Caserne de Moncada

force en 1952. Fidel Castro s'impose alors comme le dirigeant de l'opposition et choisit la tactique de la guérilla pour combattre la dictature car la voie légale a échoué et les tentatives d'insurrection armée légalement. (cf l'assaut de la caserne Moncada le 26 juillet 1953 : Castro est emprisonné jusqu'en mai 1955). C'est en s'exilant au Mexique en 1955, que Castro rencontre l'argentin Ernesto « Che » Guevara et qu'il fait le choix, avec lui, de la guérilla rurale. Les opérations sont dirigées

1927, commença ses études en 1945, à l’université de la Havane. Il prit rapidement part à la politique par des affrontements et des luttes entre bandes rivales. Puis le 26 juillet 1953, le jeune avocat Fidel Castro organisa l’attaque de la caserne de la Moncada à Santiago. Il se fit arrêter et ce fut depuis sa prison que Castro commença son combat politique. La vie à Cuba, à la veille de la révolution, n’était pas des plus facile. On compte près de 75% de la population qui vivent dans des cabanes

ainsi 3 longue année, mais celle-ci aura aussi des répercutions jusqu’en France où elle sera approuvée par plusieurs philosophe dont le tristement célèbre Jean Paul Sartre. Cette révolution débute le 26 juillet 1953, le peuple cubain attaque la caserne de Moncada ; mais bon nombre d’entre eux furent tués au combat étant donné leur mauvais armement. Quand au frère Castro, après un procès de plus de 4 heures, Fidel Castro fini sa défense sur les mots : « peu importe que je sois condamné, l'Histoire m'affranchira

paysans. Là-bas, il rencontre une réfugiée péruvienne, Hilda Gadea, économiste de 28 ans. Grâce à elle, Ernesto rencontre six cubains dont Antonio López, dit Nico. Ce dernier, ouvrier, est ami de Fidel Castro. Il raconte à l’argentin l’assaut du Moncada, et tous les périples qu’ils ont pu vivre. Les Cubains relèvent chez Ernesto son tic linguistique qui consiste à prononcer che en début de phrase. Les argentins se font reconnaitre ainsi. Dans leur langue d’origine, c’e signifie « il y a ». Ainsi

tournante du tourisme sexuel".(Etats-Unis) Voir aussi : Floride - George Walker Bush - Fidel Castro - Relations Cuba-USA - Diplomatie -Politique 2004 juil 26 A Santa Clara, à l'occasion du 51e anniversaire de l'attaque contre la caserne Moncada, Fidel Castro évoque les liens entre le fondamentalisme religieux du Pdt américain Bush et son penchant pour l'alcool.(Cuba) Voir aussi : Santa Clara - George Walker Bush - Fidel Castro - Relations Cuba-USA - Diplomatie- Politique 2004 oct

civilisation étrusque y a laissé des traces comme partout autour du bassin méditerranéen. Les tombeaux étrusques taillés dans la pierre sont encore visibles à la ''Pointe Noire '' (Rabta). En regardant la position de la vieille ville (l'actuelle caserne), construite sur une presqu'île aux falaises rocheuses, défendue au nord par la mer que ferme un cercle d'écueils, et au sud par une ceinture de collines, nous remarquons que la place antique, choisie dans un but défensif, pouvait servir de comptoir

Voici le paradis libéral. » Arcadio fut mis au courant. À la tête d’une patrouille, il donna l’assaut à la maison, brisa tous les meubles, fessa les filles et traîna après lui Apolinar Moscote. Au moment où Ursula fit irruption dans la cour de la caserne après avoir traversé le village en clamant sa honte et en brandissant, pleine de rage, un martinet, Arcadio en personne s’apprêtait à donner l’ordre de tirer au peloton d’exécution. — Ose, bâtard ! s’écria Ursula. Avant qu’Arcadio n’ait eu le temps

ces élections. Castro attaque Batista en justice, l'accusant d'avoir violé la constitution, mais sa demande est jugée irrecevable. Organisation de la lutte armée et exil[modifier] Castro organise alors une réaction armée en attaquant la caserne de Moncada le 26 juillet 1953, mais celle-ci est un désastre. Quatre-vingts des assaillants sont tués, et Castro est arrêté et condamné à 15 ans de prison. C'est à cette occasion qu'il rédige sa plaidoirie : « L'histoire m'acquittera », discours passionné

l’indépendance et la liberté du Venezuela, contre les 30 comme « donquichottesque ». Admirateur de Marti, le libérateur de Cuba contre les Espagnols, il se lance dans le combat politique puis dans le combat armé. Après avoir échoué à prendre la caserne de la Moncada en 1953, il est arrêté et condamné à 15 ans de prison. Amnistié en 1955, il repart alors au combat. Lors de son procès, il prononce ce fameux plaidoyer en faveur d’une société plus juste en citant les six points pour lesquels il mène son combat

Tout ceci valut à Tito un certain prestige, notamment dans le tiers-monde (la Yougoslavie titiste fut l'un des phares du non-alignement) et en Occident dans les années 1960, parmi les gauches qui recherchaient une alternative au socialisme de caserne sans vouloir renoncer au marxisme : F. Furet évoque à ce propos « le discours antisoviétique en langue soviétique », qui allait « constituer (…) tout un genre dans le répertoire de la passion révolutionnaire », et aussi « l'exotisme nécessaire au