Carmen Narrateur

d’elle un être franc (= libre) et cordial, assez agréable à regarder. La vigueur de ses gestes, malgré sa grosse taille, lui tenait lieu de légèreté : elle est l’incarnation de la volupté aux yeux de Jacob. Voilà tant de personnages définis par le narrateur comme de faux dévots, qui sont bien en chair, d’un embonpoint rassurant et d’un air bienveillant, agréable à regarder et qui inspirent la plus belle des sagesses. Si Jacob insiste sur leurs agréments naturels, la fine plume ironique de Marivaux

après une vie de souffrance est "emporté" alors que le riche est "entérré" .Les mots emporté et anges se réfèrent aux cieux alors que "entérré" se réfère à sous la terre. On a la présence d'antithèse "bonheur/malheur";"consolation/souffrance" Le narrateur décrit précisément la situation du riche cela a pour but de faire peur les croyants. L'opposition des personnages dans leur vie se confirme après la mort .Cette opposition ajouté à l'évocation de l'enfer sont des moyens de persuation pour faire

que je ne l’avais été par la fête » montre que le narrateur est surprit de la beauté de cette femme. Celle-ci met en valeur certaines parties de son corps, notamment ses épaules, son cou et sa gorge. Question 2 : Ce texte correspond au romantisme, le narrateur semble prit de passion et ne reste pas insensible au charme de la femme. La passion se fait sans parole, seules les sensations font places dans le texte. En effet, grâce à sa vue, le narrateur progresse dans la découverte du corps de la belle :

attentive montre que le péché vient en réalité du mari. Est-ce une invitation à revenir aux textes, comme le soutiennent les évangélistes « sola scriptura ». Marguerite de Navarre semble inviter son lecteur à entendre le message évangéliste, puisque le narrateur réussit in fine à convaincre le mari d’un retour à la vie, loin d’une attitude mortifère, contraire à l’évangile de Saint Matthieu ?

à 16 la scène d’exposition : le narrateur explique la situation initiale. Puis, des Vers 17 à 23 on a l’intervention du narrateur et sa première morale. Ensuite, on a des Vers 27 à 38 un coup de théâtre ; le cerf se fait menacer de se faire tuer. Et des Vers 39 à 51 un deuxième coup de théâtre avec un renversement de la situation : le cerf arrive alors à faire tourner la situation à son avantage. Puis, pour finir, des Vers 52 à 55 la deuxième morale du narrateur. En ce qui concerne les registres

lecture entre le narrateur et le lecteur. Hors Diderot, ds Jacques le fataliste et son maître écrit dans la deuxième moitié du siècle des lumières refuser de répondre aux attentes du lecteur. lecture problematique En quoi ce texte joue-t-il avec les codes romanesques ? Le narrateur nous montre les differences ac les codes du roman. Il met alors en place un genre mixte et problématique.   I- Difference avec le roman       a- Des questions laissées sans réponses Le narrateur semble mettre

poli. Le narrateur le rencontre dans le bateau. Le narrateur : Le narrateur nous est inconnue, c'est a travers lui qu'on lit l'histoire il est témoin de tout. Il intervient au début quand il parle avec son ami et quand il ramène M.B à la raison. Il est passionné de psychologie. MacConnor : Est un milliardaire écossais qui va pousser M.B et Czentovic a jouer l'un contre l'autre. Il est mauvais perdant. 8°) L'histoire se passe sur un bateau en direction de Buenos-Aires. Le Narrateur apprend

déroule l’histoire mais on peu supposer que c’est une époque contemporaine ( voiture, supermarché etc..) L’auteur reste discret sur ces détaille. Narration : Le narrateur ainsi que le point de vue sont tout deux externes. On vit la scène d’un point de vue eterne, le narrateur parle en « elle ». Mais parfois, quand le narrateur parle des souffrances de la jeune femme, on pourrait supposer que nous voyons la scène à travers les yeux du chien-loup et que lorsque que l’auteur nous décrit le chien-loup

Commentaire 1836 : depuis six années, la France vit sous la Monarchie dite de juillet. L'économie, ravagée par les affres de la Révolution et les guerres impériales, se redresse grâce au négoce des grands bourgeois. Dans ce texte charnière, le narrateur, qui n'est autre que Musset bien que l'œuvre se présente comme un roman, cherche à identifier le mal dont souffre sa génération. Déchirure de l'époque, déchirure sociale, déchirure du style aussi. Ombre et lumière, couleurs contrastées, espaces sans

parle aussi d’y « pomper le miel » se qui signifie qu’il veut en tirer profit. Il montre ainsi sa solitude face à cette situation et en même temps son opportunisme qui va se présenter a lui. Cela montre une fois d plus son envie de conquête. Le narrateur parle au discours direct, c’est la seule fois dans cette excipit. Balzac avec « grandiose » émet une hyperbole pour montrer l’importance des mots qu’il va prononcer. Il utilise le discourt direct, pour la première fois dans l’excipit pour s’adresser