Castigat Ridendo Mores

nature On privilégie le vraisemblable au vrai ; le probable au réel La caricature. Cf les personnages de tragédie et de comédie stylisés (persona = masque) La Princesse de Clèves de Mme de La Fayette. Harpagon : castigat ridendo mores : corriger les mœurs par le rire dicere verum ridendo : dire la vérité en riant. On constate que la stylisation poussée à son terme ultime aboutit à l’anéantissement de la réalité et à la rupture de l’œuvre avec le réel auquel est substitué une autre réalité = l’œuvre

(cromwell) II. Antithese : le theatre sert aussi a autres choses 1) instruire ex :medee, euripide 2) argumenter ex : Rhinoceros, Ionesco 3) Satire ex : le bourgeois gentilhomme, moliere III. Synthese 1)castigat ridendo mores 2) 3)

acerbe critique des médecins. Celle-ci est le plus grand ressort comique de la pièce. Mais si, comme Rabelais, nous nous attachons à « sucer à la substantifique moelle », sous le rire apparaît un message : celui de la vacuité du proverbe latin castigat ridendo mores. Tout le génie du style de Molière est d’avoir réussi à lier deux genres différents : la comédie et le ballet et d’en n’avoir fait qu’un. En effet, il faut remarquer à quel point la musique et le chant se mêlent à la comédie. Molière a pris

la commedia dell’arte (les Fourberies de Scapin) et références directes à ses contemporains (Les précieuses ridicules) se présentent souvent comme des critiques acides de ses contemporains, en cela fidèle à la devise de la comédie qui « castigat ridendo mores », châtie les mœurs en riant. Le Misanthrope qui met en scène comme le titre l’indique, un personnage, Alceste, rebelle à tout contact humain, intransigeant et aux principes de conduite inflexibles est de ces comédies sérieuses. Cet extrait

mise en scène de personnages issus de la bourgeoises employant un langage familier ou courant est caractéristique de la comédie. La comédie a pour but de dénoncer les défauts des Hommes à travers un humour satirique et de corriger les moeurs (castigat ridendo mores en latin). Elle doit divertir le public par le rire grâce aux différents procédés du comique (comique de situation, comique de gestes, comique de mots et comique de caractère). La tragédie (le genre noble) met en scène des personnages de rang

au héros, le spectateur éprouve en même temps et rejette les passions génératrices de souffrance. Dans la comédie, cette purgation des âmes va se faire grâce à lapuissance libératrice du rire. Le but de a comédie, depuis l’Antiquité est : « Castigat ridendo mores », corriger les mœurs en faisant rire. 3- Critiquer La comédie n’est pas seulement une critique des caractères, mais devient une satire du monde social. Dans Tartuffe, Molière a peint la fausse dévotion, l’imposture religieuse ; dans

le théâtre est une double énonciation en ce sens qu'un personnage, sur scène, lorsqu'il s'adresse à un autre personnage, s'adresse également aux spectateurs. Catharsis : Epuration des passions par le moyen de la représentation dramatique. CASTIGAT RIDENDO MORES: La comédie châtie les mœurs en riant. Le théâtre dans le théâtre : Pièce dans laquelle, à un moment donné, les comédiens vont jouer une pièce de théâtre à l'intérieur même de la pièce. Commedia dell’arte : Genre de comédie dans laquelle

prisonnière de l'image qu'elle veut renvoyer aux autres. A travers cette tirade, Cléanthis accède à la liberté par le langage et par la satire. Le portrait joue le rôle d'épreuve pour les maîtres. Il a donc une valeur expérimentale celle du "castigat ridendo mores".

avec les expérimentations d'e-toile, le café-théâtre d'improvisation, le théâtre de l'absurde, le conte, la revue, et ainsi de suite. Molière disait, traduisant ainsi une devise de Santeul : le but de la comédie est de corriger les mœurs (castigat ridendo mores), ce qui vaut aussi pour la tragédie. Ces deux formes théâtrales ont en effet une portée édifiante. La comédie se propose de « corriger les vices des hommes en les divertissant », dit Molière. Cet auteur célèbre français, tout en faisant

aux hommes. L'aigle du Caucase venait chaque jour ronger le foie de Prométhée, enchaîné à un rocher. Comme ce dernier était immortel, l'organe repoussait aussitôt, et le dieu subissait un véritable supplice. Ensuite, fidèle au principe du « castigat ridendo mores », le récit punit, non sans humour le chêne prétentieux. La Fontaine montre un effet de chute ironique, puisque après la tempête, le roseau ne s'est pas rompu. Enfin, La Fontaine fait parti du mouvement classique. Ainsi, à travers ses fables