Carmen Narrateur

l’absence de l’élément de résolution et prépare, en conséquence, une fin inattendue. En effet, l’absence de l’élément de résolution dans (D) atteste de l’impossibilité de trouver une solution à une situation de toute complexité. Vers la fin du récit, le narrateur dit « … son innocence lui apparaissait confusément impossible à prouver. ». - 5/E : La situation finale est le point de départ d’une nouvelle séquence. Avec (E), le rebondissement de l’action est annonciateur d’une situation trouble, puisque le

Lied, Un Lied est un poème en langue allemande mis en musique, chanté par une voix et accompagnée d’un piano. Dans cette oeuvre , on peut entendre 1 seul chanteur qui interprète 4 personnages : le père , le fils , le roi des Aulnes et aussi le narrateur . Dans cette oeuvre le rôle du piano et asser important car d'un part il permet de distinguer les differents personnages et de mettre en place l'atmosphere général ( en trotre inquietude , tension ) et d'autres part il représente le galop du cheval

yeux des autres, révélant les petites et moyennes lâchetés quotidiennes, les manques au code d'éthique, les confidences […] et mieux, puisque le romancier peut avoir ce regard pénétrant, les rêves intimes des uns et des autres. Bien entendu, le narrateur était exclu de ce règlement de comptes et, dans le contexte, il devenait aisément identifiable : ce ne pouvait être que moi. Je remis ma démission, espérant que les choses s'arrêteraient là. En vain. Pas une journée ne se passa sans que des journalistes

cadet et le narrateur, au quatrième chapitre Laye, (personnage principale et narrateur du livre), fait les moissons due riz du mois de décembre, Cette moisson nous ai présenté comme un travail joyeux puisque tout les famille se mettent au travail, les hommes qui récoltent le riz et les femmes qui nourrissent ces hommes, Laye, ce jeune garçon aide son oncle en coupant la tige, et en les égalisant, ce chapitre nous montre un grand esprit de famille et d’entraide, a Kouroussa le narrateur habite la case

Romantisme. Ceci est un mouvement littéraire et artistique en rupture aux règles, le gout et les beaux classiques et il est caractérisé par la sensibilité, un désir d’évasion et par l’importance du « Moi ». Par ailleurs, le thème est l’affection du narrateur par rapport à une fille. Quant au genre, il est une poésie parce que nous observons la structure habituelle d’un poème : vers, rimes… En outre, nous analyserons ce poème à travers de l’étude des axes avec leurs champs lexicaux et ses figures de

autre que des extrait du journal intime d'une enfant enfermée dans "l'annexe" de l'entreprise de son père pendant l'occupation du Pays-Bas par l'empire Allemand. · La totalité du récit est écrit à la premiere personne, donc le narrateur est aussi le personnage principal. Ex: "Je vais commencer au moment où je t'ai reçu, c'est-à-dire quand je t'ai vu sur la table de mes cadeaux d'anniversaire (car j'étais là quand on t'a acheté mais ça ne compte pas)." P.10 l.1 à 4 · Dans ce journal

qu'on nous a mis pour commencer...nous défilions longtemps » ● Cette visite n'est pas destinée à desseler les faiblesses physiques physiques « vous êtes bien mal foutu... mais ça fait rien ». ● Il y a une décollage entre ce qu'attendait le narrateur et ce qu'il subit : «  il craignait des séquelles par rapport à ses fièvres hépatites. Il utilise une exclamative « si par hasard ils me tâtaient les foies ! » qui montre la stupéfaction face à l'examen peu banal. ● Bardamu explique d'ailleurs

après abandonne le discours direct et reviens au récit. Il y a une ellipse narrative c’est-à-dire qu’on ne saura pas ce que dise les autres animaux au discours direct car les arguments seront toujours les mêmes. Jugement du narrateur au vers 46. Vers 48, le narrateur juge les animaux et l’expression  « petit saint » est ironique. Opposition dans les animaux qui sont qualifiés par l’adjectif « querelleur ». Dernier animal qui parle ( l’âne. La Fontaine n’a pas le temps de faire parler tous

ponts de vues, nous pourrons ainsi voir la complémentarité des différents type de discours. I- L'ORGANISATION POLYPHONIQUE DU PASSAGE : Deux voix s'expriment et se combinent dans ce texte : 1- celle du narrateur : Récit à la troisième personne, point de vue omniscient, le narrateur rapporte l'esprit du personnage. " Maintenant les souvenirs affluaient dans l'esprit de Pierre " 2- celle de Pierre : Propos rapportés aux styles direct : " Il murmura : " Il faut savoir. Mon Dieu. Il faut

dont ils n'hésitent pas à se servir. Quels sont ceux du Horla ? Montrez que le plus important consiste dans la possession (définissez ce terme) : repérez tous les épisodes du récit qui en parlent. Dans quelle mesure peut-on dire que l'auteur-narrateur présente le Horla comme une métamorphose de l'être humain ? À quel autre genre narratif ce thème vous fait-il penser ? (justifiez votre réponse) Thème n° 2 : la peur. Maupassant a publié deux nouvelles qui portent ce titre, l'une en 1882,