Centralisme

judiciaires et de contrôle sont issus des assemblées populaires, en tant que les organes du pouvoir d'Etat, sont responsables devant elles et sont contrôlés par elles. Tous les organismes de l'Etat travaillent conformément aux principes du centralisme démocratique. En conséquence, les rapports entre l'Assemblée populaire nationale d'une part et le gouvernement, la cour de justice et le parquet d'autre part sont les suivants :  1. Rapports entre décideur et exécutant. L'Assemblée

hydroélectrique...). Il fait venir des entrepreneurs étrangers (USA+ EUR) . En 1910 : 80% du total du stock des investissement industriels et miniers sont issu d'investissement étrangers (USA : 38%, GB : 29%, FR : 27%). Tout cela se fait au profit d'un centralisme toujours plus important, accentuant le poids de Mexico et de la région centrale, alors que les Etats ruraux du Sud se retrouvent marginalisés. De son côté l'agriculture est à la traine et de nombreux espaces sont improductifs. Les terres sont accaparées

la déchéance du président de la République. Incarcéré à Vincennes puis relâché, il quitte la vie politique. Retiré en son château de Tocqueville, il entame l'écriture de L'Ancien Régime et la Révolution, paru en 1856, dont le sujet porte sur le centralisme français. La seconde partie reste inachevée, quand il meurt en convalescence à la Villa Montfleury de Cannes le 16 avril 1859, où il s'était retiré six mois plus tôt avec sa femme pour soigner sa tuberculose. Il est enterré au cimetière de Tocqueville

de l’égalité entre les citoyens et entre les territoires, donc l’arbitrage, la péréquation. Si l’État pouvait assumer ses valeurs profondes d’équité, par exemple, il ne serait pas si crispé autour de la notion d’égalitarisme qui le pousse à un centralisme, hélas stérile pour l’initiative locale. ■ Aline Chambras et Nicolas Leblanc 12 l territoires janvier 2009 494-1-18-BAT 21/12/08 22:25 Page 13 ACTUALITÉS Les dix enjeux de la réforme des collectivités locales Bruno Veysset

légère remontée du parti dans l’électorat, tout en restant très loin des scores recors, jamais égalés, de la Libération. A la différence des socialistes, les communistes sont organisés de manière très stricte; leurs statuts posent le principe du centralisme démocratique, qui a pour conséquence que la discussion est libre à chaque échelon, lequel désigne ses dirigeants par élection. Les élus sont responsables devant les électeurs et les décisions prises par les organes supérieurs sont valables pour

l’aider dans l’administration de la ville et de contresigner tous ses actes. Lyautey indiquait à propos du pacha que : « la portée des actes qu’il signait lui échappe… il constitue souvent une façade et non une autorité munie de pouvoirs »11. Centralisme attenue / decentralisation de façade Le principe fondateur du système du Protectorat : conserver les institutions traditionnelles modernisées en les assujettissant fermement au pouvoir central, amena les autorités du Protectorat à instaurer dans

coopération cohérente entre la région, la province la commune et les autres structures de l’action publique locale. Cette réflexion amène nécessairement à une recomposition des territoires sur la base d’un nouveau processus méthodologique où le centralisme doit céder la place à de nouvelles formes d’organisation et de fonctionnement du territoire en vue d’une autonomie accrue, d’une responsabilité soutenue de la part de l’ensemble des acteurs publics et d’une participation plus engagée des acteurs

socialistes avait refusé de se plier aux demandes de Moscou ( siège du parti bolchevik ) d’adopter l’organisation du centralisme démocratique. Le leader de cette minorité socialiste qui forme désormais la SFIO, est Léon Blum. La majorité de l’ancien parti socialiste se retrouve dans le parti communiste qui est officiellement créé en 1922, c’est en majorité des socialistes et ils adoptent le centralisme démocratique. Il faut bien considérer que le PC de l ‘époque est un parti marxiste léniniste révolutionnaire

implication géopolitique Entre superpuissance et complexité des systèmes d’alliances, quelle place ? Pendant plusieurs décennies d’isolement, la Chine s’est construite dans la chimère d’un développement autocentré et extrêmement décentralisé. Ce « centralisme démocratique » promu par Mao conduisit le pays à l’asphyxie. En 1976, après la mort de Mao, Deng Xiao Ping, lance de grandes réformes. Cette politique de réforme (Gaige, Kaifeng) est finalement nommée « économie socialiste de marché » lors du XIV

communiste. Si l’Union Soviétique n’a pas été capable de relever le défi de Staline, qui était d’atteindre le niveau des Etats-Unis sur les plans nucléaire, militaire et économique au sein d’une société de régime communiste, c’est en raison du centralisme du pouvoir et d’une dérive du système empêchant toute initiative individuelle. Au contraire de l’idéal de Lénine (une juste répartition des biens), le régime communiste soviétique créa une société répressive monopolisant la richesse au sein d’une