Caractéristiques Libertinage

accepte de “souper” avec la statue du Commandeur. Pourtant la venue soudaine de la statue du Commandeur, qu’il avait tué peu de temps auparavant aurait pu l'impressionner. C’est ce qui fait de lui un personnage courageux, l’une des principales caractéristiques d’un héros. 3ème sous partie → Enfin, dans l’acte 3, scène 2, il fait preuve de générosité, de charité, avec le pauvre qui lui, pourtant ne fit pas ce que Dom Juan lui avait demandé : “Eh, prie-le qu'il te donne un habit, sans te mettre en peine

Duc de Flandres prend son poste de Premier Ministre et assure directement la régence politique amorcée en 1715. A sa mort, ce seront le Duc de Bourbon puis le Cardinal de Fleury. Elle prend réellement fin à la mort de ce dernier, en 1743. Les caractéristiques culturelles de la Régence : irrespect, frivolité, fantaisies de la part des courtisans : les « Roués » (_hommes cyniques et séducteurs_) aux côtés du Régent vont apparaître et conduisent un mouvement de désacralisation des valeurs et repères

avec les autres personnages et rôle dans l’action : fils de Dom Louis, maître de Sganarelle. • Caractéristiques physiques : élégant, séducteur, jeune. • Caractéristiques morales : Beau parleur, hypocrite, libertin, courageux. Sganarelle : • Eléments d’identité : homme, célibataire, valet de Dom Juan. • Lien avec les autres personnages et rôle dans l’action : valet de Dom Juan. • Caractéristiques morales : fidèle à son maître, croit en Dieu, confident, conscience de Dom Juan. Done Elvire

Il semble cependant que Molière n’ait eu connaissance que des versions italiennes et françaises. Cette pièce s’inscrit dans un projet de Molière de « dénoncer les vices du siècle », en particulier l’hypocrisie. Elle est une réflexion sur le libertinage et ses excès. Molière est adepte de la libre-pensée, mais respecte les convictions religieuses note . Il s'attaque principalement à toute forme d'hypocrisie, que ce soit celle du dévot ou celle du libertin. En présentant un libertin foudroyé par

par conséquent une sorte de nouveau départ. Il quitte ses parents pour rejoindre un nouveau cadre familial où il gagnera en maturité et en responsabilité, laissant derrière lui le libertinage: «Dans ce renouveau du coeur, j’oubliais ou je méprisais mes récentes découvertes. Je prenais(…)pour la fin du libertinage.»(l.54-57). Cette nouvelle situation opère un changement sur le narrateur. Nous retrouvons cette symbolique dans la «vigne vierge»(l.35) du jardin, qui représenterait en effet le renouveau

XVIIeme siècle. En cette période classique, règne de l’honnête homme, le personnage espagnol excessif intéresse le moraliste qu’est Molière. Cependant, avec ambiguïté, le dramaturge en fait également un porte-parole des esprits forts de son temps, du libertinage d’esprit, de bien des critiques et contre la toute puissante Compagnie du Saint Sacrement. L’acte III : DJ est en fuite dans la forêt. Au 17e, c’est un lieu qui incarne le danger. Scène 1 : Parachèvement de la fuite par

qualifier des individus qui s’écartent des dogmes de l’Eglise catholique. Ainsi Molière en publiant le Dom Juan en 1665 met en scène l’archétype du personnage libertin à travers son héro éponyme. En effet Dom Juan rassemble à lui seul toutes les caractéristiques du libertin de mœurs et de pensées. Dès la scène d’exposition Dom Juan est présente par son valet comme un « pourceau d’Epicure ». La première apparition physique de Dom juan, acte I scène 2 laisse a voire DJ et Sganarelle dissertant sur la conduite

Analyse de l'image 1)Moyen âge: Art roman Repère chronologique : Du 11 au 13ème siècle Étymologie et origine du nom et pays : Caractéristique général: Décoration très simple, voir inexistante l'art du moyen ages est un art religieux Religion=> qui fait peur au fidèle Les bâtiments sont basé l'horizontalité Les église son construite par les moines et les prêtres Il y a peu de fenêtre, elles sont construite dans les villages car elles sont de petite

est une bonne occasion pour Voltaire de critiquer la superstition, le fanatisme et l’intolérance, même s’il n’est pas ennemi systématique de la religion. Il dénonce tout d’abord le moine qui dérobe les diamants de Cunégonde, l’immoralité et le libertinage de l’abbé périgourdin, l’alliance que fait le grand Inquisiteur avec un juif (qu’il aurait d’ordinaire envoyé au bucher) pour se partager Cunégonde. L’alliance de l’Eglise et de la politique est aussi le sujet de la critique de Voltaire. Il la dénonce

sous la forme d’un roman d'apprentissage (Anicet ou le Panorama, 1921), un pastiche du roman didactique de Fénelon (les Aventures de Télémaque, 1922), composé en partie selon le principe de l’écriture automatique, et un recueil de nouvelles (le Libertinage, 1924). L’année même où paraît le premier Manifeste du surréalisme de Breton, Aragon expose sa propre conception du surréalisme dans un texte théorique (Une vague de rêves, 1924), prônant le « merveilleux quotidien », issu de la rencontre de l’imaginaire