Carta

intrigués par la substance même de cette constitution : formé de statute law (lois parlementaires) et de common law (simples usages, conventions constitutionnelles), composé de textes médiévaux et de textes récents dont les principaux sont la Magna Carta (1215), l’Habeas Corpus (1679), le Bill of Rights (1689) et l’Act of Settlement (1701), modifiable sans difficulté par le Parlement, le corpus constitutionnel anglais revêt de la sorte une forme singulière. Il convient donc de se demander si on

conformité avec la Human Rights qui contraint certaines lois du Parlement à réviser une de ses lois si celle-ci n’est pas cohérente avec la loi sur les droits de l’Homme. Le Royaume-Uni a été le premier pays doté d’une constitution avec la Magna Carta au XIIIème siècle. Cette constitution repose sur trois principes fondamentaux : Le Rule of Law, la Suprématie du Parlement et la Séparation des Pouvoirs. Quelles sont les origines et les caractéristiques de la monarchie britannique ? L’immunité parlementaire

contre-pouvoir politique à l’autorité royale et où s’organise un système d’institution qui gravite étroitement autour du monarque. Pour l’Angleterre, suite à la lutte des barons contre le roi anglais Jean et la signature de la Grande Charte (Magna Carta Libertatum), cela crée un Grand Conseil du nom de Curia Regis qui deviendra ensuite le parlement. Ce conseil fut originellement constitué de grands féodaux mais, après certains temps, il y a eu des chevaliers et des bourgeois qui ont été élu pour représenter

limiter le pouvoir du roi ( mettre fin aux abus du roi (qui profite trop de son pouvoir et fait ce qu’il veut) b. Magna Carta ou la Grande Charte (1215) - 1215 : Jean « sans terre » forcé de reconnaître la Magna Carta, qui limite les pouvoirs du roi Χ voir Powerpoint : diapositives 3 et 4 - Les grandes décisions prises par la Magna Carta o art.12 : Convocation des grands du royaume : ▪ ecclésiastiques et laïcs ▪ par des lettres

droit de regard est l'ancêtre, certes très primitif mais réel, du consentement démocratique à la dépense publique et donc à l'impôt. Pour mettre noir sur blanc ces conditions, le roi acceptera de concéder aux Barons la fameuse "Grande Charte" (Magna Carta) qui reconnaît les privilèges de l'Église et des villes, et donnera au Grand Conseil le pouvoir de consentir à l'impôt, mais plus important encore, le droit de pétition. Cette grande charte est aussi une ébauche de constitution garantissant certains

toute personne arrêtée par un puissant doit être présentée dans les trois jours devant un juge, qui peut décider de sa libération. Dès 1215, les Anglais obligèrent leur roi Jean sans Terre à signer une « Grande Charte des libertés d'Angleterre » - Carta Magna - qui limite l'arbitraire royal : le roi ne peut ni bannir, ni arrêter, ni emprisonner ses sujets comme il l'entend. Cependant cette Charte ne prévoyant aucune disposition pratique, ses articles sont diversement respectés. Il faudra attendre

de la forme), on peut remonter au moins jusqu'au Moyen Âge pour trouver les premières manifestations, concrètes et avec des effets réels dans les pratiques, de l'idée des droits de l'homme. Un événement marquant dans cette évolution a été la Magna Carta, qui date de 1215, mais n'a été véritablement utilisée qu'à partir du XVIIe siècle comme instrument contre l'absolutisme royal des Stuart. Elle fut suivie de l'Acte d'Habeas Corpus, 1679 et du Bill of Rights, 1689. Elle est considérée dans le monde

intrigués par la substance même de cette constitution : formé de statute law (lois parlementaires) et de common law (simples usages, conventions constitutionnelles), composé de textes médiévaux et de textes récents dont les principaux sont la Magna Carta (1215), l’Habeas Corpus (1679), le Bill of Rights (1689) et l’Act of Settlement (1701), modifiable sans difficulté par le Parlement, le corpus constitutionnel anglais revêt de la sorte une forme singulière. a/ 1) En premier lieu, la constitution

ne peut sévir sans raisons. Cette Charte est un document qui à été conçu suite à une révolte contre Jean sans Terre en 1215. Au début, elle fût conçu pour protéger la noblesse mais elle a finit par assurer la protection de tout le peuple. La Magna Carta limitait les pouvoirs royaux. Le roi n’avait pas le droit de prélever des impôts sans l’accord du Grand Conseil de plus il n’avait pas le droit de faire des emprisonnements arbitraires. «Aucun homme libre ne sera arrêté ou emprisonné ou dépouillé

peut également contenir des systèmes particuliers développés par les Etats régis. Ces particularités reposent le plus souvent sur des textes, qui peuvent être très anciens, et d’origines diverses. Par exemple, en Grande Bretagne, on retrouve la Magna Carta ou Grande Charte de 1214, ou encore La Pétition des Droits de 1628, qui sont encore en vigueur aujourd’hui. La Nouvelle-Zélande (Etat du Commonwealth, donc rattaché à la Grande Bretagne par la monarchie Anglaise) possède également une Constitution