Cap-Haïtien

du secteur tourisme mais également la mise en place de certaines initiatives qui font favoriser son developpement.il s’agit notamment :  La mise en ouvre d’une politique d’aménagement touristique ;  L’aménagement des zones touristiques notamment cap skirring, abéné karabane kafountine ;  La création de fond de promotion touristique et des taxes de tourisme pour l’alimenter ;  La création d’un comité de suivi, des conditions d’accueil ; et de leur séjour. Mais aussi la mise en place de certains

une cite en Attique Document B : Les autres grandes cités grecques sont, Chalcis, Thèbes, Corinthe et Sparte. Document C : Le territoire d’Athènes regroupe toute l’Attique et est entouré par la mer. La mer ionienne avec le golfe Saronique, le cap Sounion, c’est un très grand territoire. Document D : La cite d’Athènes est découpée en trois régions, la ville Asty, l’intérieur mesogee et la cote paralie. La cohésion sociale est ainsi favorisée car on peut constater qu’une tribu peut être repartie

institutionnel, le golfe de Guinée est un vaste ensemble intégrant 17 pays côtiers d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale qui se partagent un littoral long de près de 6 000 km, en partant des côtes du Sénégal jusqu’à l'Angola, sans oublier les îles du Cap-Vert et Sao Tomé-et-Principe. Le golfe de Guinée couvre ainsi deux vastes régions géographiques, politiques et économiques : la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) et la Communauté économique des États de l’Afrique centrale

ethnographique particulier; il est difficile de lui assigner des limites qui ne soient pas quelque peu arbitraires. On s'accorde toutefois à comprendre sous ce nom la région littorale, depuis la baie de Sierra Leone jusqu'à l'estuaire du Gabon, ou depuis le Cap Roxo  (embouchure de la Casamance) jusqu'à la Baie de Corisco, sur une étendue de 10° environ, dans le sens du Nord au Sud, et avec un développement de côtes d'environ 3300 à 3500 kilomètres.  Bien que le nom de Guinée ait été imposé à cette région

Rolihlahla Mandela est né le 18 juillet 1918 dans le village de Mvezo, au bord de la rivière Mbashe à une cinquantaine de kilomètres de la ville de Mthatha, capitale du Transkei, dans la province de l'actuel Cap-Oriental en Afrique du Sud. Son prénom, Rolihlahla, signifie « enlever une branche d'un arbre » ou, plus familièrement, « fauteur de troubles »2,3. Il est issu d'une famille royale Thembu de l'ethnie Xhosa qui règne sur une partie du Transkei4. En effet, son arrière-grand-père paternel

harassante, et la mer, impitoyable, notre moussaillon apprendra à essuyer tempêtes et typhons, à décapiter les icebergs à coups de canon, à louvoyer dans les dédales des Magellanes, à déjouer les pièges des pirates et, bien sur, à affronter le redoutable Cap Horn, sombre bloc erratique derrière lequel se cache un royaume inconnu, le Paradis des Loutres. C’est là, dans le miroitetement des banquises argentées, que vivent les Indiens Yahgans : Alejandro sera initié à leurs rites, à leurs cérémonies, à leurs

Sommaire 1) Le culte 2) Les légendes 3) Données historiques 4) Fouilles 5) La forteresse de Sounion 6) Le sanctuaire de Poséidon Le cap Sounion Le culte en plein air du cap Sounion n’était pas le culte d’un seul dieu, comme le nom du temple pourrait le laisser penser. Il s’agit au crontraire d’un lieu de cultes multiples mais principalement, il est dédié à Poséidon. Les trouvailles archéologiques

Nelson Rolihlahla Mandela, né le 18 juillet 1918 à Mvezo dans l'ancien Bantoustan du Transkei à l'est de la province du Cap (actuel Cap-Oriental), est un ancien président de l'Afrique du Sud et fut l'un des dirigeants de la lutte contre l'apartheid. En 1993, il reçoit avec le président sud-africain de l'époque, Frederik Willem de Klerk, le Prix Nobel de la paix pour leurs actions en faveur de la fin de l'apartheid et l'établissement de la démocratie dans le pays. Suite à ce combat et à celui qu'il

Vasco de Gama, en mai 1498, fut le premier Européen à trouver la route de l’Inde, mission confiée par le roi Manuel Ier le Grand. Il est parti en juillet 1497 de Lisbonne avec 4 navires puis il a longé l'Afrique jusqu’aux îles du Cap-Vert puis en passant par le cap de Bonne-Espérance en décembre. En 1498, il longea l’Afrique orientale et reçu l’aide du sultan de Melinde (actuel Kenya). Il arriva à Calicut en mai et repartit d’Inde en octobre. Lors de son arrivé à Calicut, il reçu le meilleur accueil

quelques années plus tard, et les îles du Cap Vert en 1445. Ils y développent des plantations de sucre, autre produit très lucratif. Pour les cultiver, ils font progressivement venir des esclaves noirs de Méditerranée puis directement d'Afrique, annonçant ainsi la traite vers l'Amérique. Ces îles servent aussi de points d'appui aux navigateurs pour aller plus loin et chercher le passage vers l'Inde par le sud : Barthélemy Diaz atteint ainsi ce qu'il nomme le Cap de Bonne-Espérance (point le plus au