Caractère De Jean De La Bruyère

Nous avons affaire ici, à un corpus de trois textes ayant pour objectif commun la dénonciation de la misère. Un premier texte datant du 17ème siècle, nous livre un extrait de l’essai Les Caractères de « l’Homme » de Jean de la Bruyère, classiciste. Le second est une définition de « misérable » apparût au cours du siècle des Lumières (1751-1772), rédigée par Diderot et d’Alembert, créateurs de l’Encyclopédie. Puis le dernier texte, réalisé par le chef du romantisme Victor-Hugo est un discours,

en évidence le rôle majeur du lecteur. « Tout est dit, et l’on vient trop tard, depuis plus de sept mille ans qu’il y a des hommes et qui pensent » écrit La Bruyère au début de ses Caractères, qui tire effectivement leurs inspirations de l’ouvre du grec Théophraste. Comment, au XXIème siècle, peut-on créer, alors qu’au XVIIème, La Bruyère ne le pouvait déjà plus ? Est-il seulement possible pour un artiste de ne pas imiter ? En effet, mêmes les textes les plus anciens de la littérature occidentale

1. à travers les siècles , des auteurs célèbres ont utilisé le rire pour contester ou critiqué la société dont il ont fait partie ils employés différent moyen et à chacun son style pour toucher le publique , Jean de Bruyère a écrit les caractère ou des mœurs de ce siècle en 1688 , on va s’intéressé particulièrement à un passe ou il dresse le portrait de IPHIS voltaire lui raconte une histoire drôle avec des personnage bien réel pour se moqué du Journal de Trévoux en 1759 dans Relation de la maladie

jusqu'à nos jours. Ses pièces principalement comiques, ont dénoncé le travail des médecins. Jean de La Bruyère (1645-1696) était un écrivain qui était connu pour n'avoir écrit qu'un seul livre "Les caractères", mais en huit éditions. Fidèle à la lignée de tous les moralistes classiques, il s'attache à découvrir la permanence dans la nature humaine, à dégager, par-delà les traits particuliers, les caractères éternels. Mme de La fayette (1634-1693)

Fontaine : ← Candide chap VI, Voltaire : ← « La dent d’or », Histoires des oracle, Fontenelle : 2. VERITE DE LA VIE ET SUJETS TRES SERIEUX A TRAVERS PLAISIR ← La fable et la verite, Jean-Pierre Claris de Florian : ← Les obsèques de la lionne, jean de la fontaine: ← le petit Poucet, Charles Perrault : attire l’attention sur la question de la famille ← le Petit Chaperon Rouge : la pédophilie 3. LA FORCE DES FABLES : DIVERTIT ET CAPTIVE

pauvres en Irlande d’être à charge à leurs parents et à leur pays et pour les rendre utiles au public, dans André Breton, Anthologie de l’Humour noir, Paris, Pauvert, 1966, Paris, Le Livre de Poche, 2011. Photocopie.  2) XVIIème siècle : Jean de La Bruyère, Les Caractères, De la mode, 24. Weblettres.  3) XVIIIème siècle : Charles-Louis de Secondat, baron de Montesquieu, Les Lettres persanes, lettre XII. Weblettres.  4) XXème siècle : Paul Valéry, La Crise de l’esprit. Weblettres.  Objet d’étude 2 :

l’argumentation du XVIe à nos jours. CORPUS ___________________________________________ TEXTE A. Jean de La Bruyère, Les Caractères, 74, 1696 TEXTE B. Montesquieu, Lettres persanes, Lettre 28, 1721. TEXTE C. Voltaire, L'Ingénu, 1767. I. La question sur le corpus (/4). Après avoir lu les textes du corpus, vous répondrez à la question suivante : Expliquez l’objectif principal qui rapproche les textes de La Bruyère, Voltaire et Montesquieu. Vous analyserez les différents procédés littéraires utilisés

d'autres arts comme la musique, la peinture ou l'architecture. Il suit des règles qui doivent être respectées pour faire passer un message à ses lecteurs et pour montrer sa grande classe ainsi que sa beauté. Principaux représentants : Jean Racine, Molière, La Bruyère, Corneille, La Fontaine, Boileau Ses principes : Il s’inspire et prend pour modèle sur les œuvres de l’antiquité gréco-romaine = modèle de perfection. Le classicisme s’oppose au baroque : le baroque conçoit le monde comme étant en

classe. Le respect des règles héritées des Grecs et des Romains, l'économie des moyens, le caractère mesuré opposent les œuvres classiques aux œuvres baroques basées sur l'abondance et l'émotion. Le roman La Princesse de Clèves de Mme de La Fayette Lettres de la religieuse portugaise de Guilleragues Le théâtre Horace, Cinna, Polyeucte… de Pierre Corneille Andromaque, Britannicus, Phèdre…de jean Racine Dom Juan, Tartuffe, Le Malade imaginaire de Molière La poésie Fables de La Fontaine

seigneuriales (cens). Ils sont astreints aux banalités et aux corvées. Les personnages clef : Beaucoup d'écrivains illustres ont critiqué, sous couvert de comédies ou de fables, la société d'ordres. Les fables de Jean de La Fontaine, les satires de Nicolas Boileau, les caractères de Jean de la Bruyère et les pièces de Molière dénoncent les travers du système. Le Bourgeois gentilhomme se moque de Monsieur Jourdain qui veut imiter le genre de vie des nobles. La pensée critique connaît un essor à la fin du