Catharsis Pièces Tragiques

une solide culture classique, et en particulier une bonne connaissance des tragiques grecs, qui furent des modèles et des sources d'inspiration pour son théâtre. En 1660, il reçoit une pension du roi grâce à des odes : la Convalescence du Roi, la Renommée aux Muses et la Nymphe de la Seine. Quatre ans plus tard, il est introduit à la cour, grâce à un poème à l'éloge de Louis XIV. Il fait enfin jouer l'une de ses pièces par Molière, la Thébaïde, la même année, mais celle-ci n'a pas un grand succès

dernière des quatre parties de l'œuvre, où le héros reçoit sa punition, généralement funeste. | |Correspond au dénouement, dans la tragédie classique.  | |Catharsis : Effet de purgation des passions produit sur les spectateurs d'une représentation dramatique non distanciée.  | |Comédie : Action scénique qui provoque le rire par la situation des personnages ou par la description des mœurs et

provoquer les passions : dans les tragédies, les passionnés se font tuer, tuent ou se suicident, deviennent fous (hors de la scène, par respect de la règle des trois unités), ce qui est peu enviable.Deuxièmement, les dramaturges comptent sur la catharsis, ou purgation des passions : les spectateurs d'une tragédie sont ainsi censés expulser les passions en les vivant par procuration À l'époque classique, les deux dramaturges français les plus importants sont Jean Racine et Pierre Corneille. Quand

théâtre : il rompt avec ses anciens maîtres. De 1667 à 1677, Racine connaît une grande fécondité littéraire (dont on parlera plus tard) En fin de carrière, il est devenu dévot et écrit encore deux pièces d’inspiration biblique. A sa mort le 21 avril 1699, il est inhumé à Port-Royal 2/ Son œuvre a) ses pièces première tragédie : La Thébaïde ou les Frères ennemis2 qu’il fait jouer par la troupe de Molière en 1664 Il fait aussi jouer Alexandre le grand3 en 1665 qui connaît un succès considérable

à cela tout d'abord en suscitant des sentiments de joie chez le spectateur. En effet, dans les comédies ou dans les farces, on peint la folie des hommes, de la société et leurs défauts avec beaucoup d'humour et d'ironie. Le spectateur va voir des pièces de comédie pour en premier lieu se divertir. Le spectateur peut avoir plusieurs sortes de rires lorsqu’il regarde une pièce comme le gros rire, le rire moqueur, vengeur, mécanique, de contenance, de sensualité … Le rire le plus retouvré dans la comédie

Aristophanes -411 Le Misanthrope, Molière 1666 Le Bourru, Méandre -316 Médée, Sénèque 1er siècle Andromaque, Racine 1667 L'Avare, Molière 1668 L'Aululaire, Plaute Phèdre, Racine 1677 Aristophanes : -445 / -386 Poète grec considéré comme poète comique 1ères pièces inspirées de la guerre du Péloponnèse Il aurait écrit une 40aine d'oeuvres, mais il en resterait une 12aine Résumé : Affrontement des 2 perso principaux, ponctué par les interventions du coeur Sujet abordé : Guerre/paix, Politique/justice Synthèse :

étaient très proches des jansénistes de Port-Royal. C’est pourquoi il reçut une éducation très complète et acquis une grande connaissance du monde grec. il s’inspira ainsi des tragédies grecques, en particulier d’Euripide, pour écrire ses propres pièces. Bien qu’il fût d’éducation janséniste, Racine fut un des proches du roi Louis VIX et il devint ainsi son historiographe. C’est pourquoi Racine fut très impliqué dans les affaires de cour, qu’il connaissait très bien. Ainsi, ses tragédies sont

uniquement car il est jugé impudique et inconvenant d’offrir les femmes aux regards de la foule. -Les grands auteurs tragiques sont : Eschyle ( 525-456 av J-C). Il choisit des sujets mythologiques ( ex Prométhée enchaîné) ou historiques ( Ex : Les Perses qui se déroulent pdt les Guerres Médiques).Sophocle ( 495-406) choisit des sujets mythologiques. 7 pièces nous sont parvenues qui ont inspiré Anouilh, Cocteau ou Giraudoux : Antigone , Electre , Oedipe-Roi. Euripide

détriment du spectaculaire et les pièces classiques accordent beaucoup de place à l'expression des sentiments et à l'analyse psychologique. · La règle de bienséance oblige à ne représenter sur scène que ce qui ne choquera pas le public. On écarte la violence physique mais aussi l'intimité physique. Les scènes violentes doivent ainsi être racontées par un personnage. Quelques exceptions sont restées célèbres comme les morts de Phèdre[->65] et de Dom Juan[->66] dans les pièces éponymes[->67] de Racine[->68]

somptueuses pour lesquelles il demande aux dramaturges les plus illustres de composer. Parmi ceux-ci, Corneille, Molière et Racine. Depuis 1658, trois théâtres se partagent les faveurs du public : - L’Hôtel de Bourgogne (répertoire tragique) - Le théâtre du Marais (pièces à machine, cad mises en scène spectaculaires.) - Le théâtre du Palais Royal attribué par Louis XIV à la troupe de Molière. Parallèlement et tout au long du siècle, des attaques religieuses contre le théâtre surgissent périodiquement