Cécile de Volanges

de savoir lequel d’entre eux est le plus perfide. -Cécile de Volange : Jeune fille qui sort tout juste du couvent et qui est prête à marier. La marquise de Merteuil décide de la corrompre avec l’aide de Valmont. -La Présidente de Tourvel : C’est une femme vertueuse qui Valmont veut conquérir pour la corrompre, il finit par en tomber amoureux. => Les deux libertins finissent par s’autodétruire, Valmont meurt en duel avec l’amant de Cécile par la faute de Merteuil mais avant de mourir Valmont

et la jeune fille qui n'est rien qu'un objet pour tous le monde ! dans le 3 eme et 4 eme texte que nous avons étudier les caractéristiques de l'incipit sont toujours respecter , dans le 3 eme texte les liaisons dangereuses de choderlos de lactos , Cécile est une jeune femme issu d'un milieu aisé. elle a fait ses études dans un couvent " le reste du temps est a ma disposition, et j'ai ma harpe mon dessin et des livres comme au couvent " ( ligne 14 ) dans le 4 eme texte l'éducation sentimentale de

sévèrement qu'il le devrait. Selon nous, les personnages positifs le sont beaucoup plus. Par exemple, Mme de Tourvel meurt d’avoir trop aimé tandis que Cécile sort du couvent au début de l’œuvre pour y réintégrer à la fin. Danceny, qui n’a pas su résister au charme vénéneux de Mme de Merteuil, part pour Malte, loin de sa tendre Cécile. Seule Mme de Volanges et Mme de Rosemonde demeurent. Ces personnages ne méritent aucunement ce mal qu’ils endurent. De plus, les personnages négatifs ne sont pas punis de

Nous pouvons relever les marques du genre épistolaire. Une lettre est un message écrit et envoyé par un expéditeur à un destinataire (qui sont en général éloignés dans l’espace). Ce genre a des caractéristiques formelles précises : I1 le nom : Cécile Volanges ; l’adresse de l’expéditeur : « Paris » ; la date d’écriture :3aout 17** ; Une formule d’appel ; Le texte (corps de la lettre) ; une formule finale ; la signature ; les indices d’un énoncé ancré dans la situation d’énonciation (je, tu, nous…)

commencer, il est clair que les femmes dominent le roman d’une certaine façon, cela apparaît nettement avant même de s’intéresser au fond de l’œuvre, avec la répartition des personnages, cinq femmes écrivent – La marquise de Merteuil, Cécile de Volange, Mme de Volanges, Mme de Tourvel et Mme de Rosemonde – pour deux hommes – Danceny et Valmont. En effet, dans la lettre 81, qui est une lettre clé du roman puisque centrale, longue et nous apportant beaucoup d’information, Merteuil se dit solidaire des

prétends atteindre ». Les premiers mots de sa lettre sont « vos ordres » tandis que les derniers sont « sans rancunes » celui-ci s'excuse alors à la Marquise par peur qu'elle lui en veuille de ne pas l'aider. Il fera également le portrait de la jeune Cécile alors qu'il ne la connait pas. Selon lui c'est un personnage pas digne d'intérêt, une « jeune fille qui n'a rien vu, ne connait rien » ; « sans défense ». C'est à travers la sixième lettre que le Vicomte se montrera à la Marquise de Merteuil comme

séduit Cécile. Danceny le provoque en duel et Valmont, qui meurt d'amour, se laisse tuer par Danceny. Avant de mourir, il demande à ce dernier de rendre visite à Madame de Tourvel et de l'assurer de son amour, et il lui remet les lettres de Merteuil. Après avoir entendu le message de Valmont de la bouche de Danceny, Madame de Tourvel meurt. Danceny publie les lettres de madame de Merteuil et s'exile à Malte. Chacun des personnages connait une fin tragique. Cependant, Rosemonde et Volange sont l'une

rejetée. L'enfermement des jeunes filles dans les couvents, l'étroite surveillance à laquelle on les soumet, l'ignorance dans laquelle on veille à les maintenir, les mariages arrangés, sont quelques-unes des manifestations de ce conformisme. Cécile et Madame de Volanges sont de purs produits de cette éducation. Plus généralement, Madame de Merteuil décrit ce que deviennent les femmes du "parti Prude" (LXXXI) dans leur vieillesse : "sans idées et sans existence, elles répètent, sans les comprendre et indifféremment

projet de faire le Mal.  II- Un projet machiavélique. Le désir de vengeance. Pt de départ --> M. trahie par ancien amant Gercourt - elle a bcp de mal à enlever de sa tête l’idée que G. ait été un amant infidèle --> désir de vengeance. l.21 « Mme de Volanges marie sa fille », l. 23 « Et qui croyez-vous qu’elle ait choisi pour gendre ? le Comte de Gercourt , l.24 « Qui m’aurait dit que je deviendrais la cousine de Gercourt ? » l.4-5 : « Il m’est venu une excellente idée, et je veux bien vous en confier

présente d’elle un portrait indirect par son style maîtrisé, drôle, ironique et dominateur quand elle écrit à Valmont pour lui demander de l’aider à se venger de Gercourt. Elle apparaît comme une femme de tête, « rouée » maîtresse d’elle-même. Mme de Volanges complète ce portrait lettre 32 en précisant dans une phrase à double sens pour le lecteur : « Madame de Merteuil, en effet très estimable, n'a peut-être d'autre défaut que trop de confiance en ses forces; c'est un guide adroit qui se plaît à conduire