Cass Com 16 Mars 2010

d’exécution. Cf : Arrêt du 28 mars 1995. B) Vers l’efficacité de la promesse verbale. Lundi 05 octobre I. Les pourparlers Principes directeurs : loyauté, liberté. On les retrouve dans les projets de réforme des droits des contrats qui fait de la liberté l’axe des pourparlers ; l’initiative, le déroulement et la rupture des pourparlers sont libres (1111 du projet de réforme). La liberté implique la liberté de ne pas aboutir à la conclusion du contrat projeté. Cas com 4 mai 2010 : « le fait de ne pas poursuivre

de la société. Dans les rapports externes, la société n'est engagée que par les actes qui rentrent dans l'objet social. Article L221-4 du Code de commerce. Il faut signaler une solution adoptée par la Cour de cassation, chambre commerciale 18 mars 2003, Bull Joly 2003 § 138: cette solution est contestable en ce qu'elle est fondée sur l'intérêt social, ceci pour justifier l'engagement de la société à l'égard d'un tiers. Cette solution a été adoptée dans une situation très particulière: l'hypothèse

structuré, au moins ce que sont des OPCVM « à formule », visés à l’article R. 214-27 du Code monétaire et financiers, des OPCVM structurés de droit étranger 2 équivalents, visés à l’article 36 du règlement de l’Union européenne n° 583/2010 de la Commission du 1er juillet 2010 mettant en œuvre la directive 2009/65/CE, des titres de créances complexes et des titres financiers équivalents, notamment les EMTN (Euro Medium Term Notes). Tous ces « produits » ont envahi, sur la pointe des pieds, les contrats

concurrence européenne… 5 Les dernières reformes tentent de redonner à la France une image attractive : Loi NRE du 15 mai 2001 Loi Dutreil sur l’initiative économique du 1er aout 2003 Loi Sécurité financière du 1er aout 2003 Ordonnance du 25 mars 2004 sur la simplification du droit des sociétés; Ordonnance du 24 juin 2004 sur la réforme des valeurs mobilières Loi Breton du 26 juillet 2005 sur la confiance et la modernisation de l’économie; Loi Jacob du 2 aout 2005 pour les PME; La Loi de

consignation, soit directement entre les mains du dépositaire. Ils sont constatés par un certificat du dépositaire, les fonds déposés sont indisponibles jusqu'à l’immatriculation de la société. Lorsque des apports en nature sont réalisés le Code de Com impose le respect d’une procédure spécifique. Cette procédure vise à protéger les autres actionnaires et les tiers contre une surévaluation du bien apporté. Par exemple : si un actionnaire apporte un immeuble à la société il aura tendance à surévaluer

Association française des marchés financiers AMF Autorité des marchés financiers ANSA Association Nationale des Sociétés par Actions C. com. Code de commerce Cass. Cour de cassation CESR Committee of European Securities Regulators CFD Contract for Difference (dénouement par différentiel) Com. Chambre commerciale de la Cour de cassation Com. sanc. Commission des sanctions de l’AMF Comofi Code monétaire et financier ESMA European Securities and Markets Authority FBF Fédération

Général © COUTOT-ROEHRIG DE LA FISCALITÉ SUCCESSORALE 21, boulevard Saint-Germain - 75005 PaRis tél. : + 33 (0)1 44 41 80 80 - fax : + 33 (0)1 43 29 16 17 2011 33ème édition www.coutot-roehrig.com tél. : 00 48 12 294 40 05 siège soCiaL : 21, boulevard Saint-Germain - 75005 PARIS tél. : + 33 (0)1 44 41 80 80 - fax : + 33 (0)1 43 29 16 17 - www.coutot-roehrig.com SA au capital de 1.350.000 € - RCS PARIS B 392 672 796 « N’hésitez pas à contacter votre interlocuteur RECHERCHE

Conflit de lois dans l’espace | | Section 1: Etude Détaillée de l’arrêt de la Cour de Cassation, Chambre Commerciale Cass. com. 19 octobre 2010 n° 09-69.246 (n° 1017 F-PB), Sté JFA chantier naval c/ Sté Kerstholt teakdecksystems BV, Un chantier naval français avait commandé à une société établie aux Pays-Bas l’installation d’un pont sur un navire qu’il construisait en France. Poursuivi en paiement, le chantier naval demandait l’application de la loi française.

lui appartenait seulement d’en apprécier la valeur probante ». Les recours des demanderesses étant donc rejetés, elles allaient présenter leurs moyens auprès de la Cour de cassation. . L’année suivante (Cass. com., 3 juin 2008, Stés Philips France et Sony France, n° 07.17147 et 07-17196, Bull. 2008, IV, n° 112), la chambre commerciale met à mal la légalité de la décision du Conseil de la concurrence et l’interprétation de la Cour d’appel en cassant l’arrêt

erreur sur les motifs Com., 18 février 1997 : erreur sur la valeur 2.  L'ERREUR INEXCUSABLE Civ. 1ère, 16 décembre 1964 : l’erreur grossière est inexcusable Civ. 3ème, 21 février 2001 : le dol chasse l’inexcusable B.  LES ERREURS SANCTIONNEES 1.  L'ERREUR-OBSTACLE Civ. 3ème, 1er février 1995 : erreur sur l’identité de la chose Civ. 1ère, 4 juillet 1995 : erreur sur le prix non flagrante Civ. 1ère, 2 juin 1987 : erreur arithmétique Date de création du document : année universitaire 2010/2011 Consultez les