Carcassès

d'une façon nonchalante et cynique Son ventre plein d'exhalaisons. Le soleil rayonnait sur cette pourriture, Comme afin de la cuire à point, Et de rendre au centuple à la grande nature Tout ce qu'ensemble elle avait joint; Et le ciel regardait la carcasse superbe Comme une fleur s'épanouir. La puanteur était si forte, que sur l'herbe Vous crûtes vous évanouir. Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride, D'où sortaient de noirs bataillons De larves, qui coulaient comme un épais liquide Le long

péroxydation des phospholipides imputable au fer et conduit à un goût de viande rance. La réfrigération : Vu qu'avec une réfrigération rapide post mortem on atteint un pouvoir de liaison de l'eau plus élevé de la viande, on réfrigère souvent les carcasses après l'abattage dans un tunnel de réfrigération pendant 1 à 2 heures à une température de -4 à -10°C. On l'entrepose ensuite jusqu'à son dépeçage dans un local de réfrigération (dépeçage du porc: au plus tôt après 1 jour; boeuf: au plus tôt après

du moteur de traction sont des bobines plates constituées par des enroulements de fil de cuivre. Elles sont soigneusement isolées et munies de bornes de branchement. Les bobines sont disposées autour des masses métalliques feuilletées fixées à la carcasse : • Les pôles inducteurs Les pôles inducteurs principaux se font toujours face suivant un diamètre. • Les pôles auxiliaires sont des pôles de petites dimensions non feuilletés placés entre les pôles principaux. L’alimentation électrique

Consommation de la viande bovine en France. Pendant longtemps, la viande bovine fut la viande la plus consommée en France. Nous pouvons expliquer cela, par la haute activité agricole française, mais également par la simplicité d’exploitation de la carcasse des bovins. Les premiers abattoirs « industriels » en France était destinées à ces animaux. Pour différentes raisons, la premières est l’équipement, la deuxième est le temps passé sur un bovin par rapport aux kilos de viande traités. Pour abattre

conséquences d’une sélection pour l’ingéré résiduel sur les variations de compositions corporelles et d’utilisation des nutriments ................................................... 173 3.1 La relation entre l’ingéré résiduel et le rendement en carcasse................................ 173 3.2 La relation entre l’ingéré résiduel et les compositions corporelles en lipides et en protéines ..............................................................................................................

personnifiée par le « N » majuscule. Strophe 4 : le sens de l’odorat est évoqué de façon péjorative : puanteur qui découle de cette décomposition du corps. Toutefois, dès le 1er vers de cette strophe, cette charogne amorce sa métamorphose par l’oxymore « carcasse superbe » + comparaison méliorative « comme une fleur s’épanouir ». Le verbe « épanouir » évoque aussi l’éclosion de la vie. Strophe 5 : sommet du répugnant : description du grouillement des insectes dans les chairs. Les sens de la vue et de l’ouïe

même temps que la forme de la charogne (les formes s’effaçaient…) et cet effacement est inquiétant. 3°) Le triomphe violent de la mort Il y a des figures d’exagération, d’amplification, qui montrent que la mort est gagnante : l’oxymore de la « carcasse superbe » n’en est peut-être pas un. Elle est « superbe »  au sens latin parce qu’elle est plus « forte » que le vivant ou la femme aimée. Elle est « un monde » et pas seulement un objet. « infâme », « était si forte que », « putride », « tout cela »

l’année de la peste de De Foe (description clinique de l’effet de la peste sur le corps) L’horreur de l’agonie - matérialisée par les symptômes cliniques L’enfant est petit, fragile « petit malade » l2, « petit corps » l5, « frêle carcasse » l22 Le corps est diminué par la maladie (« osseuses » l34) - Adverbes qui marquent la progression (« un peu », « A nouveau » l20) montrent l’évolution de la maladie en étapes - - Verbes d’action. La réalité de la

de la peste de De Foe (description clinique de l’effet de la peste sur le corps)   1. L’horreur de l’agonie   -         matérialisée par les symptômes cliniques L’enfant est petit, fragile « petit malade » l2, « petit corps » l5, « frêle carcasse » l22 Le corps est diminué par la maladie (« osseuses » l34)   -         Adverbes qui marquent la progression (« un peu », « A nouveau » l20) montrent l’évolution de la maladie en étapes -           -         Verbes d’action. La réalité de la

comme un million d’helminthes, / Dans nos cerveaux ribote un peuple de Démons » « Au lecteur » ). « Une charogne » est tout entier construit sur les rapprochements incongrus entre la décomposition et l’efflorescence (« Et le ciel regardait la carcasse superbe/ Comme une fleur s’épanouir »), entre la putréfaction et les gestes de l’amour (« ... une charogne infâme / Sur un lit semé de cailloux, / Les jambes en l’air, comme une femme lubrique, / Brûlante et suant les poisons »). On pourrait presque