Cass Civ 14 Février 1938

relève d’un exercice rigoureux et pour en être sûr, le Ministre de la justice a fixé le niveau d qualification à la hauteur nécessaire pour assurer la sécurité des consommateurs en la matière. Par ailleurs, la Cour de cassation a, dans un arrêt du 27 février 1197, a renforcé dans les faits l’obligation d’information du professionnel en lui transférant la charge de prouver qu’il avait bien informé son client. En pratique, les diplômés en gestion de patrimoine donnent des conseils juridiques relevant du

industrielles et puis l’ensemble des services. D’un autre coté le sens de commerce en a un autre en d commercial qu’en d civil. En civil le commerce désigne les rapports juridiques entre des sujets de droit par rapport à des biens notamment sous l’art 1128 Civ qui dispose « il n’y a que les choses qui sont dans le commerce qui puisse faire l’objet des conventions ». En ce qui concerne le domaine du d commercial on peut déjà noté que le d commercial n’a pas vocation à s’appliquer à toutes les opérations économiques

Le troisième élément est la grande étendue de la famille. Au Moyen-Âge la famille ne se limite pas au ménage, c'est-à-dire le couple et ses enfants, mais la famille lignage. Premier exemple, sous l'ancien droit, le mariage est interdit jusqu'au 14 ème degré de parenté inclus. Deuxièmement, certaines règles visent à assurer une forme de propriété collective de la famille. Dernièrement, le lignage fait naître, entre ses membres, une solidarité au niveau judiciaire. Par exemple, en cas de procès

rachat d'actions de la société pour elle-même en vue de les annuler (article 217): l'avis du commissaire est exigé sur l'opportunité et les modalités du rachat; (8) Répertoire de Droit commercial I, III, sociétés, P. 801. Cass. Civ. 17 Juin 1936, Dalloz 1938, I, 9. (10) P DECROUX, op. cit. p. 259. (9) – fusion, scission, apport partiel d'actif (articles 377, 382 et 383 de la loi): le commissaire «établit et présente un rapport sur les modalités de la fusion et, plus spécialement

d'actions de la société pour elle-même en vue de les annuler (article 217): l'avis du commissaire est exigé sur l'opportunité et les modalités du rachat; – – – (8) (9) Répertoire de Droit commercial I, III, sociétés, P. 801. Cass. Civ. 17 Juin 1936, Dalloz 1938, I, 9. (10) P DECROUX, op. cit. p. 259. – fusion, scission, apport partiel d'actif (articles 377, 382 et 383 de la loi): le commissaire «établit et présente un rapport sur les modalités de la fusion et, plus spécialement, sur