Centrale Laitière Export

Lancement d’un nouveau produit – La Coopérative Laitière X Master 2 Management de Projet Novembre 2007 Siham Sadmi Projet présenté par Florie Veyret Romain Levasseur Grégoire Macqueron Chadi Torbey SOMMAIRE I. Contexte projet a. Présentation du projet b. L’équipe projet c. Le groupe projet d. Planification II. Analyse stratégique interne a. Forces et faiblesses de l’entreprise 1. Forces de l’entreprise 2. Faiblesses de l’entreprise b. Analyse interne 1. Présentation des DAS 2. Analyse

pêche sont Safi, Essaouira, Casablanca y Agadir, et les produits principaux sont : la sardine, le thon, le maquereau, les anchois et les crustacés et les mollusques. Une grande partie du poisson est transformé, congelé et mis en conserve, et est exporté, surtout en Europe. 1.1. L’AGRICULTURE DANS LA REGION DE SOUSS MASSA DRÂA ; La région de Souss Massa Drâa est une des régions les plus productives, malgré qu’elle ait une surface agricole utile (SAU) limitée à 560.700 hectares dont 475.000

matériel d’équipement. Dès le début des années 80, le Groupe entame la diversification de ses activités à travers des prises de participations majoritaires dans des secteurs industriels et de services variés, notamment le lait & dérivés (Centrale Laitière, Pingouin), le sucre (Cosumar), les corps gras (Unigral Cristal, Sepo), la banque (Société de Banque et de Crédit), le transit maritime, la chimie, le textile et les mines. V. L’historique5 de l’ONA - A partir des années 90, l’ONA élargit

d’avoir la proximité de la population consommatrice. Source : Le Rhône et Lyon de la préhistoire à nos jours Editions Bordessoules 1987 4 UNE TRADITION AGRICOLE VIVRIERE ANCIENNE L’ouest de la Région Lyonnaise est un morceau de Massif Central très particulier En effet nul autre ensemble montagneux ne présente une aussi forte densité de population avec autant d’activités. Après la grande expansion économique du début 19°siècle où le paysan était aussi ouvrier, notamment dans le domaine

d’exportation de l’amont à l’aval et bien intégrer les notions de qualité et de coût d’acheminement dans sa politique commerciale. Ainsi donc, la maîtrise du transport et notamment le transport par voie maritime peut devenir un atout supplémentaire pour exporter vers l’extérieur. Chapitre (I) : Le secteur portuaire au Maroc Le Royaume du Maroc dispose de deux façades maritimes : une façade Méditerranée au Nord et une façade Atlantique à l’Ouest. les deux façades totalisent prés de 3500 km de côtes. Le Maroc

* 98 400.000 (**) 98 425.000 ( ) ** 1.960 89 (*) 490.000 100 98 (*) Taux de couverture = P / (P+I+D) dont P : production diminuée des pertes, I : importations, D : dons (**) Production estimée = Abattages + (variation de stock) + (Export – Import) SITUATION DE L’AGRICULTURE MAROCAINE - N°9 - Novembre 2011 23 24 I- LE CONTEXTE INTERNATIONAL 26 I- LE CONTEXTE INTERNATIONAL 1-1 PERFORMANCES GLOBALES DE L’ECONOMIE MONDIALE Les effets dévastateurs de la crise

plus comment utiliser toutes les meules qui étaient dans les caves par manque de logistique. Il fut le premier à lancer une marque avec le fameux logo de cette vache qui rit en 1923. En 1929, il fabrique le fromage en portions. Au fil des années, il exporte partout dans le monde. Son gendre reprend l’affaire de 1937 à 2002. Elle fonctionne moins bien dans les années 1990. Sa réorganisation est confiée à un membre de la famille qui reprend l’entreprise en faisant appel à des gestionnaires expérimentés

une nouvelle usine à Jambes afin de faire face à l’augmentation de production. Avant 1897, la fabrication de confitures industrielles était quasi impossible. En Cause ? Le prix du sucre utilisé chez nous était soumis à une taxe alors que le sucre exporté en Angleterre ne l’était pas. Dès lors, les confitures fabriquées outre-Manche avec nos fruits revenaient moins chères que celles directement fabriquées en Belgique. Afin d’éviter la « déconfiture » de son entreprise et grâce à ses efforts, Edouard

| | | |F. Z. T. | |Exporter des enseignes, pourquoi pas | |Edition électronique du 18/3/2010 | | 

Après une longue période de protectionnisme, le pays a opté résolument, au début des années 90, pour la libéralisation en matière d’importations et d’opérations de change. Depuis 1983, la promotion des investissements étrangers est un des thèmes centraux de la politique marocaine de développement. Cela s’est traduit par la création de zones franches et par la levée des restrictions sur les importations et exportations de capitaux d’investissement et de bénéfices. Ces dernières années, l’économie