Cas Pratique Divorce Accepté

pouvoir excutif. Les principales sources de droit marocain tant les lois et rglements, on peut lgitiment se demander sil existe dautres sources en droit positif. Ainsi peut on se demander si la coutume qui nmane pas dun corps constitu mais de simples pratiques populaires est elle une source de notre droit De mme, au Maroc la religion ntant pas spare de lEtat, peut on considrer les principes traditionnels du droit musulman comme des sources de droit Pour rpondre ces question, nous serons conduit distinguer

I?: Les diff鲥nts cas de divorce (鴵de compar饩 A la lecture de l'article 78 du code de la famille qui a donn頵ne nouvelle d馩nition du divorce, on ne peut s'emp꣨er d'avoir l'impression du d骠 vu. Les r餡cteurs du code de la famille ont certes, adopt頵ne nouvelle approche, mais dans le fond, l'homme et la femme ne sont pas consid鲩s sur un pied d'駡lit頦ace au divorce. Pour la dissolution du mariage, la recherche de l'鱵ilibre prend le pas sur le principe de l'駡lit鮠D'o?鳩tation des r餡cteurs du code de la famille

.........................p. 2 § 1. Le problème.................................................................................................................................................................................p. 2 A. La dimension pratique du problème........................................................................................................................................................................p. 2 1. Le testament du Hollandais...............................

06/09/1990 Cas pratique général Groupe du Vendredi 1- Alice, Rafael et la rupture fautive du concubinage Alice possède un bar et rencontre Rafael qui travaille avec elle. Ils décident de vivre ensemble, c'est-à-dire en simple concubinage. Ils continuent à travailler tous les deux dans l’établissement et Rafael investit même toutes ses économies (45 000 euros) dans la rénovation de la salle en 2004. En mai 2005, Alice lui annonce qu’elle est

française.  vous avez le statut de réfugié.  avoir en France la source principale de vos revenus pendant cette période (revenus professionnels, revenus mobiliers ou immobiliers, etc.).  être assimilé(e) à la société française, notamment par une pratique suffisante de la langue française et une connaissance suffisante des droits et devoirs du citoyen qui seront appréciés lors de l’entretien d’assimilation.  être de bonne vie et mœurs, et avoir un comportement loyal envers les institutions françaises

situations: - L'enfant légitime, c'est celui qui nait de deux personnes mariés: Dans ce cas l'enfant portait le nom du père. C'est une règle coutumière. - L'enfant naturel, ce dernier nait de deux personne non marié: Dans ce cas c'est plus compliqué, il y avait un principe, il portait le nom du parent dont la filiation était établit en premier. En cas d'établissement simultané, l'enfant portait le nom du père. En cas d'établissement successif on applique la règle mais les parent pouvait d'un commun

graves. Cependant cela va être extrêmement figé, par exemple acheter une baguette de pain * Soit on se réfère aux conséquences économiques de l’acte envisagé. On va regarder quels effets cet acte aura sur l’ensemble du patrimoine. Ici c’est du cas par cas, cependant l’avantage est que l’on peut adapter le choix. Le code napoléon, le code civil, a opté pour la première possibilité en 1804, il a fait des listes d’acte et pour les actes non listés il n’y avait pas de fonctionnalité à respecter. Très

durable c-a-d toute la vie. Les auteurs de droit et non droit se penchent sur le caractère monogame et durable, distorsions de certains caractères. Upien « il peut y avoir mariage , divorce, et remariage » , « mariage tt le tps, fugue et retour » qu’il laisse subsister le lien matrimonial. Le mariage persiste, cas du renvoi du mari par l’adultère « répudum » société romaine où la femme ne peut pas répudier le mari. L’adultère de la femme mariée devient un crime. On peut observer que le mariage

e) Les quatre cinquièmes des enfants vivent avec leurs deux parents, mariés ou non .................................................................................................................. 2. L’exercice de l’autorité parentale après le divorce .......................................... 3. L’exercice de l’autorité parentale après la séparation des parents non mariés ................................................................................................................. B. DONNÉES

la laïcisation du mariage et à l’admission du divorce. En 1816, la loi Bonald on interdit le mariage. En 1884 on admet le divorce mais pour faute seulement. En 1912 on met en place la recherche de paternité hors mariage. En 1938 on abolit l’incapacité de la femme. En 1966 il y a une réforme concernant l’adoption. En 1970, on supprime la puissance paternelle et on la remplace par l’autorité parentale. En 1975, réforme du divorce et possibilité de divorcer par consentement mutuel sans avoir à inventer