Carl Von Clausewitz

Otto Dix Otto Dix Otto dix est née le 2decembre 1891 et mort le 25 juillet 1969. C'est un peintre allemand, qui est issu d'un milieu ouvrier mais reçoit une éducation artistique par sa mère. Il a vécu pendant la La première et deuxième guerre mondiales ! Il s'engage volontairement dans la guerre : « Je dois connaitre toutes les profondeurs de la vie. C'est pour cela que je me suis engagé pour la guerre » Dans ses œuvres il n'a aucun respect pour les combattant. Il montre la sauvagerie

CLAUSEWITZ Chaptire II : Fin et Moyen dans la guerre 1) Guerre absolue et guerre réelle a) Fin de la guerre absolue La guerre absolue est « un acte de violence pour contraindre l’adversaire à accomplir notre volonté » : la logique ou fin de la guerre absolue est « toujours et uniquement de renverser l’adversaire, cad de le rendre impuissant. » b) Fin de la guerre réelle « Nous allons d’abord considérer cette fin qui découle du concept mais dont un grand nombre de cas réels se rapprochent

mort l'innommable c'est l'horreur des tranchées une fureur universelle Catherine Botterel-Michel : Le motif du théâtre dans Le Feu de Barbusse CLAUSEWITZ Adrien SCHU : Comprendre la guerre dans son unicité et sa diversité : le double rôle de la formule Clausewitzienne 1) Définir la guerre : L a formule Clausewitzienne Clausewitz : "la guerre n'est qu'une simple continuation de la politique avec l'utilistion d'autres moyens" A) La guerre : un phénomène relaationnel La guerre comme

l’impression que remporter la victoire, c’est tuer le plus de monde possible.     Mais puisqu’il s’agit d’un conflit, pour l’essentiel, ce qui est en jeu, c’est avant tout d’imposer à l’adversaire sa volonté.  Dans De la Guerre, le stratège célèbre Clausewitz écrit : « La guerre est un acte de la force par lequel nous cherchons à contraindre l’adversaire et à le soumettre à notre volonté ». L’adversaire est vaincu quand sa volonté s’est inclinée devant le plus fort. La force est l’élément fondamental

1: la guerre et la politiques. On ne peut pas penser la guerre en l'excluant de la realite multiformes sociale et historique. Et par consequent, la guerre ne peut pas etre l;objet d'une tehnique ou science particuliere: 1ere grande nouvaute de clausewitz par ses predecesseurs. Un art de la guerre autonomee et pour les guerrier et impensable. Il faut reinscrire la guerre dans cette realite, et la comprendre comme un type de conflit, de relation social, de raltion de force. Dans cette intro, livre

La stratégie est longtemps restée le domaine réservé des militaires.    I­ Références (théoriciens de la guerre) :    ­ SUN TSU avec l’ouvrage “L’art de la guerre”, la stratégie a été élaborée par les  chinois,  ­ NICOLAS MACHIAVEL avec l’ouvrage “Le prince” : stratégie politique,  ­ CLAUSEWITZ avec la citation “La stratégie choisit le terrain, le moment, les moyens à  engager.”    Vers les années 1930, des économistes comme Chamberlain, Robinson, et Coase ont  commencé à s’intéresser à la stratégie d’entreprise, ainsi que des théoriciens des 

s’il est désormais acquis que les guerres moderne ne se peuvent plus mener comme se menaient les batailles du temps de Sun Tzu, l’Art de le guerre" ne cesse portant pas de prouver sa pertinence dans ce temps. Si des stratèges occidentaux comme Clausewitz ou Jomini ont pu voir dans la bataille d’anéantissement l’enjeu majeur des guerres (l’engagement des forces), Sun Tzu accordait une plus grande importance aux ressources de la tromperie et du retournement (guerre secrète). IDEE MAITRESSE

avec succès le tribunal du temps. Ce qui frappe d'emblée, c'est la brièveté du texte, qui tient à l'extrême condensation et rigueur de la pensée, au prix d'un réel effort d'abstraction (que l'on trouve également chez des auteurs comme Sun Zu et Clausewitz). En conséquence, cet ouvrage conserve toute sa valeur, malgré d'innombrables développements, notamment sur les plans techniques et tactiques, depuis sa parution. Il mérite toujours d'être lu et relu, quitte pour le lecteur à le compléter par des

de la guerre révolutionnaire. Comme son titre l’indique, il s’agit ici de tracer les grandes lignes de la guerre révolutionnaire, de voir à quel point elle diffère des guerres « classiques ». David Galula définit l’insurrection, en paraphrasant Clausewitz, comme « la poursuite de la politique d’un parti, dans un pays donné, par tous les moyens possibles ». Ni complot, ni révolution, elle emprunte au premier son caractère clandestin, planifié, et à la seconde l’utilisation des masses : « c’est un

mutuel. L’État est dans la même situation et n’a aucune autorité supérieure à lui-même, c’est la guerre perpétuelle, naturel. l'État cherche a imposé son autorité aux autres États ou/et les détruire. II) Effort d’analyse du XIXème siècle Carl CLAUSEWITZ entre dans l’armée prussienne (Russie), il voit la défaite de Napoléon. Il meurt en 1831. Il est devenu directeur de la guerre. Il a écrit de la guerre qui devint ensuite un ouvrage incontournable. Il y est défini la guerre. C’est un acte de violence