Centralisme

instances et notamment celles de l’Etat. Le centralisme démocratique : signifie que tous les organismes dirigeants doivent être élus, ils doivent rendre compte de leurs activités devant les organismes supérieurs du parti. Une fois les décisions prises, la minorité doit être soumise à la majorité. Il va permettre aux partis communistes de former un bloc monolithique et de le rendre plus efficace au niveau du contrôle de la société. Ce centralisme vient remplacer l’unitarisme. Les partis dans

possible. Les territoires seraient dans la plus grande partie presque homogènes. On pourrait garantir par les lois impériales les droits des minorités dans les régions mixtes, assurer l'égalité des langues dans l'administration... Tout ce qui reste du centralisme devrait disparaître. Le gouvernement central ne conserverait que les affaires nécessairement communes, comme les affaires militaires, les grandes lignes de chemin de fer, les postes, les télégraphes, la police, etc. A cela on pourrait ajouter l'institution

permette une action publique locale efficace rapprochant le processus de décision des citoyens et qui permette l’émergence d’une démocratie de proximité. Que pouvons-nous retenir comme enseignement de la grande réforme lancée après deux siècles de centralisme jacobin par les lois Defferre 1982-1983 ? Elles suppriment les tutelles administratives et financières et le contrôle a priori, elles établissent les droits et les libertés des communes, des départements et des régions, trois étages de collectivités

révéle des limites au sein de ce nouveau système. Outre cela, Gorbatchev "démocratise" l'URSS en modifiant la Constitution et en organisant les premières élections en partie libres de l’URSS en mars 1989. Il y a donc une rupture totale avec le centralisme démocratique, et le nouveau dirigeant de l'union soviétique s'engage dans une lutte contre les régimes communistes. Cela traduit d'une volonté d'ouverture dans le monde qu'il affiche notamment en rencontrant le Pape Jean Paul II [doc 2 p 204], d'origine

fonctionnement sociaux autoritaires et leurs justification médiatique ils ne reconnaissent que les mandats impératifs, révocables et limités dans la durée( tous pouvoir a un individu).Il ne doit intervenir qu’en cas d’absolue nécessité, ils rejettent le centralisme pour le fédéralisme(gestion direct de sa propre vie) et la décentralisation où chacun participe à la vie commune en conservant son autonomie individuelle. Leur philosophie politique est un projet de société antiautoritaire (contre toutes suggestions

guerre de Trente Ans fait beaucoup augmenter les impôts, et de plus dans cette guerre, la France combat la très catholique couronne d'Espagne et est alliée à des puissances protestantes du nord. De plus, le renforcement du pouvoir royal et du centralisme est contesté, tout comme la politique fiscale du cardinal, intervenant dans un contexte économique difficile. Les révoltes sont une grave opposition à la guerre et à des impôts trop élevés. On y voit apparaître les cris de : « vive le roi sans

EPS à l’école Le modèle structurel Le problème est structurel et social Changer les structures de l’école pour créer une égalité d’accès pour tous 71 Baudelot Establet école de classes 70 Bourdieu reproduction 77 Boudon effet pervers 77 Crozier centralisme système bureaucratique Changer les structures scolaires Pour mettre fin aux inégalités d’accès à la culture 75 suppression des filières Haby unification du système Egalité des chances pour tous   Mais produit de l’échec : capital culturel hérité

Histoire Ce texte permet d’aborder : – les principes de la monarchie absolue et du centralisme étatique ; – la remise en cause de l’absolutisme dans le cadre d’un cours sur la pensée des Lumières et les causes de la Révolution. Questions 1. À quel type de texte avons-nous affaire ? Justifiez votre réponse en vous appuyant sur une analyse de la situation d’énonciation. 2.Quel regard le narrateur étranger porte-t-il sur la vie parisienne ? 3.En quoi ce texte constitue-t-il une

existe toujours des rivalités. Elles diffèrent selon qu'il s'agit d'un club ou d'un pays. 1) Entre les clubs. Rivalité politique : le F.C Barcelone symbolise le catalanisme et donc le souci d'indépendance alors que Real de Madrid représente le centralisme et l'unité d'Espagne. Rivalité religieuse : le match entre les Glasgow Rangers et les Celtics de Glasgow oppose les Protestants et les Catholiques C) Les modèles Ultras pays latins, principalement en Italie et en Espagne. Les Ultras

désigne l’idéologie et la pratique politique de Joseph Staline, secrétaire général du Parti Communiste de l'Union Soviétique, puis, par extension, de ses partisans ou de ses émules, qualifiés de staliniens. Le stalinisme est caractérisé par le centralisme et l'emploi de la force, voire de la terreur, comme mode de gouvernement, accompagnés d'un culte de la personnalité organisé autour du principal dirigeant. Les régimes staliniens se caractérisent par une économie planifiée1. Par extension, le terme