Castigat Ridendo Mores Molière

- « fortune » : Sort, destinée ; mais aussi «état, condition où l’on est». Scène 3 : - « Cléanthis » : Ce nom grec, qui signifie «fleur glorieuse», avait déjà été employé par Molière pour la servante effrontée d’’’ Amphitryon ’’. - « Euphrosine » : Ce nom grec, qui signifie «pleine de joie», était celui d’une des trois Grâces. - «

sujets que l’on raconte dans le folklore de quelques pays. Les sujets ont perpétué dans le temps, comme les problèmes quotidiens. Il y a une évolution naturelle de ce sujet-là : la farce, puis les contes de la Fontaine, puis les comédies de Molière, le théâtre de la Foire et le théâtre du Boulevard. À la base des fabliaux on trouve la duperie, dont on a toujours une victime, un dupeur dupé. Celui qui veut duper quelqu’un sera finalement trompé. Le dupeur fait partie de ce didactisme des fabliaux

Phèdre dans la tragédie de Racine, Hernani et Doña Sol dans le drame Hernani de Victor Hugo, Aurélien et Bérénice dans le roman d’Aragon, Aurélien ; 3. l’avarice : Euclion dans la Comédie de la marmite de Plaute, Harpagon dans la comédie L’Avare de Molière, le père Grandet dans le roman Eugénie Grandet de Balzac ; 4. l’ambition : Jacob dans Le Paysan parvenu de Marivaux, Julien Sorel dans Le Rouge et le Noir de Stendhal, Rastignac dans Le Père Goriot de Balzac, Georges Duroy dans Bel-Ami de Maupassant

de donner, avec légèreté et gaieté, une leçon à ses contemporains. On peut se demander, en effet, à qui le discours de Cléanthis s'adresse lorsque celle-ci s'écrie : « Entendez-vous, Messieurs les honnêtes gens du monde ? » (sc. 10). « Castigat ridendo mores » Marivaux rejoint donc la fonction traditionnellement attribuée à la comédie (« elle corrige les mœurs par le rire »). Il imagine 101 ANNEXES une expérience, offre un miroir à son public. Sans doute entend-il réconcilier une société

tomber les 7 cheveux. Utile pour protéger les cravates. BARBIER : Aller chez le frater, chez Figaro. Le barbier de Louis XI. Autrefois saignait. BAS-BLEU : Terme de mépris pour désigner toute femme qui s’intéresse aux choses intellectuelles. Citer Molière à l’appui : « Quand la capacité de son esprit se hausse... » , etc. BASES de la société : Id est, la propriété, la famille, la religion, le respect des autorités. En parler avec colère si on les attaque. BASILIQUE : Synonyme pompeux d’église. Est

militaire et participe à la campagne d'Italie, qu'il va découvrir avec éblouissement. Il devient sous–lieutenant, obtient un congé car l'armée l'ennuie, rentre en France et démissionne en 1802. A Paris, il désire écrire des comédie à la façon de Molière. Il fréquente le millieu théâtral, mais ne parviendra pas à être dramaturge. Comme il faut cependant vivre, il reprend du service dans l'armée et devient conseiller d'état. Il participe aux campagnes de Russie et de Saxe et connaît l'échec avec la

tomber les cheveux. Utile pour protéger les cravates. B ARBIER Aller cher le frater, chez Figaro. Le barbier de Louis XI. Autrefois saignait. B AS - BLEU Terme de mépris pour désigner toute femme qui s’intéresse aux choses intellectuelles. Citer Molière à l’appui : « Quand la capacité de son esprit se hausse… », etc. B ASES DE LA SOCIÉTÉ Id est la propriété, la famille, la religion, le respect des autorités. En parler avec colère si on les attaque. B ASILIQUE Synonyme pompeux d’église. Est toujours

défendre, l’argument est le raisonnement défendant la thèse et l’exemple illustre l’argument. ᕣ Identifiez les écrivains classiques parmi les propositions suivantes. ¨ Racine ¨ La Bruyère ¨ La Fontaine ¨ Montesquieu ¨ Maupassant ¨ Molière ᕤ Qu’est-ce que le classicisme ? ¨ Un mouvement du XVIIe siècle qui manifeste le goût de l’équilibre, de la mesure, de la simplicité, la maîtrise des passions, le souci de règles. ¨ Un mouvement du XVIIIe siècle qui s’oppose aux idées révolutionnaires

secret pour vous, vous le pratiquez sans le savoir.    ELLE  (riant) je suis une sorte de Monsieur Jourdain, qui connaît le latin sans le savoir !    LUI  Voilà,  ou,  comme  vous  faîtes  allusion  à Molière, disons  que vous  êtes  une Philaminte, une  femme  savante  qui  s’ignore.  Comme vous  semblez  connaître Molière,  vous n’ignorez donc  pas  que  les  gens  de  qualité  savent  tout  sans  n’avez  jamais  rien  appris.  Et  vous  voyez  que  contrairement  à  ce  qu’en disait Flaubert,  le latin  ne 

ES/S) Le XVIIe siècle : l’âge d’or du théâtre Le XVIIIe siècle : une apparente légèreté SÉQUENCE 1 – Le « théâtre dans le théâtre », du XVIIe à nos jours • Pierre Corneille, L’Illusion comique (p. 150 ES/S et Techno / p. 152 L/ES/S) • Molière, L’Impromptu de Versailles (p. 154 ES/S et Techno / p. 156 L/ES/S) SÉQUENCE 3 – L’aveu sur scène du XVIIe au XXe siècle • Jean Racine, Phèdre (p. 188 ES/S et Techno / p. 190 L/ES/S) • Pistes de lecture – William Shakespeare, Hamlet (p. 221