Capital naturel

l’enrichissement, on veut connaitre les relations. Sur des longues périodes, on prend le constant. (yt-yt-1) / T t-1 La consommation : ce sont tous les biens achetés par les ménages, représenté en % du PIB (57,6%). L’investissement, c’est en capital fixe : 2 types=> des ets/ des ménages 21,9% Les dépenses gouvernementales, correspondent aux achats de biens et services. 23,2% mais si j’inclue les transferts de charges, on atteint 50%. Exportation(X) 26% // Importation (M)

direct : travail du salarié Travail indirect : capital pour produire la marchandise, et cela chez Ricardo est une quantité de travail indirect Il ramène le capital à une quantité de travail, cependant un outil de production va servir pour plusieurs productions sur plusieurs années et donc on prendra en compte l’amortissement. Cette valeur d’échange il va falloir l’exprimer sous valeur monétaire, chaque marchandise a 2 prix : * Prix naturel : traduction de la valeur d’échange (reflet des coûts

Les besoins étaient principalement naturels. L'objectif essentiel était d'éviter les disettes et les famines et il s'agissait de produire les subsistances. Le secteur primaire (agriculture) est essentiel. La production est avant tout agricole. L'entreprise est une ferme, c'est à dire une propriété. L'origine de la propriété a été le droit du premier occupant, et le droit de propriété est héréditaire. La propriété est terrienne, elle donne des fruits naturels. Le profit de l'entreprise agricole est

- Marx va décrire les comportements des groupes (lutte des classes entre prolétariat et patronat par exemple) - Les néoclassiques vont pousser à l'extrême le scientisme et prétendant trouver les lois naturelles du comportement économique. Ils prétendent que les lois sociales sont des lois naturelles qui s'impose à l'homme sans modification possible. Il y a de plus un fort déterminisme dans cette vision de l'homme vu comme homo économicus : Mais beaucoup de critique ont été faites aux néoclassiques

croissance économique A/ le rôle du travail et du capital; -Les économistes distinguent deux principaux facteurs de production: le travail et le capital. La qualité du facteur travail est un élément déterminant de la croissance économique. L'élévation du niveau de formation et de compétence favorise l'adoption des nouvelles technologies et donc l'obtention de gains de productivité. Le capital se divise en capital fixe et en capital circulant. Le capital circulant correspond aux biens qui sont transformés

large que le revenu. Il peut être à la fois sociétal (comme satisfaire les besoins en santé, éducation, habitat…), économique (amélioration des conditions de vie matérielles) et environnemental (préserver la diversité des espèces et les ressources naturelles et énergétiques). Le revenu n’est donc pas équivalent au développement, comme dit le proverbe « l’argent ne fait pas le bonheur ». Le paradoxe d’Easterlin montre en effet que l’augmentation du revenu moyen par habitant ne se traduit pas

IV (Prix naturel & prix courant)……………………………………….. page 32 Chapitre V (Les salaires, extraits)……..……………………………………….... page 34 Chapitre VI (Les profits, extraits)…..…………………………………………… page 36 Chapitre XXI (Des effets de l’accumulation sur les profits, extraits)..………….. page 37 Karl Marx (1818-1883) Le capital, livre 1 (1867) Chapitre I (« La marchandise »).........................................................................…. page 39 Chapitre IV (« La formule générale du capital »)………………………………

permettait de réguler l’activité économique notamment dans une société qui connaît l’encadrement du crédit. Dans ce cas, ce sont les banques commerciales qui fixent les taux, via le contrôle de la Banque centrale. Le taux d’intérêt est la rémunération du capital prêté, versé par l’emprunteur au prêteur. Il a une forte importance économique dans la mesure où il permet aux entreprises et aux ménages d’investir, d’accéder à la consommation et aussi de placer des liquidités. Mais il faut distinguer les taux nominaux

Les capacités de production sont accrues de façon proportionnelle au niveau de l’investissement si l’on suppose le coefficient de capital (v = K/Y) constant, c’est à dire que les facteurs de production ne sont pas substituables. Keynes avait mis de côté cette caractéristique puisqu’il s’intéresse à une analyse de court terme, donc il considérait le stock de capital comme constant et indépendant de l’investissement de la période. Il y a donc une dissymétrie : du coté de l’offre, c’est le montant

point on peut dire que le PIB comptabilise comme une production courante la valeur des ressources naturelles mises sur le marché mais néglige les atteintes à l’environnement parce qu’aucun agent n’en supporte les coûts (externalités négatives) ; les mesures classiques du Produit intérieur net (PIN) ne tiennent d’ailleurs compte ni de l’épuisement des ressources ni de la dégradation des actifs naturels ; en revanche, toutes les activités visant à remédier à ces atteintes ou à leurs conséquences négatives