C'est la fin

Gocéné : C’est le personnage principal de l’histoire et le narrateur. Il est courageux et fidèle en amitié. En effet, il n’hésite pas à affronter les dirigeants racistes de l’organisation de l’Exposition et les policiers qui partent à sa recherche. « Je me fiche du haut-commissaire et de tous ceux qui croient nous offenser en nous traitant comme des animaux. » C’est aussi un homme de parole, car il a promis au père de Minoé de prendre soin d’elle. « Je ne pourrai plus jamais retourner sur la terre

cette œuvre j’ai mis en jeu certains qualités des personnages, c’est une œuvre vraiment très intéressante En outre elle nous mis en évidence que l’absence de la communication entre le couple mène toujours au mauvais et comme celui dans cette nouvelle, Herve de Ker a pris un jugement personnel une décision fausse de tuer le comte de c… sans s’assurer de la vérité ------------------------------------------------- Est-ce que la fin de ce récit est –elle attendue ou inattendue ? D’abord, tout dépend

porter un jugement sur la vie de son ancienne maîtresse, Jeanne. Ces deux personnages centraux se retrouvent dans une situation sociale inversée par rapport au début du roman. Le soleil baissait vers l'horizon : c'est le crépuscule, la fin d'une journée, et aussi d'une vie. Mais cette fin n'est pas tragique : la clarté (lumière puissante), la présence de couleurs (le jaune des colzas, les plaines verdoyantes, le rouge des coquelicots) semblent annoncer des moments heureux. Il y a donc un contraste

d'Histoire: Les caractéristiques des conflits contemporains depuis la fin de la Guerre Froide C'est symboliquement la chute du Mur de Berlin en 1989 qui marque la fin de la Guerre Froide. En effet, l'effondrement de l'URSS en 1991 semble inévitable, et plonge le monde entier dans la perspective d'une paix universelle et durable. Mais malheureusement, c'est loin d'être le cas : la fin de la Guerre Froide n'a aucunement signé la fin des conflits, mais marque le début de nouvelle confictualités

Le XVIIe siècle est décrit comme étant le siècle du théatre. Le métier de comédien fascine de plus en plus, et c'est à partir de ce siècle que les femmes obtiendront le droit de monter sur scène. Molière a fait parti de ce siècle comme l'un des plus grands auteurs dramatiques, acteurs et chefs de troupe. En 1665, Molière veut créer une pièce spectaculaire. C'est ainsi que va naître un chef-d'oeuvre du théatre, le célèbre "Dom Juan". Cette oeuvre est avant tout un combat contre l'hypocrisie face

imcompatible avec le devoir? INTRODUCTION :   Le bonheur est souvent conçu comme étant une fin ultime de la vie humaine (c’est ce qu’on appelle eudémonisme). Il se distingue des fins partielles, c’est-à-dire des fins qui à leur tour deviennent des moyens en vue de fins plus élevées (par exemple la richesse). Le bonheur est la fin la plus haute, une fin que l’on recherche pour elle-même, une fin en soi. Cependant, une fois cela reconnu, nous n’avons encore rien affirmé de la nature du bonheur

de tête de mort Téléphone Martin Plula = Micha = jaune Rappel : Micha doit utiliser le bon panneau au début de chaque acte et à la fin. Les actions à faire sont en rouge. L’inspecteur LAGAFFE Acte I Le crime COUSIN « Toc toc toc ? » ( en toquant sur la planche) INSPECTEUR « Entrez. » COUSIN « Bonjour ! » INSPECTEUR « C’est vous le cousin de Martin, celui qui a été tué hier soir ? » COUSIN (en pleurant) « Oui. » INSPECTEUR (en souriant méchamment) « Quelles sont les

temps l’évolution de la poésie à la fin du XIXème siècle et dans un second temps la liberté avec la quelle écrit l’auteur qui se traduit par une provocation et une intention à ne pas vouloir être prisonnier des idées traditionnelles pour y répondre a la question En quoi ce poème renouvèle-t-il la poésie du XIXème siècle ? I. La poésie- fin du XIXème siècle. II. Une liberté d’écriture qui ne respecte pas les formes traditionnelles du sonnet. I. La poésie -fin du XIXème siècle. La poésie au XIXème

pour entretenir notre forme. Il n’y a point d’activité qui ne soit orientée vers un but déterminé. Tous les hommes s’affairent, s’activent, produisent des richesses et des biens. Nul doute que l’ensemble des activités humaines ait une utilité, et c’est cette utilité qui en fait la valeur. Il n’y a qu’à jeter un regard sur toutes ces constructions, ces œuvres humaines : leur évidente matérialité suffit à justifier et à valoriser les énergies et le travail qu’elles ont nécessités. Néanmoins, quand

puisque le bonheur est pleine réalisation de soi-même. Mais dès lors, l'amitié devient superflue. Est-ce à dire que les hommes ne vivent ensemble et ne s'apprécient que parce que les échanges sont nécessaires, voire pour supporter leurs malheurs ? C'est contre cette représentation pessimiste des rapports humains, et pour redonner à l'amitié un sens pleinement positif, qu'Aristote élabore sa démonstration. Autrement dit, ne peut-on pas être heureux dans la solitude ? I : Une aspiration humaine