Capitale-Nationale

œuvre n’augmentent pas ou en tout cas pas dans les mêmes proportions, ou que l’on obtient la même production en économisant des moyens. La mesure de la productivité peut s’appliquer à différents niveaux : une entreprise, une branche ou à l’économie nationale. On peut rapporter la productivité à un seul des facteurs nécessaires : on obtient alors une productivité partielle (la productivité du travail par exemple) ou l’ensemble des facteurs de production : on parle alors de productivité globale des facteurs

consommateurs * Les entreprises en tant que producteurs et distributeurs * Les Etats en tant que producteur * Les banques pour assurer le financement des opérations. On distingue trois grands types d’échanges : les biens, les services, les capitaux. A- L’évolution des échanges depuis 1947 Les échanges se sont fortement développés depuis les accords du GATT en 1947. Depuis 1995, l’OMC est la principale organisation chargée de réguler le CI. Elle est chargée de favoriser la libéralisation

marchandises, personnes, et capitaux. Ces libertés communautaires : éléments essentiels du marché intérieur. Libre circulation des marchandises : Principe qui interdit toute mesure restrictive aux échanges entre les États membres. Comme s'il n'y avait pas de frontière. Libre circulation des personnes : Reconnaissance à tout citoyen de l'UE du droit de circuler librement sur les territoires des états membres et y vivre afin d'exercer un emploi, régissant l'emploi des travailleurs nationaux. Libre circulation

importance par la multiplication des accords de libre échange depuis la création du GATT ( 1947 ) et OMC ( 1992 ) => ALENA / UE / Mercosur / ASEAN Ces accords permettent la suppression des droits de douane, la libre circulation des marchandises, des capitaux et des hommes. Ils favorisent donc les échanges entre les pays concernés par l’accord. c. Les échanges intra branches un échange intra branche = échange commerciale de produits similaire entre deux nations (de niveau de développement comparable et

par deux ressortissant danois résident au Danemark, avec un capital de départ de cent livres, conformément au droit anglais. La société n’avait jamais exercé d’activité en Grande Bretagne, mais seulement au Danemark par l’intermédiaire de sa succursale. La législation du Royaume-Uni ne soumettant les sociétés à responsabilité limitée à aucune exigence relative à la constitution et à la libération d’un capital social minimal. Le capital social de Centros n’a donc été ni libéré, ni mis à la disposition

détermination des avantages compétitifs aussi bien des pays que des firmes. Ceci impose une nouvelle analyse. 2.1 Le système de l’économie mondiale : première et deuxième génération Les mouvement internationaux de capitaux, se sont développés dans les années 70. Circulation de monnaie de capital via la multinationalisation et des hommes, tout ça remet en cause les théories du commerce international. Par ailleurs nous sommes loin d’une situation de concurrence pure et parfaite. Les investissements directs

firmes multinationales. Le phénomène des délocalisations (la délocalisation économique est le transfère d’activités, de capitaux et d’emplois en des régions du payes ou du monde bénéficiant d’un avantage compétitif) est ainsi devenu prégnant dans l’actualité. Les motivations qui peuvent amener une entreprise à préférer réaliser son activité à l’étranger plutôt que sur le sol nationales sont diverses. La recherche d’un moindre cout est souvent mise en avant, mais il existe aussi d’autres critères de localisation :

affaire d’Etat CFVG 19F HOANG Mai Phuong NGUYEN Quynh Trang PHAM Dung TRAN Quang Ha -VINASHIN, une affaire d’Etat"Sauver ou dissoudre Vinashin" est un sujet qui soulève beaucoup de controverses et qui est abordé dans beaucoup de journaux nationaux et internationaux ces derniers temps. En effectuant ce rapport, nous tenons à présenter l'histoire de Vinashin et des solutions proposées à travers quatre sections principales : Partie I. Information générale du groupe Vinashin Partie II. Les difficultés

conjugué d’événement politiques, sociaux et culturels qui touchent à la fois les comportements individuels et les attitudes collectives pour défendre sa pérennité, l’entreprise est obligée d’accorder plus d’importance au capital humain, en tant que facteur clef de succès, qu’aux autres capitaux (techniques ou financiers) et de le gérer avec la plus grande attention et ne plus le considérer comme un centre de coût mais comme une source de richesse qu’il faut gérer, promouvoir et développer CHAKRI Hassan-KAMIL

influence prépondérante, de par le contrôle direct ou indirect qu’il exerce sur les plus grandes entreprises (Mertens-Santamaria, 1997). Les entreprises publiques recouvrent des formes juridiques très diverses tant sur le plan international que national ; ainsi, sur le plan français, au-delà, des organisations sans personnalité morale autonome, simples budgets annexes de l’État (ou régies des collectivités locales) qui réalisent des opérations commerciales, on distingue traditionnellement (Linotte