Cass Crim 24 Octobre 2000

défenseur des droits tout court (article 71-1). La QPC devait au départ, dans le projet de révision, concerner les droits fondamentaux et en cours de travaux parlementaires, ils sont devenus les droits et libertés. Le terme dans un texte: loi 30/06/2000, article 521-2 CJA: créé devant le JA une nouvelle procédure dite référé liberté. Ce texte mentionne expressément le terme liberté fondamentale. Il est vrai qu'il est assez difficile de hiérarchiser les libertés en raison de leur étroite imbrication

contraire à la Constitution. La Cour suprême parvient à revenir sur sa propre jurisprudence en s’appuyant sur un arrêt de la Cour européenne des droits de 4 Cour de cassation française, Arrêt Perruche, 17 juin 2000. Accessible à l’adresse : http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/UnDocument?base=CASS&nod=CXCXAX2000X 11X0PX00009X000 5 Lawrence v. Texas, 539 U.S. 558 (2003). 6 Bowers v. Hardwick, 478 U.S. 185 (1986). 3 l’homme qui reconnaît le droit à la vie privée des homosexuels7. La Cour suprême

se modifier, procédure crée qui est extraordinaire sous Auguste, initiative des poursuites départagés, le juge pourra se saisir d’office, tendance a diminué de l’accusation privée. Les magistrats vont être professionnels pour les contentieux et les crimes extraordinaires ; L’écriture va permettre quand il est valorisé les voies de recours Les romains vont créer le système de la preuve légale (preuve exigée pour constater la véracité d’un fait) et de l’intime conviction. Il y a un mode de preuve qui

ordre juridique, le plus souvent un ordre juridique étatique qui ne prend pas forcement une forme unitaire Le droit se manifeste à travers un ordre étatique unitaire Le droit peut se créer dans un ordre juridique supranational : arrêt Jacques Vabres 24 mai 1975 Il n’existe pas d’ordre juridique international Section II : Distinction §1. Droit et morale De nombreuses règles de droit sont empruntées à la morale, on pourrait penser que le droit n’est que le relais de la morale et permet de

MEYET (pg 327) : cette jurisprudence établit qu’un décret délibéré en Conseil des ministres doit impérativement être signé par le Président de la République. Il a rendu cet arrêt car la jurisprudence n’avait pas été suivie dans un arrêt du CE du 10 octobre 1987 Syndicat autonome des enseignants de médecine (pg 310). Il a été ajouté que la modification d’un tel décret relève nécessairement de la même autorité : CE 23 mars 1994 : Comité d’entreprise de la RATP (pg 151). Mais cette solution était très

projeté en amphithéâtre. Document à usage pédagogique inséparable du cours, n’ayant pas vocation à le remplacer, ni prétention à servir d’ouvrage. Remise à jour au fur et à mesure du déroulement du cours. Cours du 14/09/2011 A jour à cette date Loi 16-24 août 1790 art. 10 : “Les tribunaux ne pourront prendre, directement ou indirectement aucune part à l’exercice du pouvoir législatif, ni empêcher ou suspendre l’exécution des décrets du corps législatif, sanctionnés par le Roi, à peine de forfaiture”

lentement constitué depuis au moins la Charte de Jean Sans Terre de 1215, jusqu’à la DUDH de 1948, sans oublier la Convention européenne des droits de l’Homme de 1950 et la Charte des droits fondamentaux de l’Union Européenne adoptée au sommet de Nice en 2000. On est donc en présence d’une réalité qui reste toujours à parfaire. Le problème qui se pose est celui de la protection des droits et de la garantie des libertés et non plus celui de la proclamation. Il y a une obligation citoyenne de protéger

.......... 20 TITRE 2 - L’EXERCICE DES LIBERTES ................................................... 23 CHAPITRE 1 - LES CONDITIONS D’EXERCICE DES LIBERTES .............................. 24 Section 1 - L’encadrement des libertés ........................................................................... 24 Section 2 - Les limites des libertés ................................................................................. 28 CHAPITRE 2 - LES GARANTIES D’EXERCICE DES LIBERTES ................

février 1909, Abbé Olivier ........................................................................................... 23 CE 4 mars 1910, Thérond ........................................................................................................ 24 CE 11 mars 1910 Compagnie Générale Française des Tramways........................................... 25 CE, 3 février 1911, Anguet ...................................................................................................... 26 CE, 8 mars

février 1909, Abbé Olivier ........................................................................................... 23 CE 4 mars 1910, Thérond ........................................................................................................ 24 CE 11 mars 1910 Compagnie Générale Française des Tramways........................................... 25 CE, 3 février 1911, Anguet ...................................................................................................... 26 CE, 8 mars 1912