Carcassès

-----------4) Dans « Une charogne », Baudelaire transforme la laideur repoussante en objet poétique esthétique en introduisant une imagerie érotique, en associant la femme et la nature, les fleurs – choses belles – à la carcasse – chose laide : « Et le ciel regardait la carcasse superbe comme une fleur s’épanouir ». Dans son travail de décomposition, Baudelaire donne à l’immonde une part de beauté, prouvant qu’il peut, en effet, faire de l’alchimie poétique, c’est-à-dire rendre esthétique le laid :

Cependant, l'évolution du pH n'est pas homogène dans la carcasse et varie d'un muscle à l'autre, voire même d'un endroit à l'autre au sein du même muscle. Ces variations entre espèces et entre muscles sont en fait liées aux types métaboliques des fibres musculaires. La vitesse de la glycogénolyse est également influencée directement par la température, il est donc primordial de mesurer simultanément le pH et la température de la carcasse pour éviter toute erreur d'interprétation. Maturation

au bec) Euphémisme qui adoucit l’inévitabilité de la mort de l’auteur et qui nous rend empathiques à sa triste réalitéSous-argument 2 : Nelligan est quant à lui attaqué par ses corbeaux, qui veulent le dévorer (champ lexical de la mort brutale : carcasses de zèbres -v.6, chair en lambeaux -v.8, proie et démons – v.9, déchirant à larges coups de bec – v.12) l’auteur se fait dérober sa vie contre son gré Synthèse : les deux auteurs, qui ont vécu presque 3 décennies à la même époque, amènent une même

contraste.      + Idée de dureté et de mort suggéré par le mot « cailloux » qui finit la strophe. 4. Les spectateurs de la charogne     - v.1 « nous vimes » l'objet = charogne     - v.9 « le soleil rayonnait »     - v.13 « le ciel regardait la carcasse superbe »     - v.33 « une chienne inquiète nous regardait » =>  La charogne est le centre d'attraction de la scène. B)    Description réaliste Expressions qui désignent la « charogne » avec réalisme. |Substituts de « charogne »

décomposition : il s'agit d'une « pourriture » qui est « infâme » « d'où [sortent] de noirs bataillons/ De larves », qui sentent mauvais au point de s'évanouir (« La puanteur était si forte, que sur l'herbe / Vous crûtes vous évanouir »). Pourtant, la « carcasse » est « superbe », elle est comparée à une femme (« comme une femme »), ses pattes sont personnifiées en « jambes », elle devient noble avec l'utilisation des alexandrins et la régularité des vers. Dans « la Mort des pauvres », le poète met en avant

l’importance de la triperie boyauderie - des ateliers annexes (salaison, conserverie…) En Europe les volumes d’eau rejetés peuvent être estimé à : - 6 à 9 l par kg de carcasse de bovins (320 à 350 kg) - 5 à 11 l par kg de carcasse de porcins (80 à 90 kg) La représentation des charges polluantes est la suivante [1]: g par kg de carcasse DCO DBO5 Graisses (SEC) N total MES Abattoirs gros polyvalents 32,3 ± 5,2 13,2 ± 2,2 5,2 ± 1.5 1,6 ± 0,3 11,8 ± 2,5 bovins et Abattoirs porcins

façon nonchalante et cynique Son ventre plein d'exhalaisons. Le soleil rayonnait sur cette pourriture, Comme afin de la cuire à point, Et de rendre au centuple à la grande nature Tout ce qu'ensemble elle avait joint; Et le ciel regardait la carcasse superbe Comme une fleur s'épanouir. La puanteur était si forte, que sur l'herbe Vous crûtes vous évanouir. Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride, D'où sortaient de noirs bataillons De larves, qui coulaient comme un épais liquide

enroulements statoriques créent un champ magnétique tournant, sa fréquence de rotation est nommée fréquence de synchronisme. Si on place une boussole au centre, elle va tourner à cette vitesse de synchronisme. Il est constitué par : - La culasse ou la carcasse : C’est un anneau en acier portant intérieurement les pôle et aux extrémités les flasques palier au centre desquelles sont fixés les roulements supportant l’arbre du rotor. La culasse ferme le circuit magnétique. - Les pôles (noyau polaire et épanouissement

→ personnification, il  préfère un supplice atroce consistant à se faire dévorer vivant par des corbeaux à la pitié du monde « des pleurs et des larmes » ce qui est accentué par le champ lexical de la mort violente “corbeaux”, “saigner”, “carcasse”- « carcasse immonde » = dévalorisation du poète => il ne s’imagine pas dans un beau linceul mais en décomposition=> le poète souhaite tout le contraire de ce que la majorité des personnes désirent comme mort : il souhaite une mort violente, seul

fatalité de façon très différente. Sous-argument 2.1. D’un côté, dans les corbeaux, Nelligan utilise le champ lexical de la mort comme : Preuves  : « funèbre » V.2, « Lugubrement, » « Tombeaux, » V.5 « carcasse de zèbres » V.6 et « charogne » V.1. Pour exprimer avec brutalité son profond désarroi.Sous-argument 2.2. Tandis que Saint Denys Garneau, dans la Cage d’oiseau, la souffrance du poète vient de l’intérieur. Il a une solitude qui le pèse