Capital économique

une « première mondialisation », en analysant sa mise en œuvre et son fonctionnement pour mieux comprendre celle que nous vivons aujourd’hui, semblable sur certains points à celle d’avant-guerre. En effet, les craintes causées par les mutations économiques de la mondialisation sont les mêmes : l’abolition des frontières faisant place à un marché mondial causée par ce processus d’internationalisation, nuirait aux politiques nationales et donc au maintien des démocraties à l’intérieur des frontières

spécifiques à chaque type de société. Celles-ci peuvent, en effet, être de capitaux (SA, SCA, SAS) ou de personnes (SNC, SCS) voire mixtes (SARL) ou encore emprunter à l'une ou à l'autre en fonction de la commercialité ou non de l'objet social (GIE). D'autre part, pour être valides, les statuts doivent recueillir l'accord et la signature de chacun des futurs associés ou actionnaires s'il s'agit d'une société de capitaux, à condition naturellement pour cette dernière, qu'elle ne fasse pas appel

chercherons les structures adéquates à chacune des stratégies (compétitive ou rentable). Productivité, compétitivité et rentabilité Des notions à ne pas confondre La productivité est le rapport entre la production et les facteurs (travail et capital) nécessaires pour l’obtenir. Elle permet de mesurer la performance de l’entreprise, c’est donc une notion d’efficacité. Les gains de productivité (ensemble des économies réalisées dans le processus de production) sont réalisés, soit par une économie

et en faire des ressources en capital utilisables par les entreprises. Banques, intermédiaires financiers, marchés monétaires et financiers remplissent cette fonction => mise en commun des fonds des investisseurs Transfert des ressources : Un système financier fournit des moyens de transfert des ressources économiques, dans le temps, dans le monde et entre les entreprises: • Prêts et emprunts : transferts inter temporels • Mobilité internationale des capitaux => investissements internationaux

d’intervention indirecte Elle peut être plus libérale et viser l’amélioration des conditions générales : réglementation / déréglementation (emploi, environnement), législation sur la concurrence, marchés publics ; politique en matière de taxation du capital et du travail, en matière d’aménagement du territoire (infrastructure, recherche, douane, change etc.) Dérèglementation et concurrence : C’est une politique menée en vue de supprimer les règles contraignantes, permettant ainsi à la concurrence

n’existera plus une indépendence économique et souveraineté.[2] Pendant les derinères décennies le déroulement du processus a accéléré. II. Le concept et les changemants de la globaliation financière La globalisation financière, comme terme, signifie « la constitution d'un marché mondial intégré des capitaux » Ses trois caractéristiques important sont « la déréglementation (abolition du contrôle des changes et des restrictions aux mouvements de capitaux), la désintermédiation (accès direct

du niveau de vie plus ou moins forte selon les pays et les périodes. Avant d’évoquer les sources il nous faut définir la croissance et réfléchir sur la pertinence de cet objectif, clé du carré magique de KALDOR. (obj à court terme de la politique économique) Comment se mesure la croissance ? A partir du PIB essentiellement dont nous auront à établir les limites. Nous verrons également que d’autres indicateurs apparaissent pertinents pour évoquer la qualité de vie et le bien être des populations.

et les parties prenantes externes.  les parties prenantes internes sont représentées par : • Les propriétaires / dirigeants :(qui cherchent un retour sur investissement; garder et / ou acquérir des parts de marché, anticiper sur la stratégie économique sur le moyen et long terme.). Ici, la société de portefeuilles bancaires des Etats-Unis JP Morgan Chase. • Les salariés : (qui peuvent être aussi clients, actionnaires, syndiqués), • Les clients : (qui disposent d'un pouvoir de pression en fonction

UF 752752 Investissements en formation professionnelle: analyse économique Les fondements théoriques des investissements en formation des entreprises 3. L’application de la théorie du capital humain en matière d’investissement en formation des entreprises débouche sur le constat que les firmes auront intérêt à financer des formations spécifiques. mais • La distinction entre formation générale et formation spécifique n’est pas toujours claire. • Les firmes peuvent être amenées à soutenir

L’organisation du bassin caraïbe Littoraux Amérique du Nord Golfe du Mexique Archipel des Grandes Antilles Produits agricoles Matières premières énergétiques Produits industriels de faible technologie Flux illicites Flux humains Flux de capitaux Flux de technologies Produits fins de haute précision Flux touristiques Mer des Caraïbes Littoraux Amérique du Sud Archipel des Petites Antilles Une histoire ancienne, base de la construction de cet espace. C’est donc un espace fragmenté