Castigat Ridendo Mores

défauts et les vices de la société. Contrairement à la tragédie, elle ne cherche pas à amplifier les situations tristes : la critique se fait par l'humour et le divertissement. La comédie a pour but de « corriger les mœurs par le rire » ("Castigat ridendo mores"). Pour Molière, le but est de « corriger les hommes en les divertissant » (Molière, « Premier placet au roi au sujet de Tartuffe »). Les personnages appartiennent à la catégorie moyenne de la société (ce ne sont pas des nobles), et la

Bourgeois gentilhomme),Essais(Pamphlets,Voltaire),Romans naturalistes(Germinal,l'Assommoir et romans de la série des Rougon-macquarts de Zola)=>cette argumentation oblique permet également le contour de la censure. Citation de Santeul:"Castigat ridendo mores"-"La Comédie châtie les moeurs en riant" en latin-était la devise des auteurs de la comédie classique au XVIIème siècle sous-axe B)La Littérature est ancrée dans son contexte socio-historique -On associe généralement chaque mouvement

traitent des grands problèmes de la société, et abordent les rapports de pouvoir. Leur but est de corriger les vices des Hommes par la vertu rire. Jean-Baptiste Pocquelin, dit Molière, a d’ailleurs à ce sujet une expression qui lui est propre « Castigat ridendo mores », qui signifie « la comédie châtie les mœurs par le rire ». Le rire est l’essentiel de la comédie. Corriger c’est réprimander. La comédie cherche alors à corriger les Hommes par le rire, elle s’attaque à leurs vices. Certes, certains

hommes que de vouloir les retrancher entièrement », et son but a d'abord été de « faire rire les honnêtes gens ». Il fait donc sienne cette devise qui apparaît sur les tréteaux italiens dès les années 1620 en France, au sujet de la comédie : Castigat ridendo mores – Elle corrige les mœurs par le rire. Jusqu’à dix-sept ans, Jean-Baptiste Poquelin mène ses études chez les jésuites de l’important collège de Clermont, à Paris. Il poursuit ses études de droit jusqu’à la licence. En 1643, il renonce à la

Opposition valeur symbolique/marchande, prix excessif « deux cent mille », refus d’y croire. Jugement esthétique= domaine intime et sensible. Amitié: « mon ami ». Antrios= objet polémique
 II. Scène de comédie 1. Scène de comédie traditionnelle « Castigat ridendo mores » A) Comique de situation
 Tout tourne autour du tableau: 7 dans le passage. Spectateur entouré de blanc. Rire: comment voir dans du blanc des liserés blancs? B) Comique de mots
 Échanges vifs, reprise « cette mrd », anadiplose. Quiproquo

peut être un médecin efficace car il ne procède pas autrement que les autres médecins. Le théâtre est le miroir du monde dont il reproduit le fonctionnement. C’est une des manière qu’utilise Molière pour critiquer les mœurs par le rire. « castigat ridendo mores ». 2. Le public participe au plaisir du jeu, dont la conscience affleure, comme chez la Comtesse, spectatrice du déguisement de Chérubin (texte C). les costumes peuvent également être hors du temps pour exprimer l'universalité d'un message

que que je n'avais rien de mieux à faire que d'attaquer par des peintures les vices ridicules de mon siècle" écrit le dramaturge au roi à propos de son Tartuffe. Critique de la fausse dévotion, de l'attitude hypocrite des fervents religieux. Castigat ridendo mores: châtier les moeurs par le rire. En donnant une dimension satirique à leur pièce, bon nombre d'auteurs de comédies comme Marivaux et sa Colonie dénonce une injustice sociale, une inégalité ou encore un abus.  Le Mariage de Figaro célèbre tirade

de Molière, traitant de l’éducation des femmes) -grandes comédies (a intension morale : Dom Juan) BUT rôle social = fonction ludique plaire et instruire (théâtre divertissement a la base), fonction morale (corrige mœurs par le rire = castigat ridendo mores), critique (dénonce ses cibles par satire) FONCTION CRITIQUE EX liberté de l'auteur à caricaturer les événements, situations, traits de caractères des personnages pour dénoncer * Aristophane Vème siècle avant JC, désacralise mythes

rendre plus accessibles les idées abordées en les illustrant par des apologues amusants : la comédie du grand siècle qui prétend châtier les mœurs en faisant rire. C’est le rire de dérision : celui qu’a pratiqué Molière et la comédie classique. Castigat ridendo mores. Elle châtie les mœurs en les ridiculisant. Un vice n’est jamais innocent, pourtant le ridiculiser peut conduire à une prise de conscience salvatrice. Tout en faisant rire son auditoire, Molière fait passer un message pendant ces moments-là

candide, la guerre est un spectacle « rien n’est si beau, si lest, si brillant, si ordonné que les deux armées »). Secondement, le rire crée la distance, contrairement au mode sérieux. Molière dans ses comédies, suit le mode des anciens « castigat ridendo mores », il préfère peindre les défauts des hommes en les amplifiant, caricaturant (la vertu cathartique du rire). De ce fait, le rire a un côté libérateur, il renforce l’horreur et met en valeur l’absurdité de la vie. Il offre au sujet grave une