Caracalla

l’esclavage. 1.1.1. Gouverner à Rome. Durant les premiers siècles de la République : par naissance. A partir du IIème siècle ACN : - par naissance - par affranchissement - par rachat - par stratégie militaire - en 213, Caracalla octroie la citoyenneté à tous les habitants - pour services rendus à Rome Classes sociales Les citoyens Les pérégrins Les esclaves (publics ou privés) Qui sont-ils ? Voir condition d’accès à la citoyenneté Tout homme libre mais pas citoyen

par gouverneurs - certains gaulois ont citoyenneté romaine ou sinon étrangers - droit prétorien forme le droit des gens applicable à tous Indépendant religion, droit peu formaliste, se fonde sur le propre de la société Paragraphe 2 : l’édit de Caracalla (212) - aboutissement politique de Rome pour les territoires conquis - unifier statut juridique de tous habitants - processus de romanisation des provinces Chapitre 2 : L’émergence du droit canonique - christianisme s’exprime en grec et en latin

situation, il prend le nom symbolique de Caracalla qui est le nom du manteau militaire des Gaulois. On voit que chez ses soldats, non italiens on commence à passer vers d’autres valeurs. Caracalla va chercher à promouvoir ces nouvelles valeurs ; il prend une célèbre mesure : l’Edit de Caracalla de 212, extrêmement important, il décide par cet Edit, d’augmenter la taxe de succession de moitié. Mais cette taxe n’était payée que par les citoyens romains, l’astuce de Caracalla va être d’étendre la qualité de

des esclaves
 Enfin sous l’Empire, généralisation du droit de cité par 2 moyens : -multiplication des concessions - loi « édit de Caracalla » en 212. Texte confère la citoyenneté à presque tous les habitants libres de l’Empire( sauf « pérégrins déditices  » :

vont persister malgré deux facteurs qui auraient pu inciter les étrangers à adopter le droit romain, la technicité du droit romain, le droit romain classique est extrêmement précis, il apporte des outils juridiques très utiles, et puis l'édit de Caracalla qui a permis d'accorder la citoyenneté romaine à l'ensemble des ressortissants de l'empire. De ce fait, on aurait pu penser qu'ils auraient voulu l'application de ce droit romain classique. Or l’application des coutumes persiste jusqu'à avoir une

est réunie à l'Italie qui s'arrête désormais aux Alpes. Cette dernière limite est fixée au trophée des Alpes mais est ensuite déplacée. Rome attribue ensuite la citoyenneté romaine à l'ensemble des Italiens, puis l'étend à tout l'Empire (édit de Caracalla, 211-212) [pic] La fondation de Rome est due, selon la légende, à Romulus et Rémus au milieu du VIIIe siècle av. J.-C.. La civilisation de Rome connut une première phase d'expansion sous le gouvernement des rois de Rome, qui sont également

Fondation de la République Lutte des patriciens et des plébéiens Loi des XII Tables Conquêtes : Italie, Bassin méditerranéen, Macédoine, Grèce, Asie Mineure, Espagne, Gaule narbonnaise Crise de la République Auguste empereur Principat Edite de Caracalla : tous les libres de l’Empire deviennent citoyens romains Dominat Edit de Milan : le christianisme est religion licite Edit de Thessalonique : le christianisme est religion d’Etat Partage de l’Empire romain Chute de Rome Code Théodosien Fin

jusqu'au XVIIIe siècle pour un édifice antique. C'est à Rome qu'ils étudièrent les monuments antiques : le Panthéon, le Colisée, le théâtre de Marcellus, les vestiges du forum, les arcs de Septime Sévère et de Titus, les thermes de Dioclétien et de Caracalla, la basilique de Maxence et celle de Constantin (l'antique Saint-Pierre démolie au début du XVIe siècle).

contentieux entre un citoyen romain et un pérégrin, on utilisait le jus gentium qui était un droit international privé . On peut constater jusqu'au début du IIIème siècle, un pluralisme politique dans l'empire romain. Seulement en 212, l'édit de Caracalla généralise la citoyenneté à l'ensemble de l'Empire. A cette époque également, d'anciennes traditions juridiques et coutumes locales pérégrines sont même élevées au rang de coutume provinciale romaine. Au total, l'une des clés de la réussite romaine

magistrat romain aux notables et magistrats de la Gaule chevelue (d’abord au peuple des Eduens). Cf. les réticences du Sénat. -des provinces entières (Espagne, Narbonnaises, Afrique) ou des cités proches du Danube disposent de ce droit. -L’Edit de Caracalla en 212 semble être l’aboutissement de ce processus d’ouverture puisque tous les habitants de l’Empire (sauf les dedicites) se voient octroyer la citoyenneté romaine. La personnalité sulfureuse de cet empereur n’a pas manqué de donner lieu à des critiques