Capet Stms

987 sans laisser de descendance alors que le Xe siècle voit déjà un véritable affaiblissement du pouvoir royal. L’année 987 marque la fin de la période du Haut Moyen-Age et le début de la période définie comme le Moyen-Age classique. En 987 Hugues Capet devient le nouveau roi du royaume à la demande de l’archevêque de Reims, ce qui met fin à la dynastie carolingienne et voit l’avènement de la dynastie capétienne qui reste au pouvoir jusqu’au XIXe siècle. Il est important de préciser que le pouvoir

a une portée religieuse. L'idée c'est que le sacre créait un lien entre dieu et le roi : le roi est l'élu de Dieu. Le roi est investis par Dieu pour accomplir sa mission. Sans sacre, le roi n'est pas un roi complet, d'où l'empressement de Hugues Capet à être sacré. La royauté revêt aussi une dimension religieuse, le roi est « roi prêtre ». Le roi va exercer une fonction proche de celle d'un ecclésiastique. Le sacre a transformé le roi. Il n'est plus un laïc ordinaire. S'ajoute à cela la « magie

par le passé, les textes anciens révèlent qu’elle était considérée comme une région spécifique dès le XIIe siècle . Rapidement ils sont devenus un village fortifiée nommée Lutèce.. Au VI siècle Lutèce devient Paris En 987, apparaît avec Hugues Capet une réalité politique nouvelle : la France. Paris en devient la capitale. Paris fut d'abord la capitale d'un tout petit royaume, que les Capétiens s'efforcèrent d'agrandir en s'imposant aux autres grands seigneurs. ’Île-de-France se couvre d’importants

priment : les rois sont fils de rois et sont pères de futurs rois. Mai l’hérédité n’est pas suffisante, il faut renforcer la légitimité du roi par le sacre. Premier sacre : Pépin le bref en 751 qui l’utilise comme un moyen de légitimité, puis Hugues Capet en 987 pour amener une nouvelle dynastie. Le roi, au XIVème siècle reçoit également l’aide des légistes : les juristes dégagent des règles juridiques pour encadrer la succession au trône (lois fondamentales du royaume). Les lois du royaume ont une

devient la principale source du droit jusqu’à la révolution française. Arivé du nord, les vikings, du sud, les sarrazins et de l’est, les hongrois. Le territoire est morcelé, d’où la naissance de la féodalité. *Les capétiens (10-13e* ) : Hugues Capet (987-996) Robert, le pieux (996-1031) Henri I (1031-1060) Philippe I (1060-1108) Miracle Capétien (987-1328), sucession de père en fils. 10e-12e : leur petit domaine est au centre de la France et ils vont perpétuer la tradition du sacre

On n'y apprend pas seulement la théologie, mais encore la géométrie, la médecine, la philosophie. Nombreux et fidèles seront ses disciples. Fulbert est aussi réputé comme conseiller des rois et des princes, notamment par sa proximité avec Hugues Capet, puis avec Robert II. Le roi de France Robert II, le fait nommer évêque de Chartes en 1006. Il sera un évêque consciencieux et intègre, soucieux de l'indépendance de l'Église, mais aussi de paix et de concorde dans le respect des personnes. C'est

Commentaire sur le Cid I:L'expression de l'amour. l’intimité : elle est perceptible dans le jeu des pronoms personnels. ainsi les deux héros se tutoient : « Sauve ta renommée » v. 968, « je t’adore » v. 972, Va-t-en » v.973.On remarque aussi la fréquence des expressions liant la première et la deuxième personne : « je te poursuis » v 973 , «j'engage ma foi» v 995. Nous savons aussi que l'union des deux héros se traduit par l'utilisation de la première personne du pluriel «Que de maux et

Avant Hugues Capet, deux membres de la famille des Robertiens ont été rois des Francs, avec des règnes intercalés entre ceux des Carolingiens : Eudes Ier et Robert Ier. Ces deux premiers rois sont les fils de Robert le Fort. L'origine de la famille des ancêtres d'Hugues Capet est longtemps restée méconnue et diverses conjectures ont pu être formulées. Au xxe siècle, des travaux de plusieurs historiens12,13,14 ont permis de dégager un certain nombre d'hypothèses et de quasi-certitudes sur l'histoire

Le texte est un poème au roi capétien de France Robert écrit par Adalberon de Laon en 1025 qui expose la tripartition sociale. Il confirme se positions sur l'ordre social.  Adalbéron de Laon était chancelier du roi Lothaire puis nommé évêque de Laon par Lothaire en 977. Il était descendant de sang royal issus des Carolingiens et des Capétiens.  Dans son poème, il mentionne deux lois qui régissent les ordres de la Res publica(La Republique) pour assurer et maintenir la paix de l'Eglise. Il démontre

descendant des ancêtres de Charlemagne), à la nouvelle dynastie des capétiens (il est cousin des ducs de Lorraine), ainsi qu’à la tradition des grands de l’Eglise soutenant le trône (il est le neveu d’Adalbéron, archevêque de Reims, qui a porté Hugues Capet sur le trône). Il est évêque, c’est à dire placé à un rang particulièrement important de la hiérarchie ecclésiastique. C’est donc un homme qui est proche du pouvoir, qui a été le témoin d’une époque où le pouvoir royal était fort et soutenu par les