Castigat Ridendo Mores

dimension didactique et satirique en s’appuyant sur des procédés comme le comique de caractère qui grossit et caricature les vices et les défauts des hommes. Ainsi, Molière dans son premier placet sur Tartuffe reprend et cite la devise latine « Castigat ridendo mores » (châtier les mœurs en riant) et définit le nouveau but de la comédie. Il fait également dire à un de ces personnages dans « l’Impromptu de Versailles » : « l’affaire de la comédie est de représenter tous les défauts des hommes, et principalement

mais aussi Victor Hugo, qui à travers ses romans tels que Le dernier jour d'un condamné (1829) , ou Glaude Geux (1834), constituent un réquisitoire politique visant à deffendre la peine de mort en France; ou encore Moliére, qui selon le « castigat ridendo mores » dénonce la sociète de l'époque à travers ses pièces de théâtre, parmis les plus connues L'avare (1668), ou il y fait la satire de l'avarice, ou bien Le Bourgeois gentilhomme (1670), ou il critique tout simplement la bourgeoisie . De plus

avec les expérimentations d'e-toile, le café-théâtre d'improvisation, le théâtre de l'absurde, le conte, la revue, et ainsi de suite. Molière disait, traduisant ainsi une devise de Santeul : le but de la comédie est de corriger les mœurs (castigat ridendo mores), ce qui vaut aussi pour la tragédie. Ces deux formes théâtrales ont en effet une portée édifiante. -La comédie se propose de « corriger les vices des hommes en les divertissant », dit Molière. Cet auteur français célèbre, tout en faisant

visions et les préjugés ▪ •agir sur les esprits ▪ •témoigner sur la vie de la société, une époque, un passé, un fait → l’écrivain serait alors comme la conscience d’une époque ▪ •Rectifier l’âme des hommes : la catharsis avec Aristote / le « castigat ridendo mores » ▪ •échapper à la réalité : le nouveau Roman (évacuer le réel en proposant des œuvres réflexives) ▪ •divertir, s’évader, faire rêver, plonger le lecteur dans le monde de l’imaginaire

I- Le rire est d’abord cruel pour remplir certaines fonctions. 1- Corriger les mœurs/défauts ? Castigat ridendo mores ? Doc 3 : La liste des moqués est longue (l.23-26). C’est l’hybris des individus cités qui est moquée (pédanterie, rhétorique alambiquée, exagérations de l’amoureux) ainsi que tout ce qui relève d’une mécanique plaquée sur du vivant (les tics du capitaine, les clichés du politique). Rire permettrait de ne plus être sous l’obédience de personnages qui se placent en supérieurs. Doc

qu’on trouve dons les fêtes foraines. En riant de cet autre, nous rions de nous‑mêmes. 1- Faire rire pour corriger Dès l’Antiquité, la comédie a été envisagée comme ayant un rôle moral et social à jouer. Selon la célèbre formule latine  «  Castigat ridendo mores » , il lui appartient de « corriger les mœurs par le rire ». Molière reprendra cette idée en écrivant dans la préface de Tartuffe que « le devoir de la comédie étant de corriger les hommes en les divertissant ». 2- Faire rire pour distraire

voir une pièce de théâtre. Au XVIIème siècle, le genre comique s'affirme et trouve ses lettres de noblesses. Pour beaucoup, le théâtre est devenu un lieu de réflexion et de distraction. Si le rôle de la comédie se retrouve dans la phrase "castigat ridendo mores", c'est à dire, "châtier les moeurs par le rire", il convient pourtant de souligner que les premières représentations théâtrales, en l'honneur de Dionysos, détenaient déjà une autre fonction, dites "purificatrice". C'est alors qu'Aristote

« Castigat Ridendo Mores » - en riant elle châtie les mœurs - déclarait le dramaturge et acteur Molière au sujet de la comédie au 17e siècle. En effet depuis sa création au sixième siècle avant Jésus Christ par Aristophane la comédie s’est toujours montrée sous deux visages, l’un étant plus subtil que l’autre car à première vue seule la volonté de faire rire prédomine. A partir de cette idée nous allons chercher à savoir si la seule fonction de la comédie est de faire rire. Nous allons d’abord parler

contestation sociale Dans ce paragraphe je vais étudier les formes par lesquelles la comédie en général et Le jeu de l'amour et du hasard au détail arrivent à susciter une critique sociale. IV.I.I Castigat ridendo mores  Le théâtre marivaudien reprend la parole de la comédie Castigat ridendo mores. Il s'agit d'une expression latine qui peut être traduite en français par « corriger les mœurs par le rire ». Elle provient du poète Jean de Santeul (1630-1697). Dans ce sens, la comédie n'est pas limitée

aspect universel. Si l'argumentation indirecte permet d'éviter la censure c'est aussi un moyen de faire passer un message important qui serait impossible autrement et de rallier le lecteur à son point de vue tout en le divertissant. « Castigat ridendo mores » la comédie châtie les mœurs en riant. C'était la devise de Molière qui au travers de ses pièces se moquait de la société de ses contemporains de leur vices et vertus prétendues. Dans Tartufe il dénonce l'hypocrisie des faux vertueux, dans