Cas Bio Soin

Cas « Le Brin d’Océan » Conserverie Artisanale du Bassin d’Arcachon MONOGRAPHIE © CCMP 2011 Auteur : Philippe ROBERT Etablissement Créateur : EGC AGEN – SUD MANAGEMENT Mentions Légales : ce cas ne peut être utilisé sans autorisation expresse de l’auteur du réseau EGC – Toute utilisation en violation des droits fera l’objet de poursuites légales. CCMP 2011 – Cas « Le Brin d’Océan » - Philippe ROBERT – EGC AGEN SUD MANAGEMENT 1 SOMMAIRE MONOGRAPHIE - Annexe 1 …………………………………………………………………………………………………

Au te ur La politique de distribution de Léa Nature Sp éc im en Comment rendre le bio accessible au plus grand nombre de consommateurs ? © CCMP 2013 Auteurs : Valentina KIROVA - Fatiha NAOUI-OUTINI Établissement créateur : Groupe Sup de Co La Rochelle SOMMAIRE Partie 1 - Présentation de la société Léa Nature ........................................... 3 A. Historique de Léa Nature .................................................................................. 5 B. Charles Kloboukoff

téléphonique : Bonjour, Suite à notre entretien téléphonique de ce matin, je me permets de vous envoyer comme convenu la plaquette descriptive de notre offre, vous y trouverez tous nos produits ainsi que leurs caractéristiques majeurs. Je vous laisse le soin d’étudier notre assortiment et vous rappelle que nous serions heureux de convenir avec vous d’un entretient sur Moscow dans les plus brefs délais. Veuillez noter que nous sommes disponibles sur Moscow jusqu’au 21/11/2010. Nous espérons que

moyens de détersion o Classiques  Chirurgie  Mécanique (80 % de l’activité de soins)  Autolytique o Les « nouveaux »  La pression négative  Les ultrasons (Active la détersion et stimule le bourgeonnement, Active l’épidermisation)  La bio-chirurgie (asticothérapie) • Les indications o Détersion chirurgicale:  Plaie profonde > à 2 cm de profondeur  Plaie postopératoire  Plaie infectée cavitaire  Os exposé ou au contact o Détersion mécanique: ( curette ou bistouri)

risquesEtablir une quadruple évaluationSurveiller et faire une observation clinique rapprochéeVoir Dr si besoin d'un traitement, d'une contention ou tenue pyjama6. Etablir une observation et évaluation cliniqueQuoi :L’humeurLe comportementL’état : Bio Psycho Social Familial – plaintes, le délire, les risques : T.O.M.A.T.EPourquoi :Réalisation de la cibleSuivre l’évolution clinique du patientRéajuster le projet de soinsComment :Aide et soutien psychologiqueSoin relationnel visant à aider une personne

patient est incapable d’exercer un jugement valable en raison de son trouble mental, le psychiatre doit prendre l’avis de la famille et le cas échéant d’un juriste. La même déclaration prévoit que le traitement ne peut être pratiqué contre la volonté du patient que si l’absence de traitement mettait en danger la vie du patient ou de son entourage. Dans tous les cas, le traitement ne doit viser que l’intérêt du patient. La question se pose alors de savoir qui est habilité à déterminer l’intérêt du

et ayant eu ou devant subir une intervention chirurgicale telle que : PAC (Pontage aorto cornarien), Infarctus du myocarde /décompensation cardiaque, OAP (Œdème Aigu du poumon), Pathologie coronarienne, Remplacements valvulaires Aortique ou Mitrale (bio ou méca), Pose de pace Maker, Life Vest, Heart Mate, Plastie mitrale. Le service a une capacité d’accueil totale, de 37 patients en chambres individuelles. La situation que je vais vous présenter, se déroule dans ce même service de SSR cardiologie.

biens qui correspondent aux produits matériels (automobiles, vêtements…) et les services qui sont immatériels et non stockables (transport, éducation, sécurité…). 1. Avion : bien ; soin dentaire : service ; tomate : bien. 2. Pour l’avion : secteur secondaire

humaine • La peau lésée ou les muqueuses du malade – Ex : Patient porteurs des virus des hépatites B et C du VIH 3 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NANTES Page 3 Les précautions « standard » 1. Hygiène des mains : avant et après le soin 2. Ports de gants au contact des liquides biologiques 3. Port de tablier, masque et lunettes si risque de projection 4. Matériel souillé, éliminer les aiguilles dans le collecteur 5. Surfaces à nettoyer et désinfecter 6.

variable d’un sujet à un autre selon l’espèce et le nombre. La virulence : C’est la capacité d’un microbe à se multiplier à l’intérieur de notre organisme. . Notons qu’un état de santé affaibli ou fragilisé, accroît la virulence du microbe (c’est le cas des personnes âgées ou immunodéprimées) La contagion : c’est la transmission d’une maladie ou d’une infection d’un individu à un autre. La mode de transmission des micro-organismes sont: • direct, d’une personne à une autre (voie aérienne)