Carl Gustav Jung

sorte le discours d'un « inconscient collectif » qui transparaît, « collectif » dans le sens « pas fait de contenus individuels plus ou moins uniques (...), mais de contenus qui sont universels et qui apparaissent régulièrement.[14] ». Comme l'entend Jung, « une condition ou une base de la psyché en soi, condition omniprésente, immuable, identique à elle-même en tous lieux[15] ». Si le langage constitue le corps de la pensée, il vient du corps lui même et ce texte qui fait « corps » traduit la douleur

se situent à des âges plus précoces, d'autres comme la maturité professionnelle et l'indépendance financière à des âges plus tardifs. Rite mortuaire (Ph. ARIES) Cycle de vie Le pattern associé aux âges de la vie • Dans la lignée des travaux de Carl C. Jung, Erik H. Erikson, les travaux de D. J. Levinson se proposent à partir de quarante entretiens de définir le modèle sous-jacent des étapes « standard » qui organisent le déroulement de l'existence. Le modèle présente une alternance de segments stables

-"J'aime bien mieux être malheureuse en vous aimant, que de ne vous avoir jamais vu" Lettres de la Religieuse Portugaise Isidore (Saint) de Séville -"Étudiez comme si vous deviez vivre toujours ; vivez comme si vous deviez mourir demain" Jung, Carl Gustav (L'Homme à la découverte de son âme) -"L'être en grandissant oublie le secret de la totalité enfantine, de l'enfant qui sait laisser vivre en lui tout un monde sans le paralyser de réflexions, de jugements, de condamnations ; de l'enfant qui

conduite humaine. Elles sont même porteuses d'une énergie morale, d'un art de vivre. Jung et l'inconscient collectif La psychanalyse et la psychologie des profondeurs constituent un des piliers de la réflexion sur l'imaginaire. Avec la psychologie freudienne, les images (rêves, fantasmes) apparaissent comme les intermédiaires entre l'inconscient et le conscient. Pour le psychiatre suisse Carl-Gustav Jung (1875-1961), disciple de Freud, les imaginaires personnels s'en-racinent dans un fond

de la perfection, elle a besoin d'une charpente et d'artifices architecturaux afin de structurer et guider la construction de l’édifice. Ces artifices présents dans le rituel mais aussi physiquement dans le temple sont des symboles qui, pour Carl Gustav JUNG, sont des transformateurs d’énergie. Pour lui, le symbole transforme, par le biais de ce que chacun projette à travers lui, la matière inerte en matière vivante. Il renvoie alors à l'idée du sens non pas déduit, mais induit par celui qui l'étudie

souvent à Naumburg, chez le peintre Fritz Amann. De 1897 à 1906, il fréquente l’école primaire de Untermhaus, où il est encouragé par son professeur de dessin, Ernst Schunke. De 1906 à 1910, il suit un apprentissage de peintre-décorateur à Gera, chez Carl Senff et prend des leçons de dessin le soir, à l’école de Untermhaus. Otto Dix entre à l'école des Arts décoratifs de Dresde en 1910, auprès des professeurs Richard Mebert, Paul Naumann et Richard Guhr. En 1911, il lit les oeuvres de Friedrich Nietzsche

le métier de deviner ou d’expliquer les songes (on pense aux boules de cristal et au superstition de ce type). -En 1899, Freud écrit « interprétation des rêves » dans lequel, il explique que les rêves ne sont que des expressions de désirs refoulés. Jung disciple de Freud, se démarque et voit plutôt dans les rêves, la manifestation de nos angoisses et de nos aspirations. -Vers la fin du vingtième siècle: les spécialistes du cerveau pensent que les rêves nous permettent de nous débarrasser d’acquisitions

celui de l’inceste. Cet interdit est d’ordre moral, culturel, mais non naturel. Freud avait pour coutume de comparer la psychanalyse à une peste à l’image de celle qui ravage, précisément Thèbes. Cette peste, c’est la prise de conscience. Carl Gustav Jung nomma « complexe d'Electre », le féminin du «complexe d'Œdipe».

de l'homme, c'est quand il perd la connaissance et gouvernement de soi. »3 Montaigne des choix pertinents ; maîtriser son destin ; anticiper : « Ce qu'on ne veut pas savoir de soi-même finit par arriver de l'extérieur comme un destin. » Carl Gustav Jung le sens de sa vie : « Ce qui est le plus vrai d'un individu et le plus lui-même, c'est son possible que son histoire ne dégage qu'imparfaitement. » Paul Valéry ou encore « Le hasard, c'est toi-même qui t'arrive à toi-même. » Quel est

Carnet d'un biologiste. "Tant il est vrai que l'homme sent aussi le besoin d'imiter la création avec son faible esprit,  tout comme l'oiseau sent le besoin de construire un nid." Ernst Jünger, Sur les falaises de marbre. "Si je marche plus droit qu'un autre, c'est que je boite des deux pieds." Gustave Nadaud. "Les désirs ne peuvent s'étendre à ce que l'on ne connaît pas." Ovide. "Chaque homme porte la forme entière de l'humaine condition." Montaigne, Essais, III. "L'humanité qui