Captieux

Paul" et d'"Yvette", est bien le support d'élection de cette oeuvre de vertige. Eaux salines âprement vivifiantes de la Manche, dans les plus belles plages des romans ; eaux douces, alanguies, riantes en surface, invitant au plaisir, mais au charme captieux. De la lumineuse "Partie de campagne", joliment adaptée au cinéma par Jean Renoir, au glauque hypnotisme de "Sur l'eau", nous suivons cette métamorphose de l'élément et le virage progressif à l'angoisse de la grosse gaieté partagée. C'est aussi

| | |- Qui tend à tromper sous des apparences de vérité, de belles apparences, mais qui induit en erreur. | |- Captieux |Ex: Sous ses ombrages captieux, la forêt ne tend plus aux visiteurs l’asile traître de son incidieuse | | |fraîcheur. | |

tâte en vain pour trouver la blessure. A travers la cité, comme dans un champ clos, Il s'en va, transformant les pavés en îlots, Désaltérant la soif de chaque créature, Et partout colorant en rouge la nature. J'ai demandé souvent à des vins captieux D'endormir pour un jour la terreur qui me mine ; Le vin rend l'œil plus clair et l'oreille plus fine ! J'ai cherché dans l'amour un sommeil oublieux ; Mais l'amour n'est pour moi qu'un matelas d'aiguilles Fait pour donner à boire à ces cruelles

vitupéraient la direction ». Critiquer, Stigmatiser. Fallacieux : adj. Qui vise à tromper. « Des excuses fallacieuses ». Mensonger, Spécieux. Spécieux : adj. Qui induit en erreur par une apparence de vérité. « Elle a invoqué des raisons spécieuses ». Captieux, Fallacieux, Trompeur. Apologue  : n.m. Court récit comportant un enseignement de caractère souvent moral. « Les fables de La Fontaine sont des apologues ». Brûlot : n.m. Journal, tract, article violemment polémique. « Un brûlot contre le pouvoir

Artificiel : Produit par une technique humaine et non pas par la nature Ou : qui manque d'authenticité Artificieux : Rusé, hypocrite Captieux : Qui cherche à enduire en erreur

nature indépendante, sur leurs fonctions et leurs effets l'un sur l'autre. Le raisonnement s'effectue en trois temps. Dans un premier temps, Bergson explique pourquoi nos sensations nous paraissent constantes. Dans un second, il expose le caractère captieux du langage qui nous trompe puisqu'il est inapte à suivre le mouvement et la variabilité de nos sensations et dans un troisième et dernier temps. Enfin, il tourne le processus de création de mots censés représenter plus justement les sensations en

sur sa jeunesse dont on ne saura si vraie ou fausse Candeur Cécile : aime Mme de Merteuil autant que Danceny " et quelquefois j’aimerais qu’elle fût lui " Lettre 56, 57, 58 Mme de Tourvel ne veut + être " embarrass(ée) " par les " raisonnements captieux " de Valmont, lettre 56 sa dernière lettre ! Valmont fait les comptes dans la lettre 58 : 10 jours d’exil et seulement deux lettres Lettres 59, 60, 61, 62, 63 Accent mis sur les amours de Cécile et Danceny : lettres de Cécile découvertes dans

à craindre, dans toutes sortes de domaines, les effets de la passion. B. Les deux discours de Socrate • Socrate applaudit ironiquement un discours aussi « divin ». Il souligne sa propre ignorance en la matière et feint de faire sien l’argument captieux de Lysias, dans un discours d’apparence rhétorique. En réalité, dès ce premier discours, Socrate élève le propos à un niveau proprement philosophique. Pour au moins trois raisons : 1) Socrate juge indispensable d’établir « d’un commun accord, quelle

affaires éclairent les rapports problématiques que les commentateurs pressés entretiennent avec les faits sociaux. Il est évident que l'urgence à diffuser une information augmente la probabilité du recours abusif aux stéréotypes et aux raisonnements captieux qui alimentent un empire fort prospère dans les démocraties contemporaines : celui des croyances.

est fait généralement avec mauvaise foi. Sophiste : c’est le maitre de rhétorique et de philosophie chez les grecs, il enseigne l’art de parler en public. Parler en public : parler en présence d’un public à l’aide de raisonnements subtils, captieux (séduisant mais pour mieux induire en erreur) ou spécieux. Sophistique : pure artifice argumentatif, sens péjoratif ; c’est l’art de défendre une cause et son contraire indifféremment. La sophistique apparait comme une perversion de la rhétorique