Candide Un Monde Utopique

dans un monde de rêves et ce type de lecture favorisait bien souvent notre endormissement. En devenant adulte, nous nous intéressons plus à des faits réels, pourtant, parfois nous aimons encore nous évader mentalement grâce à l'imaginaire. Quels avantages retire l'auteur en écrivant des œuvres imaginaires ? Quel est l'intérêt du lecteur ? C'est ce que nous allons tenter d'éclaircir tout en se demandant en quoi une œuvre imaginaire peut être efficace dans la réflexion sur l'homme et sur le monde. Développement

Yohana, Elodie & Audrey 2FRDF02 SYNTHÈSE DE CANDIDE Chapitres XXV à XXX Situation des chapitres Ch.XXV et XXVI : Venise, dans le palais du noble Pococuranté Ch. XXVII et XXVIII : Sur le bateau du patron turc afin de rejoindre Cunégonde à Constantinople puis sur un autre bateau après une escale à sur le canal de la mer Noire Ch. XXIX et XXX (conclusion) : Constantinople, retrouvailles avec Cunégonde et la vieille. Société A Venise, Italie Dirigée par les jacobins, l’Inquisition est alors

changement en créant un autre model possible. C’est ce que fait Voltaire à travers son conte philosophique, Candide, dans lequel il expose une société fictive, bien loin de la sienne ; une société ignorant la cupidité et dont la générosité n’égale celle d’aucun autre monde. Ces Homme habitent pourtant dans le pays doté des plus grands nombres de pierres précieuses et d’or : l’Eldorado. Candide et Cacambo y arrive par hasard et sont alors traité comme des rois. Par ailleurs, l’intemporalité et l’universalité

heureux et en harmonie (l'abbaye de Thélème, dans Gargantua, de Rabelais, en 1534). Devant la menace de la censure politique ou religieuse, les auteurs situent l'action dans un monde imaginaire, île inconnue par exemple (L'Île des esclaves, Marivaux, 1725), ou montagne inaccessible (la découverte de l'Eldorado, dans Candide, 1759). Une utopie peut désigner aussi une réalité difficilement acceptable : en ce sens, qualifier quelque chose d'utopique consiste à le disqualifier ainsi qu'à le considérer

Le roman qui s’est constitué au fil du temps fait aujourd’hui partit d’une des quatre grandes catégories des genres littéraires et connait un essor depuis le 19ème siècle. Il constitue une forme privilégiée de représentation de l’homme et du monde et repose sur le talent de l’écrivain qui utilise et renouvelle les techniques de la narration. C’est aussi un récit en prose, souvent imaginé, où l’auteur cherche soit à éveiller l’intérêt par la peinture des mœurs, l’analyse des caractères et la

Synthèse sur le XVIIIe siècle Après avoir lu les six textes correspondant au cours sur le XVIIIe siècle, nous pouvons constater que dans chaque récit, l’auteur a voulu dénoncer quelque chose. Dans les textes Le monde comme il va et Candide ou l’optimisme, Voltaire dénonce la bêtise et l’ignorance des soldats. Il s’en prend à la cruauté des hommes mais également à la cupidité du gouvernement et à l’hypocrisie des rois. Ces contes philosophiques reflètent la société de son époque. Voltaire met en

monarchie un auteur sera plutôt léger, ironique alors qu'au XIXe il sera plus concret et scientiste, ou même selon sa propre personnalité, s'il préfère utiliser un registre plus fantaisiste ou plus scientiste. Candide ou l'optimisme écrit par Voltaire au XVIIIe utilise ce registre fantaisiste, tout le monde peut voir sa critique de la société, y réfléchir, ce qui est le but de ce conte philosophique, mais beaucoup moins verrons sa critique de l'optimisme incarné par Pangloss. Mais ces facteurs sont toujours

Fénelon (1699). Au XIXe Siècle, le genre utopique se prolonge et s'épanouit encore avec Fourier, Cabet, Saint-Simon. L'utopie reflète alors la foi dans le progrès moral de l'humanité, la confiance dans le pouvoir de la science de déchiffrer et planifier le réel. Elle devient porteuse d'un projet politique socialiste ou anarchiste. III- Utopie (progressiste/régressiste) - Dystopie Utopie progressiste : utopie tournée vers le futur et envisage un monde que le progrès matériel et moral a transformé

sociétal l’inquiétait. Il a voulu servir aux humains un avertissement solennel en imaginant, de manière caricaturale, une société « possible », une société très développée économiquement, scientifiquement et technologiquement, une utopie anti-utopique ou contre-utopique, un univers contrôlé et contrôlant dans lequel le « bonheur » serait une obligation radicale et une tyrannie.

L’Utopie     par Jany Boulanger, Cégep du Vieux Montréal.                                                                      « L’utopie, c’est l’oxygène de notre esprit. »  Jacques Godbout   « Une carte du monde qui ne comporte pas l’Utopie ne vaut même pas qu’on y jette un coup d’œil, car elle néglige le seul pays où aborde toujours l’humanité.  Et, quand elle y aborde, elle regarde autour d’elle, aperçoit une meilleure contrée et fait alors voile.  Le progrès