Castration

l’évolution de cette image du corps par une éducation, une humanisation. Elle parle de castrations symboligènes. L’idée, c’est que cela concerne un vécu relationnel marquant notre mémoire à mesure que nous nous construisons. En cela elle rejoint Lacan en disant que cette structuration n’est possible qu’à partir du moment où toutes ces expériences sont verbalisées : c’est le « dire castrateur ». Ces castrations correspondent aux interdits favorisant le renoncement aux pulsions cannibales, perverses

vont renoncer à séduire le parent du sexe opposé pour mieux s'identifier au parent du même sexe. De plus cette période de l’Œdipe va être accepter ou plutôt accéléré par la peur de la castration. Le petit garçon va redouter la menace paternelle en réponse à ses fantasmes sexuels, il en résulte une angoisse de castration tandis que la petite fille ressent, selon Freud, l'absence de pénis comme un préjudice qu'elle cherche à nier, compenser ou réparer. Arrive alors la période de latence, qui va durer

 de  différenciation  pour  le  bébé  du  monde  extérieur   4 Angoisse  de  la  destruction   Sadisme   Masochisme   Ambivalence   Stade  phallique  (3  à  6  ans)   Castration   Angoisse  du  stade  anal   Plaisir  lié  à  la  destruction  et  à  la  domination  de  l’homme   But  passif  d’accéder  au  plaisir  par  des  expériences  douloureuses

n'a plus le support de la vision, l'enfant peut craindre que son corps soit aspiré dans l'obscurité et qu'il devienne alors ce que lui a toujours demandé sa mère : son objet à elle, son phallus. C'est la conséquence première de l'angoisse de la castration maternelle. La solitude et l'obscurité confrontent au vertige du vide de l'Autre et c'est dans ces circonstances angoissantes que commencent les pratiques masturbatoires : l'onanisme décharge l'omniprésence de cet inceste latent  : « La phobie de

autour de la notion de pénis (phallus) et de la castration. La problématique est de l’avoir ou pas ? Tout cela commence avec la reconnaissance des sexes : vers 3 ans l’enfant reconnait les filles et les garçons. La reconnaissance des sexes est essentiellement ressentie en termes de présence ou absence du pénis. Cette reconnaissance des sexes est liée à la curiosité sexuelle. Le phallus est le représentant symbolique du pénis. L’angoisse de castration nait de la nouvelle appréhension de la différence

traverse les différentes phases de la libido, suscitant divers fantasmes : la phase oral se caractérise en ce sens par le fantasme d'être dévoré ; la phase sadique anale par celui d'être battu par le père ; la phase phallique par le fantasme de castration ; enfin la phase génitale verrait émerger le fantasme de subir le coït et accoucher. L'existence d'un masochisme primaire ne supprime néanmoins pas l'idée d'un masochisme secondaire. En certaine circonstance de régression, nous dit Freud, le

le centre du monde, il est dans la toute puissance. Il exprime son désir de langage, découverte de la différence des sexes, angoisse d'une castration possible début du « je » désignant le sujet, empreint du manque. Le thème de l’absence/présence du pénis introduit la différence des sexes et la curiosité sexuelle infantile accompagnée de l’angoisse de castration. Il y a élaboration des théories sexuelles infantiles : fécondation orale par ingestion alimentaire ou par le baiser, la miction (uriner

TD 1Pulsions du MOI et pulsions sexuelles (qui mettent en relation un autre) : rapport d’opposition ne fonctionne pas.Pulsion de mort emmène le sujet à souffrir voire à s’auto-détruire (actes morbides substances toxiques…)Dans la 2nde théorie : pulsion sexuelle et de mort imbriquéesPulsion = articulation entre corps et psychisme La pulsion n’est pas quelque chose que l’on peut éviter. Un stimulus est externe au sujet tandis qu’une pulsion est interne .

qu’il fasse le père; et Pinocchio n’est pas humanisé par l’effet de la métaphore paternelle, ce « médium nécessaire » (Lacan, 1973, p. 247), qui permet de rendre la vie vivable, tempérée. Tout montre en effet un Pinocchio non encore soumis à la castration, phallus-enfant d’un homme qui désire être père et qui fait le père, sans soutenir la fonction paternelle, désirant en circuit fermé. Autrement dit Pinocchio n’a aucune chance de trouver quelque anticipation de la réponse sur la question du désir

transgression. B) Les mythes de Shiva concernant la castration : Cette même distinction entre pur et impur, ordre et transgression se retrouve aussi dans plusieurs mythes entourant le lingam de Shiva. Urban constate que bien avant Freud, les hindous furent conscients du lien entre la tête et les organes génitaux et ont cherché à sublimer le désir pour accéder ainsi à la libération spirituelle. Qu’il soit question de décapitation ou de castration, dans les deux cas Shiva transgresse les interdits