Cass Crim 11 Mai 1999

penser que les solutions nationales ne sont qu’approximatives. L’objectif des universalistes est de créer un droit international privé commun aux Etats. Notons qu’aucun auteur moderne ne fait plus partie d’une catégorie de façon aussi tranchée. 11 Conclusions en comparant les deux théories : on ne saurait admettre qu’il ne faut que des sources internes. Les conventions bilatérales ou multilatérales sont utiles. Mais il serait utopique de considérer que les sources internationales sont seules

- p.1 PARTIE 1 : L’APPRÉHENSION DU BLANCHIMENT DE CAPITAUX ET LA FISCALITÉ INTERNATIONALE ----------------------------------------- p.9 Chapitre 1 : Le circuit de blanchiment de capitaux ------ p.11 Section 1 : Les caractéristiques du blanchiment ------------------------- p.11 §1 : Processus et méthodes du blanchiment -------------------------------------- p.12 A. Le placement (conversion d’espèces) 1. Processus 2. Méthodes B. L’empilage (dissimulation

termes, il n'y a pas de spécificité du contentieux constitutionnel quant à l'applicabilité de l'article 6 aux procédures de contrôle concret : « en principe une procédure devant une Cour constitutionnelle n'échappe pas au domaine de l'article 6 § 1 » (11) . Ici comme ailleurs, et exception faite du contentieux de la fonction publique, seul compte le caractère « privé » du droit en cause ou le caractère « pénal » de la sanction encourue, au sens autonome de l'article 6 § 1 de la Convention. La jurisprudence

comme des personnes ( ART 10 du 9 juillet 1970) ce qui nous permet de dire ça → on va réparer votre préjudice d'affection Droit de garde des animaux ( ART 255 et 286 ) chiens d'aveugle qui avait été traité comme une prothèse vivante (TJI 23 mars 1999, page 350) l'animal a été protéger avant l'homme ( loi de 1987 (animal) 1988 (hommes)) 10 juillet 1976 l'animal est un être sensible ( pénal) exception : on peut justifié cela a un fait religieux, culturel ( corrida → tradition local ininterrompu)

la cour de cass. qui estime que les médecins doivent informer patients même sur les risques exceptionnels. Donc est une règle rendue sur le fondement de l’art. 1147. Patiente fait un procès 22 ans plus tard (prescription est de 30 ans). Techniquement parlant, elle a raison. Décision de la cour de cass. : médecin condamné. Caractère rétroactif de la loi prétorienne. Cr de Cass, en 2004 a rendu deux arrêts le même jour : [pic] 8 juillet 2004, premier arrêt ds lequel la Cr de Cass faisait face

Conseil Constitutionnel. La procédure pénale est une matière sensible sur le plan politique et le Conseil constitutionnel s’est souvent prononcé sur des lois de procédure pénale et bien avant le mécanisme de la QPC. Dans sa décision du 27 Janvier 1999 sur la constitutionnalité du traité de la Cour pénale internationale, le Conseil a pu indiquer que le PDR, pendant toute la durée de ses fonctions n’est justiciable que de la Haute cour de justice. La jurisprudence du Conseil constitutionnel prend

ailleurs, pour tout justiciable non condamné au plan pénal, aucune QPC ne saurait être déposée dans le cadre d'un pourvoi en cassation sans respect du délai légal (10 jours dans l'espèce soumis à la Cour de Cassation) sous peine d'irrecevabilité d'office [11]. La Cour rappelle que toute question prioritaire dépend en termes de délai à celui lié à une procédure au fond [12]. Elle doit être posée dans le cadre procédural tiré de la procédure de saisine initiale (ainsi ne pourrait-elle être jamais posée, de

de recours hiérarchiques amélioré par la création du Conseil D’Etat de 1799 (consulat…). Le Conseil d'État va se spécialiser dans la fonction du conseil. Il va acquérir une grande compétence ainsi la signature du ministre est formelle. Loi du 24 mai 1872 (valeur constitutionnelle) : le Conseil d'État rendra directement ses décisions au nom du peuple français  le passage à un système de justice délégué, il n’est plus besoin de la sanction d’un ministre pour rendre décisoire la décision. Le

chronologiquement. Partie 1 : Une compétence réservée à l’origine au Conseil de l’Europe Fin 2nde GM. Volonté que cela ne se reproduise pas. 5 mai 1949 à Londres, on va décider de créer une institution, organisation internationale à vocation régionale : cela ne s’appliquera qu’à un territoire = Le Conseil de l’Europe. On adopte son statut le 5 mai 1949. Le préambule qui donne l’objectif, et l’article 3 (DP 1 n°2) établissent un lien entre trois éléments : le respect des droits de l’humain, les

publics. 1996 Régies publicitaires, produits dérivés, fraude et corruption dans les marchés publics, concurrence et corruption, rationalité et fraude internationale. 1997 Les sectes, les marchés informatiques, commerce de détail. 1998-1999 Le conseil, les intermédiaires et la corruption, la grande distribution, la formation professionnelle. 2000 Publicité, contrôle interne, le « pantouflage », l’adoption. 2001 Corruption et exclusion, la nébuleuse caritative, les ONG,