Caractère D Harpagon

informent sur leur statut social. Il est vrai qu’un servant et qu’un bourgeois ne seront pas habillés de la même façon. Dans L’Avare, Harpagon porte une fraise, ce qui est signe de richesse. On remarque aussi que les costumes usés de Vladimir et d’Estragon dans la pièce de Beckett fait des ces personnages des bourgeois déchus. Ils nous informent également du caractère du personnage, notamment par la couleur de l’habit. Dans la représentation théâtrale de Phèdre, l’héroïne est dotée d’une vieille robe

plus élaborées approfondissant caractère et étude sociale, en vers comme Le Misanthrope (1665), Tartuffe (1664-1669), Les Femmes savantes (1672), ou en prose comme Dom Juan (1665). Peintre des mœurs de son temps, surtout de la bourgeoisie dont il dénonce les travers (prétention nobiliaire, place des femmes, mariage d'intérêt...), Molière a créé en même temps des personnages individualisés emblématiques et approfondis dont la liste est longue : Monsieur Jourdain, Harpagon, Alceste et Célimène, Tartuffe

d’enthousiasme. Scrooge était un MISANTHROPE (QUI N’AIME PAS LES HUMAINS). Devant le spectre de son ami et associé, SCROOGE fut dubitatif, si bien qu’il pensait à une farce ou à un guet-apens. Il faudra interroger Jacob Marley enchaîné pour que SCROOGE/HARPAGON crût en son apparition son existence réelle. 2EME COUPLET Le 1er esprit : ressemblait à une bougie ANTHROPOMORPHE-qui a les mêmes attributs qu’1 être humain doté de paroles-En effet, de sa tête jaillit une lueur extraordinaire, et sous son bras

temps, notamment en Grèce où le théâtre est apparu avec les cortèges de Dionysos. Afin de les définir et les différencier, Beaumarchais a déclaré que "le genre d'une pièce, comme celui de toute autre action, dépend moins du fond des choses que des caractères qui les mettent en oeuvre." En effet, le registre attribué à une pièce théâtrale, ou une autre oeuvre littéraire, serait définie par des procédés choisis par l'auteur plutôt que l'intrigue et la morale qui sous-tendent l'oeuvre. On peut ainsi se

geste, de caractère....) déclenchent un sourire. Mais regarde les grecs dans l'antiquité allaient au théâtre pour s'instruire. C'était d'abord un tremplin pour faire véhiculer des idées en utilisant l'ironie, ou encore en dénonçant les ridicules des mœurs de la société. C'est par la suite que c'est devenu un lieu de divertissement. Bernard: Mais il existe pour la plupart des comédies voire toutes, un personnage destiné à faire rire uniquement par son ridicule tel que Harpagon dans l'Avare

occupations sérieuses. Elle acquiert ainsi ses lettres de noblesses, surtout grâce à Molière qui est le plus reconnu des acteurs comiques de cette époque. Ex : Dans le placet sur « Tartuffe ». Molière insiste sur la valeur didactique de ses comédiens de caractère. Au XVIIIème siècle la comédie subit quelques critiques venant de philosophes, mais elle triomphe quand même et sait continuer à se faire apprécier. Evolution de la comédie Le XIXeme siècle voit naitre en France de nouvelles écritures comiques

vieillissement, puis cette étrange jeunesse de certaines pièces, que nous lisons ou allons voir au théâtre avec toujours autant de plaisir. Une comédie est drôle, car elle montre ce qui est risible dans un personnage, en exagérant un trait de caractère ou un défaut, par exemple l’avarisme, l’égoïsme, la séduction. Mais les défauts risibles, humains ou de la vie, ne sont pas les mêmes en fonctions des époques : pendant l’Antiquité, le public romain appréciait les satires sur un âge ou un milieu

alléguer en revanche : • la conception romantique ; le caractère sublime de la passion ; l’intérêt du public pour tout ce qui touche à l’amour même simplement lyrique (Hernani, Ruy Blas). • Mais cela ne prouve pas la valeur dramatique de l’amour : les ressources qu’offre l’amour passion comme ressort tragique sont la pitié par la sympathie qu’il éveille (cf. Junie, Iphigénie, Mithridate) ; la terreur, par sa fatalité, la dégradation du caractère qu’il provoque (cf. Oreste, Phèdre) ; sa puissance dramatique

parce que l'on peut rapprocher certains éléments, tels le mouvement des blés et celui des vagues, le caractère infini de l'étendue... on parle de métaphore filée lorsqu'une métaphore se trouve développée à travers une succession de termes : on passe de la plaine à la mer, puis on évoque des voiles, ou la couleur bleue. La métaphore est une image qui enrichit un énoncé par son originalité, son caractère inattendu. Elle crée ou révèle des analogies et des rapports entre des domaines différents, et donne

plus élaborées approfondissant caractère et étude sociale, en vers comme Le Misanthrope (1665), Tartuffe (1664-1669), Les Femmes savantes (1672), ou en prose comme Dom Juan (1665). Peintre des mœurs de son temps, surtout de la bourgeoisie dont il dénonce les travers (prétention nobiliaire, place des femmes, mariage d'intérêt…), Molière a créé en même temps des personnages individualisés emblématiques et approfondis dont la liste est longue : Monsieur Jourdain, Harpagon, Alceste et Célimène, Tartuffe