Canot

entre les deux amants font alors germer dans leur esprit l’idée du meurtre de Camille. Reproduction interdite 3 CHAPITRES XI-XV Un dimanche, Camille, Thérèse et Laurent partent à Saint-Ouen. Laurent propose une promenade sur l’eau en canot. Une fois loin des rives, il lance Camille hors de la barque, qu’il renverse ensuite dans le but de feindre un accident. L’enquête policière conclut dans ce sens. Thérèse et Laurent ne sont donc pas inquiétés par la justice. Travaillé par l’inquiétude

avait des francais. Ils traversèrent plusieurs obstacles et périls. Ils se jetèrent dans une barque et se laissèrent aller au gré du courant. Ils voguèrent sous une voûte dans l obscurité et au bout de vingt quatre heures ils revirent le jour. Leur canot se fracassa et ils découvrirent un pays miraculeux. Arrivés à un village, les deux hommes virent des enfants jouer avec palets d or, d émeraudes et de rubis. Un magister fit rentrer à l école les enfants qui laissèrent les pierres précieuses. Les

entrée : Ascèse et exorcisme La traversée aveugle comme rite initiatique, permettant de passer d'un lieu profane à un lieu sacré est stéréotypée - Disparition des éléments d'en-deçà de la frontière comme condition d'un renouvellement --> jusqu'au canot, dernier vestige = dépouillement - Elargissement de la rivière qui estompent la réalité antérieure, eau, ciel et terre finissent par se confondre, par s'annuler.- Le pays n'est-il pas un mirage ? La découverte 4 sources: magister silencieux,

s'élevaient jusqu'au ciel» ou la rivière qui devient un fleuve, qui créent un effet d’enfermement très angoissant. On voit là le coté merveilleux presque fantastique du lieu qui démontre son aspect très improbable. Les épreuves continuent quand « le canot se fracassa » ; la violence du mot pouvait laisser penser à une issue quasi fatale, mais nos deux héros survivent. Un changement de rythme apparait alors. Après la tourmente, les deux personnages sont épuisés et réduits à «se traîner, une lieue entière

officier. Tout au long de l’histoire Abenaki s’attache beaucoup à l’anglais, tellement qu’il y voit un fils a travers lui car il prend soin de lui, il lui apprend à être un homme, a faire des armes pour combattre : ligne 28-29 « je t’ai apprit à faire un canot, un arc, des flèches, […] à manier la hache » A la fin du texte, a la ligne 53-54, le vieil homme insiste pour que le jeune anglais retrouve son père : « Pars, va dans ton pays, afin que ton père ait encore du plaisir a voir le soleil qui se lève,

froid » ; « air frissonnant » ; « vent froid » ; « souffle ». Cela donne au lecteur une sensation d’anxiété, à cause de la froideur du lieu. -Le champ lexical de l’eau : « eaux » ; « rivière » ; « barque » ; « seine » ; « quai » ; « ramer » ; « canot » ; « courant » ; « îles » ; « rives » ; « l’eau » « barque » ; « eau » ; « îles » ; « seine » ; « îles ». L’eau préfigure la noyade de Camille. -Le champ lexical de la tristesse « mélancolie » ; « langueurs tristes » : « douloureusement calme » ;

adjectifs ou les noms comme: - "cabanes" >> très simple en elle-même et qualifiée de "rustique" - "leurs habits de peaux avec des épines ou des arêtes" >> l'opposé du luxe - ces hommes vivent de chasse: "flèches"ou "arcs" mais aussi de pêche "quelques canots".     On est loin des techniques sophistiquées. b) Dans cette vision de Rousseau, les peuples ne négligent pas l'art:     > ils se parent" (avec des choses naturelles)     > ils se peignent de diverses couleurs     > ils construisent des instruments

finirent complètement et il s'endormit comme une marmotte au mouvement de la charrette. » Idée secondaire 1.2 Les conditions atmosphériques, de même que les données spatio-temporelles, sont réunies pour susciter l'illusion du fantastique. Faits Le canot s'envole dans la nuit blanche et glaciale. La bête à grand'queue surgit quand Fanfan et Sem se trouvent dans des conditions inquiétantes. Preuves « Il faisait une nuit superbe et la lune, dans son plein, illuminait le firmament [...]. Il faisait un

de sauvetage s’avère totalement absent face aux nombreuses questions des voyageurs auxquelles il n’a jamais répondu. Les passagers, livrés à eux-mêmes, décident pour certains de sauter pour regagner la rive, d’autres optent pour l’utilisation des canots de sauvetage. Les passagers ne sont pas les seuls à être inquiets ; pour cause le capitaine lui-même n’ose pas croire à la catastrophe puisqu’il rejette l’aide, rapidement proposée par les gardes côtes, qui pressentent un grave problème. 5) Le

grossièrement taillés et sculptés à l’aide d’outils traditionnels comme des coquillages ou des herminettes en pierre. Ils étaient perforés au centre avec des pierres de récifs pour permettre leur voyagement sur des pôles en bois apposées dans des canots. Ces trous étaient biconiques, non-symétriques, et coniques du centre vers les extrémités. Avant l’utilisation du fer, la surface de ces pierres était polie avec de la pierre ponce. Après l’introduction du fer par les Européens, la monnaie de pierre