Carmen Narrateur

l’Assommoir qui nous présente Gervaise et l’étranger qui est centré sur le personnage du narrateur. En fonction du mode de narration choisi par l’écrivain, l’accent est plus ou moins mis sur l’importance du personnage : en effet chez Zola, le choix de la focalisation interne fait ressentir ce que perçoit Gervaise et dans l’Etranger, le récit à la première personne fait que le lecteur se polarise sur le personnage narrateur en écho avec les interrogations qui suscite le titre. Conformément à ce que l’on attend

progressif de la description d’un phénomène commercial vers une vision épique et révélatrice de l’imaginaire du romancier. Le phénomène de l’après-vente est mis en évidence grâce au réalisme de l’extrait, ainsi qu’au point de vue adopté par le narrateur, qui expose la vitalité et l’énergie permanente dégagé par un magasin comme Le Bonheur des Dames. Le réel est caché par des images poétiques, qui apportent un regard imaginaire et une vision épique au récit. Le réalisme est omniprésent chez Zola

garçon est le jeune Adolf Hitler. Analyse de l'intrigue : Ce récit est une nouvelle à chute racontée à la troisième personne du Singulier. Le narrateur connaît les sentiments et les pensées de Dolfi mais nous donne aussi des informations sur son comportement à l’avenir. Après cet instant Dolfi ne sera plus un petit garçon doux. Le narrateur nous révèle en même temps quelque chose que Dolfi ignore lui-même. C'est donc on point de vue omnicient. Dans cette nouvelle, le personnage principal

remuait plus jusqu’au soir » a- Le narrateur porte un regard critique sur les paysans dont il dénonce le comportement à l’égard de l’aveugle. b- De nombreux procédés d’écriture rendent compte du point de vue du narrateur : - Le vocabulaire péjoratif pour désigner les paysans accentue le caractère brutal de ces gens : « brutes », « la gaieté sauvage »… - L’accumulation : »il devint un souffre-douleur », «une sorte de bouffon- martyr, de 4- a – Quel regard le narrateur porte-til sur le comportement des

1. Questions de la voie narrative/ du narrateur : Qui parle ? * Quelle instance/figure assume la charge de la narration? C’est Mademoiselle Else qui s’occupe de la narration durant tout le récit. * Le narrateur est-il absent de l’histoire racontée (hétérodiégétique), ou présent comme personnage (homodiégétique)? Le narrateur est en même temps le principal personnage de l’histoire, c’est autour d’elle que toute l’histoire va tourner. Le narrateur est donc homodiégétique. * A quelle

affectif par la focalisation interne. Lorsque le personnage est narrateur, il s’exprime directement comme dans L’étranger de Camus ; parfois c’est par le monologue intérieur que le personnage livre des émotions non exprimées ouvertement. Dans un roman épistolaire comme Les Liaisons dangereuse de Laclos ou dans un roman autobiographique, l’auteur livre son cœur directement. B. Le roman plus éclairant que la vie : espace, temps, narrateur • Le roman est plus éclairant car il présente une histoire

sentiment de panique. En effet, l’auteur montre la peur dans laquelle le narrateur est plongé. Cette peur qu’il est en train de subir se décrit dans la citation suivante: « j’y avais vu du sang… une main… Je marchais d’un pas véloce, sans savoir où j’allais » (Ligne 3-4). Dans cette affirmation, il y a le rôle des points de suspensions qui vient interpeller le manque d’expression face à ce qui se trouve devant le narrateur. De plus, l’hyperbole crée une analogie avec l’animal qui utilise tout son

Ainsi, Victor Hugo, dans Les Misérables, suggère un lecteur courageux, que rien n'arrête « même pour les plus forts », « Nul ne marche seul » c’est un lecteur qui pourrait se mettre au service la société sans hésitation. Ainsi, alors même que le narrateur ne s'adresse pas directement à un lecteur virtuel, il le façonne et le lecteur réel, qui s'y identifie, s'en trouve transformé. Le roman fabrique donc son lecteur. De plus, la lecture d'un roman transforme son lecteur dans le sens où elle modifie

différents procédés. Tout d'abord, ils plongent le lecteur dans l'intimité du personnage, soit par le biais de la focalisation interne (texte 1 et 3), soit par celui d'une narration à la première personne (texte 2). Ainsi dans les textes 1 et 3, le narrateur adopte le point de vue respectivement de Mme de Clèves et de Swann, comme le montrent les verbes de pensées ou de sentiments (texte 1 : "elle n'avait pensé", "elle trouva" ; texte 3 : "il eut [...] honte", "il éprouvait"). Dans le texte2, c'est Octave

la vente d’un appartement, le promoteur juge à la tête du client. « Ces gens là de Jacques Brel » : 1966 Du point de vue vocal, l’interprétation commence de manière modérée mais s’amplifie progressivement, pour finir par exploser lorsque le narrateur évoque Frida ; traduisant ainsi sa passion pour elle, ce qui tranche avec le volume presque inaudible de la phase de résignation qui suit immédiatement et sur laquelle s’achève la chanson. Le thème est le désespoir d’un amour impossible. C’est une