodicées, entre autres, s’emploient à en formuler une justification. Celle de Leibniz, en particulier, soutient la thèse que si Dieu a permis qu’il y ait du mal dans notre monde, c’est avant tout dans l’optique de faire le bien. En effet, un moindre mal permet selon lui un maximum de bien. Nous expliquerons dans un premier temps comment en est-il venu à énoncer cette thèse, pour ensuite s’intéresser aux problèmes posés par

lecteurs, essayons de se mettre à leur place. On veut vivre leur histoire, qui est, la plupart du temps, extraordinaire. Un des personnages auquel je me suis le plus attaché est Salim, jeune homme imprudent et bagarreur mais malgré tout gentleman (Le monde d’Ewilan, Pierre Bottero). Je ne peux m’identifier complètement à lui étant donné que nous avons beaucoup de traits de caractères (et physiques) différents. Néanmoins, il est un peu mon idéal et je m’imagine étant lui le temps de la lecture. Bien entendu