Caractère D Harpagon

élaborées approfondissant caractère et étude sociale, en vers comme Le Misanthrope (1665), Tartuffe (1664-1669), Les Femmes savantes (1672), ou en prose comme Dom Juan (1665). Peintre des mœurs de son temps, surtout de la bourgeoisie dont il dénonce les travers (prétention nobiliaire, place des femmes, mariage d'intérêt...), Molière a créé en même temps des personnages individualisés emblématiques et approfondis dont la liste est longue : Monsieur Jourdain, Harpagon, Alceste et Célimène, Tartuffe

plus élaborées approfondissant caractère et étude sociale, en vers comme Le Misanthrope (1665), Tartuffe (1664-1669), Les Femmes savantes (1672), ou en prose comme Dom Juan (1665). Peintre des mœurs de son temps, surtout de la bourgeoisie dont il dénonce les travers (prétention nobiliaire, place des femmes, mariage d'intérêt…), Molière a créé en même temps des personnages individualisés emblématiques et approfondis dont la liste est longue : Monsieur Jourdain, Harpagon, Alceste et Célimène, Tartuffe

personnages emblématiques tels que "Harpagon", "Alceste", "Tartuffe", "Dom Juan" et bien d'autres encore. Dans son oeuvre Le Malade imaginaire, Molière critique la médecine du XVIIe siècle. On sait qu'au moment où il écrit cette pièce il est déjà malade et ce n'est pas pour rien qu'il se moque cruellement des médecins de son époque. * Le comique de caractère introduit par Molière à travers

même rôle. Avec cette devise, la comédie se donne un rôle moral et pédagogique. Elle élargit son champ d’action: au-delà d’une époque donnée, elle met en cause des types qui se retrouvent à travers le temps : le Bourgeois gentilhomme,  l’avare avec Harpagon, l’hypocondriaque avec Argan. La représentation de ces pièces doit à chaque fois réfléchir sur l’actualisation de ses personnages, et le rire du spectateur gagne en subtilité. Le rire sert aussi à divertir pour éliminer l’angoisse. Cependant

plus élaborées approfondissant caractère et étude sociale, en vers comme Le Misanthrope (1665), Tartuffe (1664-1669), Les Femmes savantes (1672), ou en prose comme Dom Juan (1665). Peintre des mœurs de son temps, surtout de la bourgeoisie dont il dénonce les travers (prétention nobiliaire, place des femmes, mariage d'intérêt…), Molière a créé en même temps des personnages individualisés emblématiques et approfondis dont la liste est longue : Monsieur Jourdain, Harpagon, Alceste et Célimène, Tartuffe

action qui n’a pas pu se dérouler sur la scène. Le monologue confie au public une action à venir (coup de théâtre, dénouement), Le personnage peut prendre à partie les spectateurs pour leur confier un secret.Il donne un aperçu sur le caractère du héros exemple Harpagon (L’avare de Molière). Il permet au public de mieux comprendre le personnage comme par exemple dans le Malade imaginaire de Molière où le héros clame sa solitude face à la maladie et à sa famille . On le voit le monologue est un

composent, au théâtre, ce qu'il est convenu d'appeler le public. Tout d'abord la femme : elle cherche de la passion, l'épuration de ses sentiments. Elle demande au théâtre de lui procurer des émotions. Ensuite vient le penseur. Lui veut plutôt des caractères. Ce qui l'amène au théâtre, c'est donc la méditation. Enfin vient la foule proprement dite. Elle demande presque exclusivement de l'action, et souhaite être impressionnée et avoir des sensations. Si l'on réunit tout cela, on remarque que le public

généralement mal, développe les moyens nécessaires et efficaces pour corriger les défauts des hommes. D’abord, comme le voulait Aristote, qui, dans sa Poétique, la définit comme « l’imitation d’une action de caractère élevé et complète », la tragédie doit présenter un sujet de caractère élevé et des personnages nobles (rois, princes…) ou même mythologies (tel Œdipe dans La Machine Infernale de Cocteau) à haute élévation morale représentant des valeurs. Cette exemplarité de l’action et des personnages

sociaux comme le valet de comédie débrouillard et son maître impuissant (Toinette et Argan, Scapin et Géronte ou Figaro et Almaviva) ou le vieux barbon (Arnolphe dans L'École des femmes), l’ingénue (Agnès dans l'École des femmes), le tyran domestique (Harpagon, Orgon dans Tartuffe), le roi (Titus dans Bérénice, don Carlos dans Hernani, Créon dans Antigone)… On peut également établir des stéréotypes psychologiques comme l’amoureux ou l’amoureuse (Phèdre, Perdican), le benêt (Sganarelle dans Dom Juan), l’hypocrite

plus élaborées approfondissant caractère et étude sociale, en vers comme Le Misanthrope (1665), Tartuffe (1664-1669), Les Femmes savantes (1672), ou en prose comme Dom Juan (1665).Peintre des mœurs de son temps, surtout de la bourgeoisie dont il dénonce les travers (prétention nobiliaire, place des femmes, mariage d'intérêt…), Molière a créé en même temps des personnages individualisés emblématiques et approfondis dont la liste est longue : Monsieur Jourdain, Harpagon, Alceste et Célimène, Tartuffe