Cass Civ 6 Octobre 1966

que le DI n'a pas à s'occuper des droits de l'homme. Il faut dire que le bloc de l'est n'a pas été le seul a minimiser l'intéret de la protection des droits fondamentaux en DI a été malheureusement suivi par une certaine jp de la CIJ de 1962 et de 1966 rendus dans l'affaire du Sud ouest africain: il s'agit là de 2 affaires qui ont pour fond de litige la politique d'apartheid pratiquée en Afrique du Sud. Face à cette politique qui était pratiquée, deux Etats africains (Ethiopie et Libéria) protestent

l’administration. Ces éléments confirmeraient le principe selon lequel la compétence suit le fond (le fond détermine la compétence): lorsque l’on sait quel est le droit à appliquer, on connaît la juridiction compétente. Or cela n’est pas toujours le cas. Cass. Civ. 23 nov. 1956, Trésor public c/ Giry : « le juge judiciaire a fait application des règles du droit administratif ». On désigne ces règles comme le régime administratif. Ce régime n’est pas propre à la France, mais le système français reste spécifique

retoucher la constitution de la 4e, mais pour mettre en place un nouveau régime pour permettre à la France de sortir du guêpier de l’Algérie. Il est investi par 329 voix contre 224. Le 2 juin 1958 : il obtient les pleins pouvoirs pour une durée de 6 mois. Sa 2e exigence : est votée à la majorité des 3/5 des 2 chambres la loi constitutionnelle du 3 juin 1958. Cette loi a pour objet de modifier la procédure de révision constitutionnelle prévue par l’article 90. Cette loi a 2 objets : * Prévoir une

unilatérale dans les contrats internationaux ? Son application sans réserve peut avoir un effet dissuasif sur les partenaires étrangers qui vont refuser de contracter avec les PM de droit public françaises. La JP va tenir compte de cet élément => Cass. 2 mai 1966 « Galakis » la Cour de cassation pose « un principe normatif selon lequel la prohibition faite à l’Etat et aux personnes publiques de recourir à l’arbitrage n’est point applicable à un contrat international ». En l’espèce il s’agissait d’un contrat

le prévoit l’ordre des successions. Aux USA, en matière de succession testamentaire, on peut prévoir, en considération de ce cas, une clause de succession « intégrale » à l’autre conjoint à condition d’une survie pour une certaine durée – genre 3 ou 6 mois -. 2. Sinon (s’il n’est pas possible de déterminer une chronologie), la succession de chacun est dévolue comme si pour chacun l’autre était décédé en premier. En gros, on supprime donc la vocation héréditaire entre comourants. Avant, il était

difficulté, ont été étendues aux personnes morales civiles, aux artisans, aux agriculteurs, et aux professions libérales. Elles ont même inspirées les procédures de traitement du surendettement du particulier. La loi sur les sociétés commerciales de 1966 a largement inspirée la loi de 1978 sur les sociétés civiles. Section 2 : l’évolution du droit commercial On ne peut pas dater précisément l’existence du droit commercial. On peut dire que de tout temps, l’homme a pratiqué l’échange, qui s’est

personnes. La propriété. La Nation. L’environnement. La consommation. Le droit pénal sanctionne le non respect de ces valeurs. La sanction va être à la hauteur de l’appréciation de la valeur protégée. 1ère sanction pénale est la peine de mort. 9 octobre 1981 => Fin de la peine capitale. La sanction la plus lourde est la privation de liberté. Définitions du droit pénal :  « Ensemble des règles juridiques qui organisent la réaction de l’Etat vis-à-vis des infractions et des délinquants (auteurs

CC a refusé dans une décision du 23 février 1987, N°8624DC, de reconnaître que le principe de séparation de juridiction n’a pas valeur constitutionnel. Cette séparation n’est pas constitutionnalisée dans son fondement. Exemple : arrêt Canal (19 octobre 1962) le général De Gaulle avait pour régler le sort de ressortissant algérien. Il avait crée une juridiction ad hoc où il pouvait y avoir une condamnation à mort sans recours. Canal va poser ce problème au CE qui va lui donner raison. Cet arrêt va

l’administration. Ces éléments confirmeraient le principe selon lequel la compétence suit le fond (le fond détermine la compétence): lorsque l’on sait quel est le droit à appliquer, on connaît la juridiction compétente. Or cela n’est pas toujours le cas. Cass. Civ. 23 nov. 1956, Trésor public c/ Giry : « le juge judiciaire a fait application des règles du droit administratif ». On désigne ces règles comme le régime administratif. Ce régime n’est pas propre à la France, mais le système français reste spécifique

de l’infraction dite collective. 3. Le terme collectif est issu du latin collectivus, de colligere signifiant réunir, ramasser. Il renvoie à un ensemble de personnes, un groupe qui assure une tâche politique, sociale ou autre de manière concertée[6]. Cette définition par sa brièveté n’en est pas moins complète. Le collectif se compose de plusieurs éléments. Certes, le plus évident est celui de la pluralité. Mais il n’y a de collectif que dans la mesure où il existe également un but commun auquel