CD4

Le VIH est un rétrovirus s’attaquant aux cellules possédant des récepteurs protéiques CD4, dont les lymphocytes THCD4. En prenant le contrôle de ceux-ci, principaux intermédiaires de la réponse immunitaire de l’organisme, le virus diminue d’une façon significative la productivité du système immunitaire. La réplication du virus se fait initialement par l’attachement de la protéine virale gp120 au récepteur CD4, et ensuite par la fusion des membranes par la protéine gp41. Suite à la fusion la capside

ARN dans capside avec enzyme (transcriptase, intégrase, protéas). Tout ca entouré par matrice protéique, entourée par enveloppe de double couche lipidique avec glycoprotéines 120 et 41. Fonctionnement de l’infection : 1. Se fixe aux récepteurs CD4 et CCR5 de la cellule (lymph. T auxiliaires qui donnent l’alerte et dirige l attaque) 2. Fusion et libération du génome dans cytoplasme de la cellule 3. Transcriptase inverse copie ARN du génome virale en ADN. Erreurs de copie  car approximatif 

devient immuno-compétant dans le thymus par acquisition de marqueurs spécifiques: un TCR + un marqueur de différenciation noter CD (= cluster designation) suivit d’un numéro on distingue ainsi plusieurs populations de LT. - les LT helpers porteur d’un CD4 (=T4): ils amplifient la réponse immunitaire en stimulant d’autre cellules - les LT cytotoxiques porteur d’un CD8 (=T8): ils détruisent les cellules infecter ou anormales - les LT suppresseurs porteur d’un CD8 (=T8): ils régulent la réponse immunitaire

| Zoom | • Le virus se fixe sur sa cellule cible, ici un lymphocyte T4 (ce peut être également un macrophage, une cellule dendritique, une cellule du système nerveux), par ses glycoprotéines gp120, qui ont une forte affinité pour le récepteur CD4 du lymphocyte. • La fusion des membranes du virus et de la cellule hôte provoque la pénétration des capsides virales, qui se dissocient pour libérer leur contenu dans le cytoplasme. • La transcriptase inverse virale fabrique un ADN à partir de l'ARN du

l’épitope hypervariable V3 de la protéine gp 120 (une protéine d’attachement présente dans l’enveloppe de nombreux virus) or cet épitope V3, nécessaire lors de l’attachement du virus à la surface de la cellule, se fixe au récepteur associé au récepteur CD4 des lymphocytes T4 (cellule cible du VIH), sans cette fixation de la boucle V3 au récepteur associé, la protéine est incapable de se fixer correctement ainsi le virus ne pourra en aucun cas pénétrer dans le cellule (Figure). Figure : Fixation

immunité 20 % adaptative lymphocytes B lymphocytes T • conventionnels TCR αβ CD4 et CD8 • non conventionnels TCR γδ 70 % 95 % 1-5 % adaptative innée lymphocytes NK (non B non T) 10 % innée Les lymphocytes T effecteurs 1-Les lymphocytes T αβ 1.1 Différenciation des lymphocytes T naïfs en lymphocytes T effecteurs 1.2 Rôle des sous-populations de lymphocytes T effecteurs 1.2.a Lymphocytes T CD4 1.2.b Lymphocytes T CD8 2-Les lymphocytes T non conventionnels La recirculation

micro-organismes infectieux sont capables de les capter dans les tissus (par exemple dans les muqueuses génitales ou rectales dans le cas du VIH) et de migrer dans les ganglions pour les présenter à d’autres cellules. Au bout de la chaîne, des lymphocytes T CD4 + (les fameux T4 !) spécifiques du micro-organisme sont activés par la reconnaissance de l’antigène [2], ce qui induit leur prolifération. Ils vont à leur tour stimuler des lymphocytes B et des lymphocytes T CD8+. Pas n’importe lesquels mais seulement

tumoral…………………………………………... 5 Figure 3 : Fonctionnement du cytomètre en flux ……………………………………………………...…… 6 Figure 4 : Stratégie de fenêtrages des différentes populations étudiées ……………………………….. 9 Figure 5 : Etude comparative de l’expression de TNFR2 sur les Treg et T CD4+ non Teg. …….….. 10 Figure 6 : Etude comparative de l’expression de TNFR2 sur les Treg issues de patients et de témoins sains……………………………………………………………………………………………………………. 11 Figure 7 : Etude comparative de l’expression de TNFR2 sur les cellules tumorales

résumé, l’objectif général d’un traitement très précoce après l’infection est de limiter la destruction des lymphocytes CD4 et/ou de restaurer le pool de CD4 périphériques et tissulaires pour préserver les fonctions immunes [12, 13]. Une réponse virologique optimale peut être obtenue chez plus de 80 p. 100 des patients observants au traitement, parallèlement à la remontée des CD4 au-dessus de 500/mm3 [14-16]. Des arguments de santé publique plaident également en faveur d’une intervention thérapeutique

thérapeutiques sont d’obtenir une charge virale indétectable dans le plasma (< 50 copies/ml), mais aussi de maintenir un taux de lymphocytes CD4 > 500/mm3. Toutefois, le traitement reste complexe en raison d’effets indésirables des médicaments et des contraintes d’observance, et il n’est habituellement pas recommandé chez les patients asymptomatiques ayant un taux de CD4 > 350 /mm3. L’objectif d’un guide médecin est d’être un outil pragmatique auquel le médecin traitant puisse se référer pour la prise en