CD4

atteinte du plexus brachial • Polyneuropathie aiguë démyélinisante (syndrome de Guillain-Barré) s PHASE LATENTE ASYMPTOMATIQUE (CD4 + > 500/mm3) • Polyneuropathie aiguë démyélinisante (syndrome de Guillain-Barré) • Polyneuropathie inflammatoire chronique démyélinisante (PICD) s PHASE DE TRANSITION (200 < CD4 + < 500) • Herpès zoster (zona) • Mononévrite multiple s PHASE TARDIVE (CD4 + < 200/mm3) • Polynévrite à prédominance sensitive • Neuropathie végétative • Polyradiculonévrite à cytomégalovirus (CMV)

et donne cicatrice srologique (rsidu danticorps qui persiste longtemps) Physiopathologie - un virus a besoin de protines de surfaces (glycoprotines) et de rcepteurs spcifiques pour sattacher la cellule quil va infecter (ex GP120 du VIH sattache au CD4 des lymphocytes). - des virus comme les herps virus peuvent se cacher dans les nerfs (phase de latence) puis rapparitre (ractivation) Clinique attention rarement spcifiques (ex pharyngite seul un test strepto A permet de distinguer) Traiter un virus

très difficiles à soigner ou même entraîner le décès. La différence entre le VIH et les autres virus, c’est qu’il s’attaque au système immunitaire en prenant le contrôle des cellules T CD4. Ces dernières ont pour rôle de coordonner la réponse immunitaire lorsqu’un virus se présente. Lorsque le VIH utilise les cellules CD4 pour se répandre, il les endommage et les détruit. En définitive, le VIH détruit de l’intérieur le système immunitaire. III. La pathologie sur le territoire Depuis 1996, le

correspond à un état de fatigue, accompagné d’une augmentation de la taille des ganglions, de myalgies, et de fièvres. Du point de vue biologique, il retrouve chez ces patients une diminution d’une sous-catégorie des globules blancs, les lymphocytes T CD4 +. Chez ces patients, ce syndrome mononucléosique est accompagné de diarrhée et de mycoses anales et buccales. Il faut savoir que les champignons ne s’attaquent normalement pas au corps à ces endroits là, ils sont rapidement détruits par le système

est due au fait que le VIH se développe dans les lymphocytes T4 appelés alors cellules cibles du VIH. La reconnaissance entre le virus et le lymphocyte se fait au niveau de protéines de surface : protéine GP120 pour le VIH et récepteur membranaire CD4 pour le lymphocyte T4. Le virus infecte ces cellules suivant plusieurs étapes qui sont : • Pénétration de l’ARN viral et de la transcriptase inverse à l’intérieur des lymphocytes. • Transcription en ADN double brin, intégration de l’ADN viral

VIH Les parties constantes de la pg 120 sont indispensables à l’interaction avec le CD4. Si elles subissent des mutations, elles seront masquées au milieu de leur environnement et le VIH ne sera pas au contact avec les LT4. Le reste de la protéine qui est accessible aux Ac subit des mutations à chaque réplication du virus. Les clones

 Le lymphocyte B reconnait alors directement l'antigène. Une sélection clonale s'effect II La mémoire immunitaire l'antigène sont sélectionnés. Ils vont aussi présenter des récepteurs aux interleukines sur leur membrane plasmique. Ils répondent à la stimulation par les LT CD4 A La mise en évidence de la SVT mémoire immunitaire Les lymphocytes B se multiplient et se différencient en plasmocytes. Ces cellules peuvent alors sécréter dans anticorps circulants dans le sang. Anglais Espagnol DÉFINITION C Le phénotype immunitaire au

lymphocytes B, 70 à 80 % de lymphocytes T et 5 à 15 % de lymphocytes NK. Les lymphocytes T sont eux-mêmes principalement divisés en deux groupes, les lymphocytes T auxiliaires et les lymphocytes T cytotoxiques, caractérisés respectivement par la présence de CD4 et CD8 Fonctions[modifier Article détaillé : système immunitaire. Les leucocytes constituent un maillon important dans la protection contre les infections. En effet, en agissant de manière séquentielle, ils permettent l'élimination de nombreux

plus en plus touchés à cause rapport homo Problème : Facteurs transmission : rapport sexuel (MST/IST) non protégé, contact avec sang, mère à enfant Conséquences : infection par VIH donne Sida ; perte de capacité du corps à se défendre, lymphocytes CD4 (-----) détruites. Traitement : prévention (diminuer multiplication personne atteinte), diminution par médicament de la multiplication VIH dans le sang mais aucune guérison n’est possible pour l’instant, restauration des défenses immunitaires. Solutions :

infectés par le VIH des infections pulmonaires ou invasives à pneumocoque est 10 à 100 fois supérieure à celle de la population généralep Les principaux facteurs de risque sur ce terrain sont l’absence de traitement antirétroviral, un taux de lymphocytes CD4 inférieur à 200/mm3, le tabac, la toxicomanie intraveineuse, les co-morbidités telles que l’existence d’une cirrhose, d’un lymphome ou d’une BPCOp Depuis la généralisation des traitements antirétroviraux hautement actifs, l’incidence des infections