Capitalisme et liberté

(état-Unis, gouvernement social). 1932 « business cycles » est celui qui va créer une rupture importante : le capitalisme peut fonctionner que s'il est encadré par l'état. Le socialisme peut fonctionner que si il y a des poches de capitalismes / libertés dans le système (Kolkhozes en URSS du communisme). D'où l'idée qu'il y aurait convergence des systèmes économiques. En 1942 : « capitalisme, socialisme et démocratie »,1950 « histoire de l'analyse économique »oeuvre postum. Elle fut traduit tard en

penser, Corps = étendue Âme = pensée. La volonté est pour Descartes un pouvoir d’affirmation ou de négation de l’esprit. Pour le philosophe, la conduite de la vie morale est exigeante car on a la liberté de faire le pire même si le bien nous est proposé par l’entendement. Ainsi, la liberté de l’H fait naître la difficulté à atteindre une vie que l’on nomme morale. Naît alors la bonne volonté pour vivre conformément à la morale. Ainsi, nous avons le devoir de bien juger, de faire le meilleur

l’éthique protestante et de l’esprit du capitalisme. Il s’appuie sur Luther qui refusait l’idée par les œuvres au profit du salut par la grâce. Comme les protestants ne peuvent pas s’assurer de leurs saluts par leurs œuvres comme les catholiques, ils vont se rassurer en cherchant des signes de grâce autrement dit la chance, la fortune d’où le capitalisme. Le meilleur signe est d’avoir beaucoup d’argent et dans donner. Cette éthique protestant est à l’origine du capitalisme et va se laïciser afin de trouver

les ouvriers travaillant chez Ford pouvaient acheter la voiture qu’ils fabriquaient. Le fordisme est l’alliance efficace du taylorisme et de l’encouragement de la consommation. Le rôle régulateur de l’État accompagne ce mode de développement du capitalisme. Le fordisme a pris naissance aux États-Unis, puis s’est massivement développé en Europe après la seconde guerre mondiale. Il est souvent associé à la notion d’« État providence ». La tension entre les classes sociales aux intérêts opposés était

absolue: l'avare qui jouit de l'argent qu'il possède sans user de son pouvoir n'est ainsi que l'esclave de cette puissance abstraite. Dans la partie "synthétique", Simmel étudie les effets de la monétarisation universelle des relations sociales sur la liberté, la culture et le style de vie. L'économie monétaire conduit à de nouvelles formes de dépendance: l'emprunt, l'utilisation des moyens de production dont on n'est pas propriétaire. La division du travail multiplie les dépendances et favorise ainsi

l’éthique protestante et l’esprit du capitalisme » ou encore « Economie et société ». Dans cet ouvrage en particulier, il expose son approche de la rationalisation des activités humaines. La rationalisation des activités sociales caractérise le fait que les actions rationnelles en finalité prennent le pas sur les actions traditionnelles. C’est ainsi, que Weber au cours de son analyse, met l’accent sur le lien qu’il existe entre éthique protestante et esprit du capitalisme, autrement dit sur les conséquences

elle a conduit à long terme à une élévation sans précédent du niveau de vie. -Les libertés La période révolutionnaire de la fin du XVIIIe siècle a permis de dépasser l’ordre social hiérarchique de l’Ancien Régime en élargissant la liberté individuelle. La révolution française affirme les droits individuels de l’homme et les grandes libertés économiques : liberté d’entreprise, liberté du commerce, liberté du travail. Jusqu’à la Révolution, l’exercice d’une profession, d’un commerce, etc. était

Contenus L’objet de l’économie Eléments de méthodologie économique Unité 2 Les caractéristiques du libéralisme Unité 3 L’économie régulée par le marché Connaître les principaux concepts du libéralisme - Eléments de vocabulaire : capitalisme, économie de marché, libéralisme économique, libéralisme politique. Comprendre le fonctionnement des marchés concurrentiels - Les principes du libéralisme L’offre La demande Le marché de concurrence pure et parfaite 2 Malik Hadj L1

référence au principe de la séparation des pouvoirs (issus de l’esprit des Lumières – Montesquieu) qui | | | |permettent de garantir les droits fondamentaux, notamment les libertés individuelles. De plus, le Président ne peut gouverner| | | |sans le Congrès (= sans l’assentiment des élus du peuple), ce qui explique que l’on retrouve la même symbolique

classiques de la fin du XVIIIe et du début du XIXe, l’Etat doit être minimal dans ses fonctions (défense, justice, police) : celles d’un Etat-gendarme, appliquant, en arbitre, les règles générales d’un jeu social conçu pour le plein exercice des libertés individuelles ; un Etat du laisser-faire, laissez-passer, qui s’en remet, pour le reste et l’essentiel, à la négociation contractuelle entre individus libres et égaux en droit, c’est-à-dire au marché. Mais Adam Smith définit explicitement les devoirs