Ccf Histoire

concernant Irène est alors flouée par l'histoire qu'il invente à son propos. Le coupable prétend avoir tué Irène et il explique même qu'il a du lui casser une jambe pour l'entreposer dans le congélateur. Telle est la réalité à laquelle il superpose une histoire fictive. Il compare Irène à une déesse : à la page 77, il affirme « Dans le congélateur, elle doit être comme une reine.». Il parle ensuite de cristaux de glace recouvrant sa « belle peau douce » et fait allusion à une parure de princesse : il lui

Introduction : L’importance du contexte : - Un texte typique de la période de l’humanisme : le contexte européen (cf identité des personnages : voir cours un anglais, un anversois (Flandres), un portugais) - Des interlocuteurs valorisés : cf caractéristiques morales, sociales et psychologiques qui les cautionnent P. 14-15 et également dans le texte les marques de déférences, d’admiration = il ne s’agit pas d’une polémique stérile mais de débatteurs qui se respectent et s’écoutent

mais c’est pour en découvrir une autre qu’il gagne par ses efforts. Travailler le rend autonome, lui apporte la reconnaissance et le respect : sa dignité. L’homme se découvre en tirant tout de lui-même. – Kant, 3ème proposition, Idée d’une histoire universelle… La science et la technique ont libéré la vie humaine. Par le travail, l’homme coopère avec les autres. Si donc le travail pose une limite, c’est à la liberté illusoire et abstraite. En renonçant à elle, l’homme se forme et s’ouvre

INTRODUCTION : Le titre complet est Histoire du chevalier des Grieux et de Manon Lescaut. C’est le tome VII des Mémoires d’un Homme de qualité, le marquis de Renoncour. Prévost a écrit et publié cette histoire en 1731 à Amsterdam et elle fera l’objet d’une édition séparée en 1753. L’histoire de Manon se présente comme un récit encadré avec un narrateur personnage, des Grieux, qui raconte sa vie à Renoncour qui, lui, la raconte au lecteur. Le récit de des Grieux est une découverte de lui-même.

la présentation théâtrale du dialogue entre Jacques et Le Maître (on ne trouve en effet aucune proposition classique "disait-il"). Or, mine de rien, cette décontraction que l'on retrouve aussi entre les deux protagonistes dialoguant instaure une histoire originale où Le Maître n'exerce plus sa supériorité sur son valet. Bien au contraire, il le relance dans son récit comme s'il était demandeur d'informations essentielles et donc dépendant du bon vouloir narratif de Jacques, qui en profite en faisant

l’origine de libération du secret, il pourrait s’agir d’une scène, dans l’œuvre de Maupassant il en apparait une notamment lors de la violente dispute au chapitre 7, l’on assiste à l’échange. « Tais-toi…. Le fils d’un autre » J’ai trouvé cette histoire très intéressante. J’ai beaucoup aimé le personnage de Philippe un enfant provoquant la pitié mais à qui on s’attache au fur et à mesure de l’œuvre. L’œuvre nous avance un peu plus sur nos connaissances envers la Shoah, les juifs. Le rythme du récit

* Louis-Jean Calvet, Histoire de l’écriture, 1996, Hachette (rééd. de 1998) (ISBN 2-01-278887-4), Fayard/Pluriel (rééd. poche de 2011) (ISBN 978-2-8185-0130-6), 296 pages * Josèphe Chignier, Les systèmes d'écriture : un savoir sur le monde, un savoir sur la langue, éd. Centre régional de documentation pédagogique, 1990 (ISBN 2-86621-136-7) * James Février, Histoire de l’écriture, éd. Payot, 1995 (ISBN 2-228-88976-8) * Marcel Cohen et Jérôme Peignot, Histoire et art de l’écriture, Bouquins

s’inscrit dans le développement général de l’humanité. L’homme provoque et subit les evt historique. Tout n’est pas historique (certains faits n’ont pas marqué l’humanité), mais rien n’échappe à l’histoire (lorsqu’il ne se passe rien, il y a une histoire). 1.2. Le temps Rien n’échappe au temps : le temps s’écoule toujours dans le même sens. Le temps n’est pas régressif : donnée inéluctable. OBJECTIVITE DE L’HISTORIEN Sa particularité : travailler sur des faits qui n’existe plus. Son récit

des êtres humains les affranchissant partiellement de la dépendance où les tenaient depuis des siècles la pauvreté générale, la rareté des biens et les contraintes du travail. Si l’émancipation de l’humanité est une des fins vers laquelle tend son histoire, la modernité lui a fait franchir une étape décisive dans cette direction. En partant de ce qui définit l’homme : l’intelligence, le besoin de comprendre, son appétit de connaissance, sa curiosité scientifique, la capacité d’inventer, en un mot

différents signes annonciateurs du genre littéraire auquel il appartient, il informe en mettant en place les lieux, les personnages, la temporalité du récit et le style de l’auteur mais on a aussi la présence de romans qui jettent le lecteur dans une histoire qui a déjà commencée, sans explication préalable sur la situation, les personnages, le lieu et le moment de l'action.