Cécile de Volanges

On peut dire que Mme de Rosemonde contribue à "provoquer" les rencontres entre les personnages. En effet, c'est en son château et ses jardins que se déroulent les rencontres entre : le Vicomte de Valmont et la Présidente de Tourvel, Cécile de Volanges et M de Valmont. Cela est le cas dans les deux oeuvres étudiées : romanesque et cinématographique, mais pas de la même façon. Dans le livre, elle a avec chaque personnage, une relation. Pour Valmont, c'est un lien familiale, elle

les figures de la perversité amoureuse en mêlant cruauté et subtilité autour de deux grands libertin : la Marquise de Merteuil et du Vicomte de Valmont, à la fois complices et rivaux. Leur première entreprise de corruption consiste à pervertir Cécile de Volanges, une jeune ingénue à peine sortie du couvent, avant son mariage avec un ancien amant de Marquise, Gercourt dont elle souhaite se venger. Cependant, Le Vicomte a aussi décidé de séduire la très vertueuse présidente de Tourvel et les résistances

portrait du Vicomte de Valmont qui écrit à son ancienne amante, la Marquise de Merteuil, pour lui faire part de ses projets. Merteuil avait, dans la lettre II, demandé à Valmont de lui rendre un service, à savoir séduire et dépraver la jeune Cécile de Volanges, pour se venger de Gercourt, le futur mari de celle-ci. Cette demande était faite sur un ton très autoritaire, et ici Valmont répond qu’il refuse, il le fait sur un ton à la fois ironique et moqueur, mais très ferme, en simulant une grande admiration

assouvie que quand il aura réussi à séduire Cécile de Volanges et il est obligé de fournir des preuves écrites de sa réussite. Car Si Cécile est conquise, Valmont pourra recoucher avec Merteuil qui est l’objet même de sa vengeance. Donc Il est vrai que le vicomte prendra un énorme plaisir à annoncer à la Marquise qu’il à réussi à conquérir Cécile. Ici la séduction est la vengeance sont intimement liées, car la vengeance de Valmont passe par la séduction de Cécile et il doit raconter ces action à Merteuil

la fin de la quatrième partie des Liaisons Dangereuses. Dans cette dernière partie du roman les deux libertins le vicomte de Valmont et la Marquise de Merteuil sont parvenus au terme de leurs manipulations. Effectivement leurs deux victimes Cécile de Volange et la présidente de Tourvel sont tombées dans le piège, la première a perdu sa virginité et la seconde a succombée aux avances du vicomte. Cependant le récit prend un tout autre tournent car les deux libertins qui étaient jusqu’à présent alliés

I) Madame de Merteuil : une femme totalement différente des autres Tout d’abord, la Marquise de Merteuil est une femme totalement différente des autres aristocrates qui gravitent autour d’elle. Elle n’a pas eu la même éducation que Cécile de Volanges par exemple. Elle est la seule femme du roman à ne pas avoir été au couvent, ce qui est très rare pour l’époque et donc résolument actuel. Il ne faut pas la confondre avec les autres femmes. Elle n’est pas naïve, prude et naturelle comme peut

La question de l’éducation des femmes Le discours éminent égoïste se cache derrière un auteur au propre bien plus large. Image d’un combat féminin certes perso et vicieux mais possessif parce que personne ne s’occupe d’elle, à l’inverse, Cécile de Volanges sera victime parce qu’elle est ignorante. Il faut éduquer les filles. CONCLUSION : Cette lettre est l’occasion de faire le portrait de l’une des héroïnes du roman, portrait d’une libertine orgueilleuse qui revendique le droit de disposer

Introduction: Cécile de Volanges, âgée de 15 ans débute le roman par une lettre destiné à sa correspondante. Cécile a été élevée dans un couvent. A l’époque, on pensait que mettre les jeunes filles dans un couvent, leurs empêcheraient de subir les mœurs de la société. La lettre divisée en 2 parties : Sa vie et son entrevue avec le cordonnier. L’intérêt du texte : Nous apprendre ce que c’est la vie d’une jeune aristocrate et voir qu’elle est la proie rêvé d’un libertin. I] Les activités de Cécile Cécile

monde y est puni « Adieu, ma chère et digne amie. Je vois bien dans tout cela les méchants punis ; mais je n’y trouve nulle consolation pour leurs malheureuses victimes » (lettre 173) dit Mme de Volanges à Mme de Rosemonde ; effectivement Mme de Volanges devra renoncer au mariage de sa fille, Cécile de Volanges retourne au couvent. Mme de Rosemonde perd son neveu Valmont. Mme de Tourvel meurt. La dernière phrase de Mme de Rosemonde décrit bien le goût amer de cette fin « {…} laissons-les dans l’oubli

Merteuil et le Vicomte de Valmont, se livrent à une histoire de pouvoir, de séduction, de manipulation et d’apparence. A travers cette intrigue, les deux sexes se jettent dans une bataille sans merci, sans aucune pitié pour leurs victimes, la jeune Cécile de Volanges et la chaste et pieuse Présidente de Tourvel. Constitué de 175 lettres miroir de toutes les pensées, toutes les actions et désirs intimes, le récit se focalise donc sur le duel pervers de ces deux aristocrates manipulateurs, libertins et mondains