Cassation Assemblée Plénière 7 Mai 2004

La spécificité de la règle de droit est associée à l'origine de la sanction qui permettrait à coup sur d'identifier la règle de droit. La règle de droit est assortie de la contrainte étatique. Introduction générale au droit et au droit civil Page 7 2) La diversité des sanctions de la règle de droit. a) Sanction civile Suppose la violation d'un intérêt particulier. Deux grandes sortes de mesure : i) Mesure de rétablissement de la légalité peut avoir lieu par deux moyens :  Exécution forcée de

intéressés. Il y a bien sur des manifestations de volonté (demande d’acte de volonté etc.), cela signifie simplement qu’il n’est pas possible de passer de contrats à l’égard de la filiation (exemple : promesse de non-reconnaissance d’un enfant).Assemblée plénière, 31 mai 1991 « Alma Mater » : le principe de l’indisponibilité de l’état des personnes a été invoqué pour déclarer comme contraire à l’ordre public les conventions de mère porteuse. Certains auteurs estiment néanmoins que ce principe est remis en

1946 et des Principes fondamentaux reconnus par les lois de la République par le Conseil constitutionnel 15 Paragraphe II – La validation de la démarche par le pouvoir de révision constitutionnelle avec l’inclusion de la Charte de l’environnement de 2004 20 Section II : L’adaptation de la Constitution : la révision constitutionnelle 20 Paragraphe I – La procédure de révision 20 A – La seule procédure juridiquement valable : la procédure de l’article 89 20 B – L’opportunité politique : la procédure

substituts du procureur général. Les arrêts sont en principe rendus à l’audience ordinaire par trois magistrats (un président de chambre assisté par un ou deux conseillés) Il admet notamment ainsi en cas de renvoi après cassation. B) La cours de Cassation. La cours de cassation assure l’unité dans l’application de la règle de droit, c'est-à-dire qu’elle évite que les juridictions statuent de manière différente sur un même point. Elle est saisie par un pourvoi formé contre toute décision rendu en

droit public. Le droit public est plus contraignant que le droit privé. Les droits publics et privés ne sont pas appliqués par les mêmes juridictions droit publique : juridictions administratives. Droit privé  juridiction judiciaire (cour de cassation, cour d’appel, TI, TGI). II- La distinction entre droit publique et droit privé présente une certaine relativité Il n’y a pas d’étanchéité parfaite entre droit publique et droit privé. Il y a dans le droit privé d’assez nombreux aspect de droit

Le principe est que le juge a obligation de restituer au contrat son exacte qualification quelque soit la qualification retenue par les parties, c’est ce qui ressort de l’article 12 du CPC, c’est une question soumise au contrôle de la cour de cassation, dans la majorité des cas les arrets de la cour seront des arrets pour : violation de la loi (mauvaise interprétation de la loi, arrets de principes souvent) manque de base légale (les juges du fond on mal motivé leur décision donc l’arret de renvoi

leveneur : Droit des Assurances et Traité de l'opération d'assurance, de l'activité d'assurance et de la relation d'assurance Précis DALLOZ, 12e éd., 2001 Manuel à jour, complet et précis q GROUTEL Hubert, BERR Claude J., Droit des assurances, Dalloz, 2004 q BIGOT Jean, Traité de droit des assurances LGDJ : T.1 : Entreprises et organismes d'assurance, 1996 T 2 : La distribution de l'assurance, 1999, 769 p. T.3 : Le contrat d'assurance, 2002, 1645 p. q Beigner Bernard, Droit du Contrat d'Assurances

 objectif     1.-­‐‑  La  règle  de  droit     Document  1  :  Jean  CARBONNIER,  Flexible  droit,  LGDJ,  1992,  p.  23  (extraits).   Document  2  :  Philippe  JESTAZ,  Le  droit,  p.  33  et  s.  (extraits).   Document  3  :  Ass.  Plén.,  19  mai  1978,  D.  1978,  541.   Document  4  :  Soc.,  17  avril  1991,  JCP  1991,  II,  21724,  note  A.  SERIAUX.   Document  5  :  Bruno  ANCEL,  "ʺL'ʹétat  civil  saisi  par  le  religieux  :  la  consécration  juridique  de   l'ʹintime  ?"ʺ,  JCP  2015

matière familiale par Elodie Mulon  Gazette du Palais, 11 novembre 2010 n° 315, P. 17 - Le logement de la famille et l'article 217 du Code civil, par Gilles RAOUL-CORMEIL  Gazette du Palais, 22 mai 2010 n° 142, P. 8 - Logement et famille, par Elodie Mulon  Gazette du Palais, 11 septembre 2010 n° 254, P. 7 Liquidation et pouvoirs du JAF : une circulaire discrète mais ferme ! À propos de la circulaire du 18 juin 2010, par Jerôme Casey  Gazette du Palais, 02 septembre 2010 n° 245, P. 16 Les dissonances

explicite de la famille. Certes, on retrouve en particulier dans le livre 1° du code civil les différentes matières que l'on range dans le droit de la famille, dans le titre 5 du livre 1° consacré au mariage, le titre 6 consacré au divorce, et les titres 7-8-9 consacrés à la filiation et à l'autorité parentale. Si on regarde de plus près ces textes, on voit très vite qu'il n'y a pas une seule définition de la famille. Parfois, le groupe familial comprend uniquement le père, la mère, et les enfants mineurs :