Cass Civ 1ère 28 Mars 2000

 Droit des sociétés II. Le 1er intérêt de la matière. Retenons une approche classique le droit des groupements qui se composent essentiellement du droit des sociétés a été fractionné en 2 parties. La 1ère dédiée au droit commun, la 2nde au droit spécial. Une telle partition peut a priori surprendre puisqu’en pratique, la matière semble se résumer au droit spécial c’est-à-dire à l’étude de chacune des formes de société. Elle était pourtant nécessaire car permettant de prendre conscience qu’en dépit

naissance de l’assemblée constituante, jusqu’au 21 mars 1804, date de la promulgation du Code civil. L’objectif de l’assemblée constituante a été d’unifier le droit, conformément aux voeux des cahiers de doléances rédigés lors des états généraux de 1789. Afin de réaliser cette unification, le moyen qui devait être utilisé était la promulgation de lois. Certaines lois fondamentales furent certes adoptées : ex: - le décret d’Allarde des 2 et 14 mars 1791 qui affirme le principe de la liberté du

objet bien délimité. Toute difficulté que la CCJA a tenté d’éclaircir. 2) La position de la CCJA sur la portée de l’article 10 du traité OHADA A la demande de la république de Côte d’Ivoire, la CCJA a rendu un avis consultatif en date du 30 avril 2000. Dans cet avis elle affirme la portée supranationale et abrogatoire de l’article 10 du traité OHADA. A ce propos, elle déclare « l’article 10 du traité (…) contient une règle de supranationalité parce que prévoit l’application directe et obligatoire

création du PACS (Pacte Civil de Solidarité) : union de deux personnes du même sexe ou non par un contrat social. Le 3 déc. 2001, pour la première fois on reconnait l’égalité entre les enfants adultérins et les enfants légitimes et naturels. Le 4 mars 2002, une loi qui concerne le nom crée l’autorité parentale commune. En d’autres termes, dès la naissance de l’enfant, l’autorité parentale est accordée aux deux parents de manières systématiques. Avant, l’autorité parentale était attribuée à la mère

dettes, le créancier qui n’est pas payé par celle-ci peut se retourner contre l’un des associés. Ce dernier devra payer le créancier sur son patrimoine, quel que soit le montant des dettes sociales, puisqu’il en est responsable indéfiniment (C. civ., art. 1857 pour la société civile ; C. com., art. L. 221-1 pour la SNC). Dans les sociétés à risques limités, les associés courent uniquement le risque de ne pas récupérer ce qu’ils ont apporté à la société (C. com., art. L. 223-1, L. 225- 1, L

la direction du professeur Michel Grimaldi, s’est réunie à partir du mois de septembre 2003, à l’initiative du ministère de la justice. Cette commission a opéré un projet de réforme de l’ensemble du droit des sûretés, remis au Garde des sceaux le 31 mars 2005. Dans les mois qui ont suivi, le Parlement a voté la loi « Pour la confiance et la modernisation de l’économie » du 26 juillet 2005 et cette loi a autorisé le gouvernement à réformer le droit des sûretés par voie d’ordonnance. Toutefois, ont été

services de son corps. (arrêt de 1991 : mère porteuse interdites). On considère que cela nuit au principe de l'indisponibilité que de l'indisponibilité de l'état personnes. L'exemple du transsexualisme : condamnation de la France par la CEDH en mars 1992. la cour considérant que le refus de l'état français de changer l'état civil de la personne ayant changer de sexe était contraire au principe du respect à la vie privée et nécessitait le changement de position de la France. La cour de Cassation

de patron il faut aller à la police ce livret est supprimé en 1890. Le droit du travail moderne est né avec ces premières lois qui sont des lois de police qui vont concerner les conditions de travail. Le travail des enfants est la 1ère loi sociale du 22 mars 1841, c'est là qu'on fixe le commencement du droit du travail et le législateur intervient pour encadrer le travail d’une catégorie d'une population, on limite le travail quotidien des enfants de 8h par jour et 12h pour les enfants de 12

exemple les garanties autonomes, des lettres d'intention ou des clauses de réserve de propriété. Le droit des sûreté a fait l'objet d'une réforme fondamentale. Suite au rapport GRIMALDI, le législateur est intervenu par le biais d'une ordonnance du 23 mars 2006. Cette ordonnance a profondément modifié le droit des sûretés : sur la forme : la création d'un nouveau livre dans le CC : livre IV « des sûretés », divisé en titre : titre 1 « des sûretés personnelles » et titre 2 « des sûretés réelles »

la loi 91-716 du 26 Juillet 1991. Il est nécessaire de plus que l'opération soit réalisée à titre onéreux, et qu'un lien direct soit établi entre la prestation, et la contrepartie. Deux sous-critères se sont rajoutés par le biais de l'arrêt du 8 Mars 1988 de la CJUE, qui complète donc avec les critères du service individualisé, et de l'équivalence subjective. En l'espèce, les différents critères sont remplis, la condition matérielle est donc elle aussi remplie. Dans un second temps, il est