Caresse

Il y a le toucher « les caresses », l'ouïe « du son de sa voix », le goût « le goût de ses lèvres » et bien sur la vue « Elle était jolie, élégante ». Ici, tous les sens sont mis en éveil. Nous voyons là aussi le bonheur de l'amant retrouvant sa maîtresse. Nous pouvons remarquer le registre lyrique mis en valeur par le champs lexical de la joie: « souriant »; « brillant »; « gaiement ». Le champ lexical des sens et de l'amour est aussi très présent (« baisers », « caresses », « gentillesses », « désir »

ailleurs est ainsi le moyen de quitter une réalité insatisfaisante qui prend ici plusieurs formes interprétables de manière diverses. En partant, je renie les relations contradictoires et conflictuelles dans le couple ou dans mes rapports sociaux « la caresse et la mitraille » , le temps qui passe et me rattrape « la marée monte », la tendance à essayer de comprendre pourquoi l'on vit sans y parvenir « chacun refait ses comptes » la modernité scientifique « génétique » ou technique « taxis pour les galaxies

que nous entendons. Si ce que nous entendons nous est désagréable ou ne nous intéresse pas, nous aurons tendance à nous gratter une, voir les deux oreilles. A l’inverse, si ce que nous entendons est agréable, nous aurons plutôt tendance à nous caresser les oreilles, ou sa région. Si une personne vous écoute en ayant son index qui touche son oreille, tout en ayant son petit doigt sur la bouche, cette personne est très intéressée par ce que vous dites. Si par contre la personne vous écoute avec

peu. Cela n’a pas duré très longtemps. Et je n’ai pas bien vu car il faisait encore nuit dans la chambre. Mais je n’ai pas rêvé. J’en suis certain. C’était peut-être un geste involontaire, mais peut-être était-ce comme une caresse, comme le début ou le renouveau d’une caresse ? » (356-357) - le dévouement : le vieil homme - l’amitié - la nature : - « Cela raconte beaucoup de choses une rivière, pour peu que l’on sache l’écouter. Mais les gens n’écoutent jamais ce que leur racontent les rivières

col calciné Et ta beauté me foudroie en plein cœur, comme l'éclair d'un aigle Femme nue, femme obscure Fruit mûr à la chair ferme, sombres extases du vin noir, bouche qui fais lyrique ma bouche Savane aux horizons purs, savane qui frémis aux caresses ferventes du Vent d'Est Tamtam sculpté, tamtam tendu qui gronde sous les doigts du vainqueur Ta voix grave de contralto est le chant spirituel de l'Aimée Femme noire, femme obscure Huile que ne ride nul souffle, huile calme aux flancs de l'athlète

modèlent la phrase. A cela s’ajoutent la présence de l’allitération de la sifflante et l’abondance des « e » muets qui donnent au verset toute sa rythmique : « Savane aux horizons purs, savane qui frémis aux caresses ferventes du Vent d’Est ». Ainsi, avec l’emploi de l’expression « frémir aux caresses », la savane se trouve rehaussée par la personnification. Quant aux versets suivants, ils se distinguent par l’harmonie imitative que le poète utilise en exprimant les sonorités du tam-tam et de la voix

la course de l'eau sur mon corps, cette possession tumultueuse de l'onde par mes jambes » (p.15), « A Tipasa, je vois équivaut à je crois, et je ne m'obstine pas à nier ce que ma main peut toucher et mes lèvres caresser », « Elle est aujourd’hui mon personnage et il me semble qu'à le caresser et le décrire, mon ivresse n'aura plus de fin. » (p.18), et « Il me faut être nu et puis plonger dans la mer » (p.15), citation suggérant l’acte de chair puisque l’auteur mentionne le rapprochement au plus près

exemple, un acteur peut avoir besoin chaque semaine de centaines de « caresses » de la part d’admirateurs anonymes, alors qu’un savant se contentera d’une « caresse » annuelle, provenant d’un maître qu’il respecte. On peut ainsi définir le terme caresse : par extension de sens il est permis d’employer familièrement le mot « caresse » afin de désigner tout acte impliquant la reconnaissance de la présence d’autrui. Par conséquent la caresse peut servir d’unité fondamentale à l’action sociale. Après l’appétit

femme, «parcourir» laissant cependant planer une certaine ambiguïté : s’agit-il de simples regards ou de caresses? On sent que s’exprime ainsi un attrait sensuel suscité avant tout par la plastique de la femme aimée, qui n’était bien ce qui retenait Baudelaire auprès de Jeanne Duval. Cependant, au vers 10, la géante nous est rappelée par les «genoux énormes», qui offrent étonnamment à la caresse comme la pente d’une montagne, car, dans une nette gradation, son corps ayant, au cours même du poème,

c’est nous qui la tissons. (SMILES) LA LIBERTE Entre la maison et l’épicerie, il y a des petites parcelles de bonheur… Un oiseau, un jardin, le bonjour d’un ami, un sourire d’enfant, un chat se prélassant au soleil en quête de caresse. Remarquez-les ou ignorez-les. Le choix vous appartient toujours. (Annelou DUPUIS) Nul n’est libre qui ne sait se maîtriser. (PYTHAGORE) Le devoir de chaque homme est de chercher à se gouverner lui-même. LAO-TSÉ)