Centranthe rouge

Le combat fantastique Voilà deux Samouraïs, enlacés dans le sang, Qui brûlent leurs paupières et tachent leurs peaux De plaies, tranchant les chairs rompues jusque au noyau, D’un éclair aiguisé comme un rasoir dormant. Ils jurent, écoutez-les, en se dévorant, Des paroles magiques lues sur les caveaux De barons dévoués aux cultes ancestraux, Avant que ne tombât, malgré leurs mains, le gant. Sur le mur du clos, froissé, ne voyez-vous pas Cette robe de soie qui palpite et qui bat D’un cœur

le ciel. La base est vaste. - Des traînées rouges et blanches marquent la tour (ce qui doit correspondre aux trajectoires des matériaux de construction hissés vers le sommet.) - Les tons utilisés sont chauds. La couleur dominante est un dégradé de rouge qui teinte même le ciel. Seul un peu de bleu près de la mer et de vert à l’arrière plan gauche. - Toute la composition tourne autour de la tour. Il n’y a pas de point de fuite. Analyse générale : Le thème de la tour de Babel est inspiré du livre de

Les arbousiers sur ma route se penchaient, étrangement chargés de leurs fruits de pourpre qu'ils répandaient dans le chemin. Ils avaient l'air d'arbres martyrs d'où coulait une sueur sanglante, car au bout de chaque branchette pendait une graine rouge comme une goutte de sang. Le sol, autour d'eux, était couvert de cette pluie suppliciale, et le pied écrasant les arbouses laissait par terre des traces de meurtre. Parfois, d'un bond, en passant, je cueillais les plus mûres pour les manger. Tous les

Guernica Ce tableau nommé Guernica est réalisé par Picasso en 1937. Ce chef-d'œuvre est aujourd'hui à Madrid , à sa ville natale. Picasso a représenté une scène de la guerre civile de 1936-1939 qui a lieu le 26 avril 1937 dans la ville Guernica qui est bombardée par les allemands . Ce tableau set caractérisé par le cubisme. C'est un mouvement qui réduit l'emploi de couleur le décomposition des formes en figures géométriques. Les couleurs sont le noir, le griset le blanc, le blanc est utilisé

baser sur notre  "bon sens". Quoique... - Couleurs primaires: Rouge, Bleu, Jaune. Les autres couleurs sont obtenues en mélangeant ces couleurs primaires. - Couleurs neutres: dans la théorie elles sont: Noir, Blanc, Gris et Marron, car on les utilise pour amener un ton neutre dans un plan. [pic]                                             [pic] - Couleurs complémentaires: les couleurs qui se trouvent opposées dans le cercle comme Rouge et Vert. - Couleurs armonieuses: couleurs qui sont mises l'une

7ème Epreuve : Le Temple de Mutoh (1/3)RDCDès votre entrée dans le dernier Temple du jeu, une énigme s'impose à vous. Il vous suffit en effet de lire les deux stèles présentes depuis le rez-de-chaussée pour vous en rendre compte. De chaque côté de la pièce en forme de losange, il va vous falloir parvenir à parcourir un certain chemin en un temps record. Commencez donc par emprunter le couloir nord, puis dirigez-vous sur la droite pour apercevoir une marque au niveau du sol. Placez une bombe exactement

substance colorée présente dans les tissus animaux (noire, orangé, jaune, rouge) ou végétaux (vert et orangé). Les pigments sont des substances qui sont naturellement colorés. Chez le végétal le pigment qui colore en vert les feuilles est la chlorophylle. Le carotène qui colore en orange les tissus végétaux est également un pigment.Chez l'être humain et l'animal, le pigment le plus connu est l'hémoglobine qui colore en rouge le sang. La mélanine est un pigment présent dans la peau, donnant à celle-ci

1) Le paysage a) Un tableau : nombreuses notations visuelles décrivant avec précision le lieu ; comme dans un tableau, il y a un arrière-plan mis en place dans le premier quatrain (un « petit val » -reprise du titre-, décrit aussi comme un « trou de verdure », c’est à dire une vallée étroite qui donne l’impression d’un endroit abrité, une montagne, dans la direction de laquelle on peut voir le soleil – « de la montagne fière » est un complément circonstanciel de lieu –, une rivière ) ; un premier

Au fil des saisons Automne malade Automne malade et adoré Tu mourras quand l’ouragan soufflera dans les roseraies Quand il aura neigé Dans les vergers Pauvre automne Meurs en blancheur et en richesse De neige et de fruits mûrs Au fond du ciel Des éperviers planent Sur les nixes nicettes aux cheveux verts et naines Qui n’ont jamais aimé Aux lisières lointaines Les cerfs ont bramé Et que j’aime ô saison que j’aime tes rumeurs Les fruits tombant sans qu’on les cueille Le vent et

La mort de Tchen L’auto du général était à cinq mètres, énorme. Il courut vers elle avec une joie d’extatique, se jeta dessus, les yeux fermés. Il revint à lui quelques secondes plus tard : il n’avait ni senti ni entendu le craquement d’os qu’il attendait, il avait sombré dans un globe éblouissant. Plus de veste. De sa main droite il tenait un morceau de capot plein de boue ou de sang. A quelques mètres un amas de débris rouges, une surface de verre pilé où brillait un dernier reflet de lumière